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  • Le Soninké travaille pour les étrangers pour aller le donner à d'autres étrangers

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Discussion: Le Soninké travaille pour les étrangers pour aller le donner à d'autres étrangers

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  1. 20/05/2008, 13h01 #101
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    Citation Posté par Badem Voir le message
    Pour que tout le monde travaille, il serait temps de diminuer le débit du robinet EUROS venant de France.
    Car dans le monde soninké, ce sont ceux qui ont rien qui sont obligés de travailler. Ainsi, par exemple, en période d'hivernage ma famille réussit à récolter 200 kg de riz, une famille qui vit à proximité de nous qui n'ont aucune famille en France ou ailleurs, réussit à récolter 2 tonnes de riz!!!!

    Bonjour!

    Je suis tout à fait d'accord avec toi. L'éternelle et la sempiternelle dépendance à la manne migratoire a inauguré un certain fainéantise chez certaines familles, car elles savent que, d'une manière ou d'une autre, les greniers seront ravitaillés par l'argent envoyé. Makalou l'avait souligné avec raison plus haut. Je pense comme toi qu'il est grand temps que les immigrés adoptent une politique et s'investissent dans des projets juteux que de continuer à envoyer des mandats. En résumé, je suis d'accord avec toi.
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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  2. 20/05/2008, 13h49 #102
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    Posté par Badem
    Pour que tout le monde travaille, il serait temps de diminuer le débit du robinet EUROS venant de France.
    Car dans le monde soninké, ce sont ceux qui ont rien qui sont obligés de travailler. Ainsi, par exemple, en période d'hivernage ma famille réussit à récolter 200 kg de riz, une famille qui vit à proximité de nous qui n'ont aucune famille en France ou ailleurs, réussit à récolter 2 tonnes de riz!!!!



    Citation Posté par Cheikhna Mouhamed WAGUE Voir le message
    Bonjour!

    Je suis tout à fait d'accord avec toi. L'éternelle et la sempiternelle dépendance à la manne migratoire a inauguré un certain fainéantise chez certaines familles, car elles savent que, d'une manière ou d'une autre, les greniers seront ravitaillés par l'argent envoyé. Makalou l'avait souligné avec raison plus haut. Je pense comme toi qu'il est grand temps que les immigrés adoptent une politique et s'investissent dans des projets juteux que de continuer à envoyer des mandats. En résumé, je suis d'accord avec toi.


    Salam

    C'est clair que les comportements different d'une famille à une autre.
    Une famille qui bénéficie d'une pluie d'euros n'a pas les mêmes attitudes que celle qui ne compte que sur ces bras pour survivre.
    D'ailleurs ce serait de la redondance de m'y apesantir la dessus.

    J'abonderai dans une autre sens...

    Les émigrés face aux defi de la mise en place du tissu économique villageoise.

    Il faut que les émigrés s'ouvrent d'autres pistes d'investissement autre que l'immobilier. L'immobilier est un investissement sans faille mais il faudrait aussi la donne " Création d'emplois" dans nos investissements.

    Ceci ne serait possible que par une réelle prise de conscience des envoyeurs et des receveurs.

    J'ai donné l'exemple de la terre ci-dessus.

    Par ailleurs, je propose un axe pour les associations Soninkés.

    Je vais prendre le cas de Soninkara.com entre autres.

    Aujourd'hui on est presque des milliers à se connecter sur ce site.

    Immaginons que l'on se reuinisse tous à travers une association forte.

    L'idée est que chaque personne cotise 50 Euros voire 100 Euros...100 Personnes feront 50000 Euros ou 100000 Euros.

    Alors jouons un peu avec la logique :

    Une association avec 100000 Euros x 655.957 FCA = 65595700 FCA.

    Les 1000 forumistes interessés cotiseraient chacun 100 Euros ce qui donnerait le total ci-dessus.

    Il suffit que l'on soit structuré en une bonne association motivéé 100% pour faire bouger les choses avec une telle mane financière.

    Ces 65.000.000 FCFA constitueraient une somme colossale dans nos pays d'origine.

