Oui l'on sait tous très que les violences ont disparu même en Afrique et surtout en contexte migratoire. Mais il suffit d'être un bon observateur pour se rendre compte que les considérations sociales en la matière sont loin de faire figure de peau de chagrin. Elles sont là, elles sont là. Les séquelles du komaaxu sont loin de disparaître. Le complexe de supériorité chez certains hooru et le complexe d'infériorité chez certains komu ne sont pas absents du quotidien. Les choses se jouent aussi au niveau psychologique.