Je n'ai pas dit que les arrangements se font sur la base du mensonge. Je ne pourrais jamais dire un tel impair. Loin de moi un tel propos, je voulais dire qu'avant de porter cette chose devant les justiciers, ils auraient dû trouver un modus vivendi. En ce qui me concerne, je n'aurais jamais porté le mensonge de la non-virginité d'une fille devant les juges. Si l'Islam nous permet de divorcer quand un de deux époux ment sur une de ses qualités, il nous recommande aussi par la même occasion de nous séparer en bons termes : fa imsâkun bi ma'arûfine, aw tasrîihûne bi ihsânine (grosso modo : Unissez vous dans les meilleures conditions et séparez vous dans les meilleures conditions).
En plus, je suppose qu'avant d'aller faire le mariage à la mairie, il avait d'abord fait le mariage religieux. Il aurait pu, durant cette fourchette, savoir si la fille était vierge ou non, vu que religieusement tout est permis entre eux et qu'il tient tant à la virginité. C'est troublant son agissement. Vu qu'il avait cette possibilité, pourquoi attendre la signature à la mairie et après avoir consommé suavement le mariage pour aller porter l'affaire devant les justiciers. Honnêtement, je dis et je le répète, que je doute de sa sincérité. J'ai le même point que ja-net sur cette question.