    Cet investissement se fera d'abord par la création d'entreprises pépinières tests dans chaque entité Soninké ( Gajaga, Hayré, Diafounou, Kaarta, Fuuta, Guidimakha...).

    Ces pépinières d'entreprises peuvent concernés des plantations de fruits, de grands bassins de légumes, de grands terres specilisés dans les céréales. Chaque grande région Soninké abritera 1 ou 2 pépinières selon la nature et la fertilité de ses terres en y ajoutant une petite future touche industrielle pour la transformation des fruits des recoltes.

    Dans un premier temps, on fera appel à des specialistes agronomes Soninkés a defaut d'autres ethnies afin de nous prodiguer conseils et astuces. Ces derniers s'occuperont aussi de la formation de nos frères restés dans les villages afin de les former à être des acteurs incontournables de ces dits projets nés depuis l'héxagone.

    Après avoir négocié les futurs terrains qui receptionneraient nos investissements, on achetera les matériels adéquats a l'exploitation de ses terres. Si possible, on peut même demander demander des aides de plusieurs organismes interessés par le devellopement des pays en voie de devellopement.

    Une fois les machines mis a disposition, il ne restera que l'exploitation et la mise en route de ces projets par nous autres ainsi que nos frères du Bled qui auront au moins suivi une formation dans des domaines adéquats du projet.

    Ainsi on aura amorcé un vaste programme de devellopement local en mélangeant jeunes de la diaspora et jeunes locaux autour d'un même idéal :

    Sortir nos pays des difficultés economiques et sociales.

    A travers, un projet de ce genre on aurait créée des emplois localement mais aussi diminuer les robinets d'euros.

    Il suffit que l'on soit structuré et motivé en rangeant les égos dans les placards. Il faudra aussi etablir une charte claire et juste du projet.
    Mieux mettre les hommes qu'il faut à la place qu'il faut.

    Pour économiser 100 Euros en France.... Bien sur il faut d'abord un salaire mais je dirai que c'est trop facile. Il faut juste mettre de coté 20 euros pendant 5 mois...
    On peut tous faire un sacrifice.

    J'ai choisi un groupe de 1000 Personnes. On est presque 5000 à se connecter sur www.Soninkara.com alors c'est tout à fait réalisable.

    Il faut que l'on ait confiance en vous et que l'on y croit.
    Dernière modification par makalou 20/05/2008 à 15h52
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  3. 21/05/2008, 13h13 #103
    dieyne
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    C’est vrai j’ai de l’admiration devant mes parents, devant ces hommes et ces femmes, avec très souvent un salaire de misère, ont élevés leurs enfants dans la dignité avec un frigo jamais vide et toujours là pour aider les leurs de manière régulière, tous les mois ils envoient leur cotisation. En plus de cela, ils aident leur famille restée a pays à faire face à d’autres charges « imprévues », mariage, décès, hausse du prix des denrées… Un simple coup de fil et le soninké de France répond présent, il se débrouille et trouve une solution pour envoyer de l’argent. Je caricature un peu mais c’est ce que je constate autour de moi

    Honnêtement je ne sais pas si je pourrai faire cela. Il m’arrive d’envoyer de l’argent de manière ponctuelle, je le fais parce que ça me fait plaisir et parce que c’est aussi un devoir en tant que musulman. Mais je ne pense pas que je répondrai toujours à l’appel, je préfère donner de bon cœur si je peux plutôt que de donner par obligation (même si les personnes qui le font ne l’interprète pas comme une obligation mais plutôt comme une devoir) ! C’est peut être un peu égoïste…

    Par contre, ce que je me sens prête à faire, dans la mesure de mes possibilités, c’est financer des projets. Je préfère que l’on me présente un projet avec les tenants, les aboutissants, une étude du marché, les moyens matériels, financiers et humains nécessaires… C’est vrai que cela est possible à travers des associations villageoises (où l’on peut réunir des moyens financiers et matériels) mais les projets n’aboutissent pas toujours ou du moins ont du mal à se pérenniser. Je pense qu’il y a deux maux à l’origine.

    D’une part, comme l’ont soulignées de nombreuses personnes précédemment, il y a un problème d’organisation, de méthodologie. Il faut parfois davantage de rigueur et privilégier les compétences aux liens de famille ou d’amitiés.

