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  • Le Soninké travaille pour les étrangers pour aller le donner à d'autres étrangers

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Discussion: Le Soninké travaille pour les étrangers pour aller le donner à d'autres étrangers

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  1. 29/04/2008, 10h52 #51
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    Citation Posté par Fodyé Cissé Voir le message
    Il y a beaucoup de pistes de développement local. Je suis sûr que dans le Gajaaga, il y a aussi des projets de développement local intéressants qui ont été mis en place et qui rencontrent un succès.

    Par contre, ce que je n'ai pas encore vu, c'est une collaboration entre plusieurs villages pour mettre en place des projets bénéfiques pour la population.

    Par ailleurs, les ressortissants de nos villages ne comptent pas sur les pouvoirs publics locaux pour réaliser leurs projets, alors que bien souvent, des aides sont possible dans ce sens.

    Salam

    Fodyé,

    Tu sais ce genre de projet est celui qui me tient à coeur. Je vois les choses grand mais pas petit.
    C'est la raison pour lauqelle je parlais de Fédération des Jeunes Ressortissants du département de BAKEL.
    En effet, je pense qu'avec ces genres de Fédérations, on aura un multitude de talents qui permettront de maximiser notre efficacité.
    Ceci peut nous permettre aussi de s'enteraider dans les carences de nos villages respectifs.
    Mon souhait aujourd'hui est de federer les talents de ce departement en ruine. De Gandé à Bakel, de Koughany à Aroundou, de Gabou à Kidira, de Tourimé à Bondji...
    Il faut que l'on unisse nos talents. certains villages n'ont pas les ressources humaines et financières necessaires pour ammorcer ce genre de devellopement local alors une telle fédération pourra leur apporter un soutien et un investissement necessaire à la réalisation de projets locaux.
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  2. 30/04/2008, 10h34 #52
    makalou
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    Citation Posté par Badem Voir le message
    Mon cher Makalou,

    Je vais répondre dans les détails à tes divers questions dans la soirée pour explique le modeste travail de notre association.
    Salam

    Badem,

    On attend ta contribution à propos de réalisations locales de Diaguily - Meleika... Beybo sandigui Bounayé Débé Bané Tokhoni Tami...

    Je profite pour ouvrir un petit HS:

    " Mes condoléances à tout Diaguily particulièrement à la Famille DRAME pour le décès de Tonton Gaye Dialla Dramé." Que la terre lui soit légère.
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  3. 02/05/2008, 09h23 #53
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    Salam

    Aujoudh'ui le Sénégal est en panne, le Mali n'a pas non plus une économie reluisante, la Mauritanie survit. Tel est le triste decor de nos pays d'origine.
    L'adage dit : " Quand la barbe de ton voisin brûle arrose la tienne".
    Qui sont nos voisins ?
    Ils sont Serères, Diolas, Peuls, Bambaras, Khassonkés,Maures...Ces ethnies citées sont comme les Soninkés.

    Ils vivent en général dans les recoins de nos pays d'origine. Ils vivent de l'agriculture, de petis boulos, de pêche et de petits commerce mais sont tenaillés par la faim à l'heure actuelle.

    Le Soninké comme certains de ces ethnies citées a un gros avantage:

    " Ne pas attendre l'aide de nos gouvernements pour vivre".

    C'est comme si nos aieux avaient predit un avenir difficile de nos pays d'origine. Ils ont depuis belle lurette tracé leur route pour des horizons plus cléments.
    C'est ainsi que même du find fond de la chine, de l'Amérique Latine, du Zaire, il est tout à fait probable de rencontrer un Soninké à la recherche de fortune.

    Aujourd'hui dans le monde entier particulièrement en France, les Soninkés sont considérés comme un peuple voyageur et infatigable chercheur de " Khalissi" ...

    De cette prémonition de nos aieux (Avenir peu reluisant ), les Soninkés ont trouvé la parade:

    Vivre à l'étranger pour subvenir aux besoins quotidiens de nos familles restées aux villages.

    On ne peut que remercier nos grands parents qui nous ont montrés ce chemin de reussite avec tout ce que cela comporte comme inconvénients.

    Mais , même si nous sommes de de vrais croyants, dés fois la fin justifie les moyens.

    Aujourd'ui, la faim nous guette. Nos gouvernements s'enrichissent sur nos dos et avilissent les pauvres.

    Un SMIC du Sénégal ou du Mali ne peut même pas faire vivre un poulailler.

    Alors de Diafounou à Kaarata, De Hayré à Guidimakha, de Fuuta à Gajaaga, tous les yeux sont tournés vers les émigrés, pauvres émigrés.

    Ces derniers ont accepté de braver les hivers, de reduire le temps de sommeil, de dormir avec des cafards, de preparer leurs propres repas.
    Ces gens là ont laissé leurs 4 femmes au pays en ayant comme source de resistance à la tentation de Satan la foi. Si l'on augmente la force de Satan dans ces pays d'immigration on se rencontre que c'est plus que meritant.

    Il n y a juste un mot à dire : Bravo à ces émigrés.

