Parmi certain complexe il y a ceux qui changent de prénoms ,pour que ça passe mieux aux sein de l'entreprise.Voici l'exemple d'un jeune Homme qui a garder sa fierté lorsque un de ses conseiller lui demande de prendre un pseudo .En lui disant "Alexandre,c'est plus vendeur que mohamed,Alexandre passe mieux dans le commerce"
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«Alexandre, c'est plus vendeur que Mohamed» chez Maximo
A.L | 06.10.2010, 21h42 | Mise à jour : 07.10.2010, 10h46
«Alexandre, c'est plus vendeur que Mohamed». Voilà une phrase que n'est pas près de digérer un jeune homme de 19 ans, en bac pro au lycée d'Etion à Charleville-Mézières (Ardennes). Mohamed commence à peine son stage de télévendeur chez Maximo lorsque l'un des conseillers de l'entreprise lui demande de prendre un pseudo.
«Alexandre, ça passe mieux dans le commerce», lui souffle-t-il. Le lycéen, qui a pour mission de démarcher des clients de l'enseigne spécialisée dans la vente et la livraison de produits alimentaires, en tombe de sa chaise. Choqué, il part se plaindre auprès du directeur de l'agence. Mais l'affaire dérange. Mohamed se fait renvoyer. Le jeune Français ne compte pas en rester là. Il vient de saisir la justice pour «discrimination». La direction de Maximo, qui ne souhaitait faire aucun commentaire jusqu'à présent, a finalement prétendu, via un communiqué, que le changement de prénom était juste un exemple lors de la procédure de présentation du poste. L'entreprise, qui s'estime atteinte dans son image, a argué que «le prénom d'Alexandre a été utilisé uniquement à titre d'exemple par la personne chargée de la formation du jeune homme». Y a-t-il eu malentendu ? Maximo rappelle aussi que l'usage d'un pseudonyme chez les télévendeurs était une démarche courante, «destinée à préserver leur identité».
Le préjugé de prénom considéré comme un délit pénal
L'affaire du «prénom vendeur» est arrivée aux oreilles de Faouzi Lamdaoui, ex-secrétaire national du PS à l'Egalité. Pour lui, cette histoire est «révélatrice des dégâts» du débat sur l'identité nationale. «Ce lycéen, français de naissance, est victime d'un faux délit d'appartenance ethnique qui remet en cause le premier article de la Constitution établissant l'égalité absolue entre tous les citoyens, a-t-il déclaré dans un communiqué. Le préjugé de prénom est considéré par la jurisprudence comme un délit pénal et une atteinte aux droits fondamentaux des citoyens», fait-il valoir.
Faouzi Lamdaoui a même réclamé «un bilan de l'égalité qui recense les pratiques discriminatoires et les avancées égalitaires».
En attendant, Mohamed a retrouvé un stage dans une autre entreprise. Et on ne lui a pas demandé de changer de prénom.
ceci me rappelle la parole du trés haut exalté-soit-il:
"Celui qui craint ALLAH,IL lui donne une issue favorable"S65_V2
Il c'est fait renvoyer,et voici qu'il retrouve un autre stage dans une autre entreprise.
leparisien.


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