    L’autre problème plus important est le manque de motivation, de mobilisation, des personnes sur place. Les projets qui fonctionnent sont ceux qui associent les personnes concernées. Tout amené sur un plateau doré met les personnes dans une situation de consommateur plutôt que de producteur. Il y a tant d’exemples, des hôpitaux ont été crée et les habitants volent les lits pour les installer chez eux ou pour les revendre.

    Il faut faire confiance aux habitants, ils sont tout à fait capables de participer à l’élaboration du projet ainsi qu’à sa mise en place. Lorsque l’on se bat pour un projet, que l’on a conscience des éventuelles difficultés, je pense que l’on se bat plus et que l’on peut supporter l’idée de ne pas avoir tout de suite de profit. Il est vrai qu’une sensibilisation de la population est sans doute nécessaire, apprendre à monter des projets, à réfléchir sur du long en terme, en années parfois… La diaspora aurait un rôle d’aide, de conseil.

    Le plus beau serait de voir, des soninke sur place se réunir en association où l’on retrouverait motivation, savoir faire et savoir être à la recherche de financement pour monter leurs projets. Ces personnes feraient appel à des associations à l’étranger et d'autres partenaires pour les aider à concrétiser lesdits projets mais elles resteraient actrices et non spectatrices. Les habitants seraient à l’initiative et forcément ça ne peut que mieux fonctionner.

    On doit réfléchir ensemble et tout au long de ce sujet on peut relever les projets qui ont été expliqués et il est temps de passer à l’action comme l’a si bien expliqué Makalou et d’autres à travers des exemples avec la contribution des populations sur place.

    Désolée d’avoir été longue. En tout les cas ce sujet m’a donné envie de m’investir, d’apporter ma modeste contribution.
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  4. 21/05/2008, 13h54 #104
    makalou
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    Citation Posté par dieyne Voir le message
    C’est vrai j’ai de l’admiration devant mes parents, devant ces hommes et ces femmes, avec très souvent un salaire de misère, ont élevés leurs enfants dans la dignité avec un frigo jamais vide et toujours là pour aider les leurs de manière régulière, tous les mois ils envoient leur cotisation. En plus de cela, ils aident leur famille restée a pays à faire face à d’autres charges « imprévues », mariage, décès, hausse du prix des denrées… Un simple coup de fil et le soninké de France répond présent, il se débrouille et trouve une solution pour envoyer de l’argent. Je caricature un peu mais c’est ce que je constate autour de moi

    Honnêtement je ne sais pas si je pourrai faire cela. Il m’arrive d’envoyer de l’argent de manière ponctuelle, je le fais parce que ça me fait plaisir et parce que c’est aussi un devoir en tant que musulman. Mais je ne pense pas que je répondrai toujours à l’appel, je préfère donner de bon cœur si je peux plutôt que de donner par obligation (même si les personnes qui le font ne l’interprète pas comme une obligation mais plutôt comme une devoir) ! C’est peut être un peu égoïste…

    Par contre, ce que je me sens prête à faire, dans la mesure de mes possibilités, c’est financer des projets. Je préfère que l’on me présente un projet avec les tenants, les aboutissants, une étude du marché, les moyens matériels, financiers et humains nécessaires… C’est vrai que cela est possible à travers des associations villageoises (où l’on peut réunir des moyens financiers et matériels) mais les projets n’aboutissent pas toujours ou du moins ont du mal à se pérenniser. Je pense qu’il y a deux maux à l’origine.

    D’une part, comme l’ont soulignées de nombreuses personnes précédemment, il y a un problème d’organisation, de méthodologie. Il faut parfois davantage de rigueur et privilégier les compétences aux liens de famille ou d’amitiés.

    L’autre problème plus important est le manque de motivation, de mobilisation, des personnes sur place. Les projets qui fonctionnent sont ceux qui associent les personnes concernées. Tout amené sur un plateau doré met les personnes dans une situation de consommateur plutôt que de producteur. Il y a tant d’exemples, des hôpitaux ont été crée et les habitants volent les lits pour les installer chez eux ou pour les revendre.

