Oui l'on sait tous très que les violences ont disparu même en Afrique et surtout en contexte migratoire. Mais il suffit d'être un bon observateur pour se rendre compte que les considérations sociales en la matière sont loin de faire figure de peau de chagrin. Elles sont là, elles sont là. Les séquelles du komaaxu sont loin de disparaître. Le complexe de supériorité chez certains hooru et le complexe d'infériorité chez certains komu ne sont pas absents du quotidien. Les choses se jouent aussi au niveau psychologique.
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Tu as bien résumé les choses, comme souvent c'est le cas, Cheikhna.
Bintou tu as de la chance de ne pas percevoir ce genre d'attitude au quotidien, mais c'est plus récurrent que tu ne l'imagines. Ce que parisgirl à vécu est loin d'être de la "victimisation", c'est des choses qui se produisent encore maintenant, même si c'est de façon détournée ou insinuée.
Pas folle la guêpe!!!