    Il faut faire confiance aux habitants, ils sont tout à fait capables de participer à l’élaboration du projet ainsi qu’à sa mise en place. Lorsque l’on se bat pour un projet, que l’on a conscience des éventuelles difficultés, je pense que l’on se bat plus et que l’on peut supporter l’idée de ne pas avoir tout de suite de profit. Il est vrai qu’une sensibilisation de la population est sans doute nécessaire, apprendre à monter des projets, à réfléchir sur du long en terme, en années parfois… La diaspora aurait un rôle d’aide, de conseil.

    Le plus beau serait de voir, des soninke sur place se réunir en association où l’on retrouverait motivation, savoir faire et savoir être à la recherche de financement pour monter leurs projets. Ces personnes feraient appel à des associations à l’étranger et d'autres partenaires pour les aider à concrétiser lesdits projets mais elles resteraient actrices et non spectatrices. Les habitants seraient à l’initiative et forcément ça ne peut que mieux fonctionner.

    On doit réfléchir ensemble et tout au long de ce sujet on peut relever les projets qui ont été expliqués et il est temps de passer à l’action comme l’a si bien expliqué Makalou et d’autres à travers des exemples avec la contribution des populations sur place.

    Désolée d’avoir été longue. En tout les cas ce sujet m’a donné envie de m’investir, d’apporter ma modeste contribution.

    Salam,

    Tu as bien compris la situtation.
    Il s'agit de fermer petit à petit les robinets d'euros qui auraient du mal à couler dans l'avenir proche et d'essayer de mettre en place des projets qui permettront aux frères locaux de travailler et de percevoir un salaire normal.
    Ces projets ne peuvent être mis en place que par le biais d'associations bien structurées et competentes avec un coup de pouce d'autres acteurs privés ou publiques.

    Tu as bien fait de souligner l'attitude de certains locaux qui ternissent l'image des projets en s'accaprant des richesses créées ou des biens réçus à des fins privés.
    Ces comportements sont à bannir dans l'avenir et s'il le faut traduire en justice des gens qui auraient de tels comportements.

    Si on decide de travailler ensemble pour le bien de nos villages, on doit mettre l'intérêt de la communauté devant ses propres intérêts.
    Mettre les hommes qu'il faut à la place qu'il faut, prôner le serieux et la perseverance. Ranger les égots dans les tiroirs, se faire confiance même si la confiance n'exclut pas le contrôle.

    Il y a tant de pistes à explorer, tant de secteurs porteurs, tant de compétences... Il suffit juste que les associations se fassent violence pour bien se structurer, bien chercher des financements et bien investir localement dans des secteurs porteurs et non essoufflés.

    Ne jamais se decourager, toujours perseverer, toujours penser que l'on travaille pour demain mais pas pour aujourd'hui.
    Dernière modification par makalou 21/05/2008 à 14h08
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  5. 23/05/2008, 10h40 #105
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    Citation Posté par makalou Voir le message
    Posté par Badem
    Pour que tout le monde travaille, il serait temps de diminuer le débit du robinet EUROS venant de France.
    Car dans le monde soninké, ce sont ceux qui ont rien qui sont obligés de travailler. Ainsi, par exemple, en période d'hivernage ma famille réussit à récolter 200 kg de riz, une famille qui vit à proximité de nous qui n'ont aucune famille en France ou ailleurs, réussit à récolter 2 tonnes de riz!!!!







    Salam

    C'est clair que les comportements different d'une famille à une autre.
    Une famille qui bénéficie d'une pluie d'euros n'a pas les mêmes attitudes que celle qui ne compte que sur ces bras pour survivre.
    D'ailleurs ce serait de la redondance de m'y apesantir la dessus.

    J'abonderai dans une autre sens...

    Les émigrés face aux defi de la mise en place du tissu économique villageoise.

    Il faut que les émigrés s'ouvrent d'autres pistes d'investissement autre que l'immobilier. L'immobilier est un investissement sans faille mais il faudrait aussi la donne " Création d'emplois" dans nos investissements.

    Ceci ne serait possible que par une réelle prise de conscience des envoyeurs et des receveurs.

    J'ai donné l'exemple de la terre ci-dessus.

    Par ailleurs, je propose un axe pour les associations Soninkés.

    Je vais prendre le cas de Soninkara.com entre autres.

    Aujourd'hui on est presque des milliers à se connecter sur ce site.

    Immaginons que l'on se reuinisse tous à travers une association forte.

    L'idée est que chaque personne cotise 50 Euros voire 100 Euros...100 Personnes feront 50000 Euros ou 100000 Euros.

    Alors jouons un peu avec la logique :

    Une association avec 100000 Euros x 655.957 FCA = 65595700 FCA.

    Les 1000 forumistes interessés cotiseraient chacun 100 Euros ce qui donnerait le total ci-dessus.

    Il suffit que l'on soit structuré en une bonne association motivéé 100% pour faire bouger les choses avec une telle mane financière.

    Ces 65.000.000 FCFA constitueraient une somme colossale dans nos pays d'origine.

    Cet investissement se fera d'abord par la création d'entreprises pépinières tests dans chaque entité Soninké ( Gajaga, Hayré, Diafounou, Kaarta, Fuuta, Guidimakha...).

    Ces pépinières d'entreprises peuvent concernés des plantations de fruits, de grands bassins de légumes, de grands terres specilisés dans les céréales. Chaque grande région Soninké abritera 1 ou 2 pépinières selon la nature et la fertilité de ses terres en y ajoutant une petite future touche industrielle pour la transformation des fruits des recoltes.

    Dans un premier temps, on fera appel à des specialistes agronomes Soninkés a defaut d'autres ethnies afin de nous prodiguer conseils et astuces. Ces derniers s'occuperont aussi de la formation de nos frères restés dans les villages afin de les former à être des acteurs incontournables de ces dits projets nés depuis l'héxagone.

    Après avoir négocié les futurs terrains qui receptionneraient nos investissements, on achetera les matériels adéquats a l'exploitation de ses terres. Si possible, on peut même demander demander des aides de plusieurs organismes interessés par le devellopement des pays en voie de devellopement.

    Une fois les machines mis a disposition, il ne restera que l'exploitation et la mise en route de ces projets par nous autres ainsi que nos frères du Bled qui auront au moins suivi une formation dans des domaines adéquats du projet.

    Ainsi on aura amorcé un vaste programme de devellopement local en mélangeant jeunes de la diaspora et jeunes locaux autour d'un même idéal :

    Sortir nos pays des difficultés economiques et sociales.

    A travers, un projet de ce genre on aurait créée des emplois localement mais aussi diminuer les robinets d'euros.

    Il suffit que l'on soit structuré et motivé en rangeant les égos dans les placards. Il faudra aussi etablir une charte claire et juste du projet.
    Mieux mettre les hommes qu'il faut à la place qu'il faut.

    Pour économiser 100 Euros en France.... Bien sur il faut d'abord un salaire mais je dirai que c'est trop facile. Il faut juste mettre de coté 20 euros pendant 5 mois...
    On peut tous faire un sacrifice.

    J'ai choisi un groupe de 1000 Personnes. On est presque 5000 à se connecter sur www.Soninkara.com alors c'est tout à fait réalisable.

    Il faut que l'on ait confiance en vous et que l'on y croit.
    Salam

    Un tel projet mené à bien serai trés fructueux pour nos pays, et il est tout à fait possible d'y parvenir.
    Je pense que ça sera également un tremplin quand au remaniement de notre fonctionnement actuel.
    De plus, un point qui me paraît trés interressant c'est qu'à partir d'une même union (soninkaxa) on aura les bienfaits sur toutes les regions qu'elle recouvre.
    Je serai curieuse de lire le point de vue des soninkarautes....
    PEACE
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    Frederick Douglass
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  6. 23/05/2008, 10h55 #106
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    Citation Posté par miss ében Voir le message
    Salam

    Un tel projet mené à bien serai trés fructueux pour nos pays, et il est tout à fait possible d'y parvenir.
    Je pense que ça sera également un tremplin quand au remaniement de notre fonctionnement actuel.
    De plus, un point qui me paraît trés interressant c'est qu'à partir d'une même union (soninkaxa) on aura les bienfaits sur toutes les regions qu'elle recouvre.
    Je serai curieuse de lire le point de vue des soninkarautes....
    PEACE

    Salam

    Tu sais j'ai fait cette proposition vaguement en prenant un panel de 1000 forumistes.
    Si une centaine de Soninkaranautes compétents et motivésv essaiyaient d'y croire et de se strcuturer sous forme d'une association ou de Groupement, il serait tout à fait possible de parvenir à quelque chose de concret.

    L'idéal serait d'avoir un fonds propre conséquent comme je l'ai proposé dans mes posts precedents.( Cotisation ).

    A partir de là, on partegera les tâches avec des comptes rendus mensuels ou hebdomadiares obligatoires, un cahier de route ainsi que l'évaluation hebdomadaire des actions seront mis en place.
    Après avoir defini le rôle de chacun, il serait pertinent de cibler les secteurs d'activités ainsi que les localités susceptibles d'abriter de tels projets.

    Dés lors que ce champ d'action serait determiné, on s'attaquerait à la recherche de subventions,de formation si necessaire, d'aides afin de mieux gonfler nos financements et nos compétences.

    Une fois ces paramètres precisés, un comité d'action serait nommé pour aller sillonner les differentes localités, faire les demarches necessaires, discuter avec les residents, bien motiver la jeunesse de ces localités et mieux determiner un reglement interieur que quiconque doit respecter scrupuleusement faute de quoi, la justice fera le reste.

    Apres cela, on lancera le premier volet de nos projets en allant doucement mais surement tout en s'inscrivant dans la durée et non dans l'immédiat.

    Je cogiterai prochainement sur un exemple de projets afin de donner une idée concrète et perceptible.
    Dernière modification par makalou 23/05/2008 à 10h58
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  7. 23/05/2008, 16h13 #107
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    Salam

    On parle de projets locaux pour sortir nos contrées des difficultés economiques.
    Ci-dessus, on a un exemple de projet de devellopement local initié par la population locale notamment les femmes d'un quartier de Bakel.

    La diaspora peut s'inspirer des exemples du genre pour orienter leurs investissement privés ou associatifs dans des domaines aussi divers mais toujours porteurs.

    Il s'agit de fabriquer de la farine localement à partir de la production agricole locale.
    c'est l'ideal... Cultiver pour ensuite tranformer avec une touche
    industrielle et enfin vendre à un prix abordable à la popualation locale. Un millier d'activités du genre aideront à assurer notre autosuffisance alimentaire, mieux s'enrichir localement et changer les mentalités du genre:

    << On se reussit qu'à l'étranger >>.


    Lutte contre la malnutrition des enfants: Bakel se dote d'une unité de fabrication de farine Misola
    23-05-2008 Par El Hadj Thiendella Fall / tambacounda.info

    C'est parce que 40% des enfants de Bakel et environs souffrent de malnutrition et de carence alimentaire que l'idée de doter la localité d'une unité de fabrication de farine Misola a été agitée notamment par l'association de lutte contre les parasitoses infantiles au Sénégal. Le projet porté par une association de femmes dénommée "Association de lutte contre la malnutrition des enfants de Bakel" a été lancé ce jeudi au quartier Yaguiné de la commune en présence de André Desaunay, président de l'Apis, entre autres personnalités. L'occasion a été mise à profit pour les femmes de faire une démonstration de production de farine de Misola.

    En partenariat avec l’association Misola, l’association de lutte contre les parasitoses infantiles au Sénégal (Apis) vient, après Bandia dans le département de MBour, de doter la commune de Bakel d’une unité de fabrication de farine de Misola. La cérémonie de lancement a eu lieu ce jeudi au quartier Yaguiné où se trouve ladite fabrique. Cette association est, de 1991 à 1997, présente dans le département de Foundiougne dans la région de Fatick et était chargée du dépistage et du traitement de la bilharziose. Et puisque la maladie n’existait plus dans cette zone, les membres de cette association dirigée par André Desaunay ont décidé de mettre le cap vers la région du fleuve Sénégal notamment dans le département de Bakel, à partir de 1998. Ici, rappelle M.Desaunay, 46 villages ont, à cet effet, été visités et 10.400 enfants souffrant de bilharziose ont été soignés à l’issue d’un traitement de masse. C’était en 2006.
    Auparavant, c'est-à-dire en 2000, le Docteur Marie Christine Hermenault, médecin nutritionniste de ladite association a fait une étude notamment axée sur la malnutrition des enfants à Bakel et ses environs. C’est ainsi qu’il a été constaté que 40% des enfants de la zone sont malnutris ou atteints de carence alimentaire. C’est fort de ce constat amer que l’idée de mettre une unité de production de farine de Misola à Bakel a été émise. Ceci, après sept années d’attente, précise M.Desaunay. Pour ce faire, il fallait nouer un partenariat avec des groupements féminins notamment avec celui que dirige Fanta Sylla, par ailleurs matrone au centre de santé de Bakel. Seulement le projet, se désole André Desaunay, a mis du temps à se réaliser puisque, indique-t-il, une unité a été mise en place à Bandia dans le MBour. C’est pourquoi, renseigne notre interlocuteur, le projet de Bakel a été abandonné en 1997. Toutefois, à la même date, le président de l’Apis était venu à Bakel rencontrer la dame Fanta Sylla pour s’organiser de façon à créer une association chargée de la gestion de l’unité en question. C’est à la suite de cette rencontre que naquit "l’association de lutte contre la malnutrition des enfants de Bakel". C’est ainsi qu’il a été décidé d’installer l’unité de production en novembre 2007 avec tout le matériel y afférent. Ceci pour un montant global estimé à 3 millions Fcfa. Quant au moulin, il a été installé en 2007 au cours d’une mission dite de bilharziose à Bakel composée de Mariame Wane, Rolande Burlot, Nathalie Camara, Bruno Dilazzaro, Jésus Martinez et André Desaunay. Mais avant, rappelle toujours le patron de l’Apis, trois personnes de l’association Misola de Bakel s’étaient rendues à Kati au Mali pour une formation de quinze jours dans un centre de formation Misola.
    Et c’est à partir de mi-janvier 2008 que les femmes ont commencé à produire. Ainsi, du 15 janvier à fin avril 2008, 1.129 sachets de 500g ont été fabriqués. Le sachet coûte 300 Fcfa.
    La farine Misola est une farine mise au point par un Dr. Français du nom de François Laurent. Elle est fabriquée à base de mil, de soja et d’arachide plus un complément vitaminique, reconnue par l’Organisation mondiale de santé (Oms), très bien implantée au Mali, au Burkina et maintenant au Niger, renseigne t-on. Cette farine est surtout destinée au complément alimentaire pour les enfants. Cependant, elle ne remplace pas l’allaitement maternel quand cela est possible. Elle peut être aussi utilisée en complément alimentaire pour les femmes enceintes, les malades, et les personnes âgées qui ont des difficultés à se nourrir.
    Sa bouillie est préparée en sachets de 500 g, ce qui d’ailleurs peut faire 9 bouillies pour un prix de 300 Fca. La farine Misola contient des ingrédients en mil (60%), soja (30%), arachide (10%), sucre (9%) et en vitamines et minéraux pour 1%.
    Les 100g de farine Misola compte 61 g de glucides, 16g de protides et en énergie de 425 Kcal. Quant à la bouillie, elle est préparée avec 60g de farine et 200g d’eau. Une bouillie Misola apporte 250 Kcal.
    A Bakel, c’est plutôt l’association de lutte contre la malnutrition des enfants qui est chargée de la promotion et de la vente du produit. L’objectif du projet de Bakel est de donner une nutrition complète aux enfants ; mais aussi de permettre aux femmes qui s’occupent de l’unité de production d’avoir de l'argent qui reviendra au groupement. L’ambition est aussi de faire de l’unité de fabrique de Bakel un centre de formation de production de farine Misola pour le Sénégal et de pouvoir ramener en France, de la farine de Misola, souhaite Adré Desaunay.
    Il faut noter c'est l'Apis qui financé tout le projet à savoir la formation subie au Mali par les femmes de Bakel, la fabrication de la machine, l'achat de tout le matériel et des matières permières afin que l'unité puisse fonctionner pendant six mois sans frais. Tout pour un coût global estimé à 3 millions de Fcfa.
    La cérémonie de lancement a été mise à profit par les femmes pour faire une démonstration de production de farine Misola par les différents processus nécessaires.


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  8. 25/05/2008, 20h05 #108
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    Une initiative comme celle ci-dessous est à saluer.
    Une dizaine de strcutures du genre peuvent aider nos villages pour amortir la cherté de la vie.
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  9. 26/05/2008, 08h22 #109
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    Salam

    Je lis actuellement " Vers un nouveau capitalisme " de Muhamaad Yunuss.
    Je suis sur les premières pages qui sont dejà tres interessantes.

    Il parle de microcrédit que l'on peut resumer par l'octroi d'un prêt de quelques euros aux pauvres et aux mendiants afin qu'iils puissent à leur tour creer un petit commerce, un atelier d'artisanat, une quelconque activité pouvant generer des profits.

    Ces credits aux pauvres se font sans garantie et Mr Yunuss l'a commencé depuis 30 ans.
    Grâce à ce microcrédit des millions de personnes dans le monde notamment en Bangaldesh ont pu tirer leur epingle du jeu et subvenir aux besoins de leurs familles.

    D'ailleurs, ce système a eu un succés fou jusqu'à interesser le PDG de Danone ( Mr Riboud ).Aujourd'hui, l'entreprise de Mr Yunuss Grameen en collaboration avec Danone ont mis sur pied " Grameen Danone" afin de faire vendre et consommer par les Bangladais les Yaourts et autres produits Danone à un prix abordable.

    Si l'on pense que les Soninkés envoient des milliers d'euros par mois à leurs familles restées aux villages, ne peut t-on pas essayer ce système ?

    Comment peut - on transformer nos frères,soeurs ,cousins voire nos mamans et papas en petits entrepreneurs par le biais de quelques euros ?

    Je pense que les reponses à cette question peuvent être les premices de la fin de l'assistanat et l'eradication de la main tendue.

    Je finis par vous rappeler ce proverbe africain que je vais escamotter un peu:

    " Au lieu de me donner du poisson tous les jours, apprend moi à pecher "
    Dernière modification par makalou 26/05/2008 à 11h00
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  10. 30/05/2008, 23h12 #110
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    Citation Posté par makalou Voir le message
    Salam

    Je lis actuellement " Vers un nouveau capitalisme " de Muhamaad Yunuss.
    Je suis sur les premières pages qui sont dejà tres interessantes.

    Il parle de microcrédit que l'on peut resumer par l'octroi d'un prêt de quelques euros aux pauvres et aux mendiants afin qu'iils puissent à leur tour creer un petit commerce, un atelier d'artisanat, une quelconque activité pouvant generer des profits.

    Ces credits aux pauvres se font sans garantie et Mr Yunuss l'a commencé depuis 30 ans.
    Grâce à ce microcrédit des millions de personnes dans le monde notamment en Bangaldesh ont pu tirer leur epingle du jeu et subvenir aux besoins de leurs familles.

    D'ailleurs, ce système a eu un succés fou jusqu'à interesser le PDG de Danone ( Mr Riboud ).Aujourd'hui, l'entreprise de Mr Yunuss Grameen en collaboration avec Danone ont mis sur pied " Grameen Danone" afin de faire vendre et consommer par les Bangladais les Yaourts et autres produits Danone à un prix abordable.

    Si l'on pense que les Soninkés envoient des milliers d'euros par mois à leurs familles restées aux villages, ne peut t-on pas essayer ce système ?

    Comment peut - on transformer nos frères,soeurs ,cousins voire nos mamans et papas en petits entrepreneurs par le biais de quelques euros ?

    Je pense que les reponses à cette question peuvent être les premices de la fin de l'assistanat et l'eradication de la main tendue.

    Je finis par vous rappeler ce proverbe africain que je vais escamotter un peu:

    " Au lieu de me donner du poisson tous les jours, apprend moi à pecher "
    " Au lieu de me donner du poisson tous les jours, apprend moi à pecher "...

    Ceci constitue une bonne philosophie à adopter.
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