    J'aurai voulu faire sonner dans chaque portable d'immigrés et fils d'immigrés le célèbre tube " Emigrés " de Youssou N'dour afin de l'ecouter dans les pures moments de detresse.

    Spécial remerciement à ces braves gens qui la plupart sont venus avec comme seul bagage intellectuel " Bonssour Moussé ".

    C'est dire que ces gens se sont sacrifiés.

    Je me rappelle encore de ces vieux " Navigateurs " qui passaient des mois et des mois sans femme, ni proche dans les océans du monde avec comme seul ami le Bon Dieu.

    Quelque soit le poids des conséquences d'immigration léguées , on doit dire haut et fort avec une grande fièrté :
    Merci à la première génération d'immigrés.
    Moi, je regarde tous les jours mon père, mes oncle avec une grande fierté car ils ont au moins amorcer un devellopement local.

    En quoi faisant ?

    Ils nous ont balayé le terrrain en nous donnant une nationalité pour certains, un billet Bamako- Paris ou Dakar - Paris.

    Ils ont aussi construit pour la plupart des maisons bétonnées qui allègent nos taches avant chaque hivernage car les maisons en banco ( argile ) autrefois doivent être entretenues à chaque début de saison de pluies.
    Ils ont augmenté aussi notre niveau de vie villageoise.

    90% des maisons Soninkés bénéficient des calories quotidiennes necessaires au bon fonctionnement de l'organisme.
    Bref, ces immigrés de la première génération doivent être décorés
    " Chevalier de l'ordre Soninkara de merite".

    Certes ils n'ont pas tout fait mais ils ont eu leur moyenne et ont reuissi à leurs examens.

    A chacun son tour chez le coiffeur.
    Comme mon oncle me dit souvent :

    " Nous, notre temps est fini. On a rempli notre part du contrat. Nos parents sont la plupart décédés. Paix à leurs âmes. Ils ne nous restent qu' à planifier de vivre avec nos maigres retraites jusqu'au jour de nos rappels à Dieu Tout Puissant".

    A travers ce message, c'est comme s'il disait qu'il ne comptait pas sur la dernière génération pour vivre. Ce qui est tout à fait vrai car Dieu detient la vie et le carburant de la bouche.

    L'heure est venue de couper le cordon ombilical qui nous liait avec cette ancienne génération et voler avec nos propres ailes.

    A qui incombe la charge du devollopement local de nos villages ?

    Sans nul doute aux dernières générations;
    il est impératif que chaque jeune Soninké né au bled ou dans l'héxagone de se sentir concerné de cette tâche.Certes beaucoup n'ont pas attendu ce genre de message pour faire valoir ce que de droit mais beaucoup de choses restent à faire.

    Jusqu'à ce jour, la plupart d'entre nous agit " Maison " , ce qui est tout à fait normal. Il y a pas mal de merite en cela.
    Mais aujourd'ui comme on l'a debattu en long et en large, il nous est necessaire de se mobilier et de voir les choses en grand.

    Pour amorcer ce devellopement local sans faille dans nos villages, il faut impérativement une forte mobilisation.
    L'union fait la force.

    Je rêve qu'un jour les enfants de Gaajaga et ceux de Hayré se mettent ensemble pour mettre en place une chaine de gros hypermarchés pour assurer l'autosuffisance alimentaire de leurs villages.

    Je rêve un jour que les enfants de Hayré et ceux de Fuuta mettent en place ensemble une régie de transports en commun avec des prix defiant toute concurrence.

    Je rêve un jour de voir les enfants de Guidimakha et ceux de Diafounou construisant des hopitaux équipés dans tous les villages de ces contrées.

    Je rêve un jour de voir tous les enfants de Kaarta et de Lambidou mettant en place de grandes pharmacies et parapharmacies afin de ne plus parler de bamako en cas de maladie.

    Ce ne sont des rêves mais qui sait un jour ce sera peut être réalisable.

    Ce qui nous differencie des autres c'est que le Soninké veut un projet rentable immédiatement.Il nous faut voir la couleur de l'argent au plus vite sinon on laissera tomber.
    Il faut changer, vraiment changer.

    Le jour où l'on se donnera 10 ans pour réaliser un projet sans relachement des forces vives, on sera mâitre des destins de nos villages.
    On sortira la tête de l'eau et qui sait ?
    Nos petits fils deserteront peut être l'Europe et ailleurs pour aller monayer leurs talents dans nos villages. Ce sera peut être la fin de l'immigration massive Soninké. On ne parlera plus de sans papiers et d'intégration à la française.
    On ne parlera plus de banlieues, de racailles Soninkés, de CAP, BEP mais d'autres diplomes plus valorisants.
    Dites moi que je suis fou, je le comprendrai...
    Dernière modification par makalou 02/05/2008 à 11h00
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  4. 02/05/2008, 10h00 #54
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    " Quand la barbe de ton voisin brûle arrose la tienne".
    Makalou, tu es trop fort. Cette phrase est bien pensée, comme tout ton texte d'ailleurs.
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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  5. 02/05/2008, 10h10 #55
    makalou
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    Citation Posté par Cheikhna Mouhamed WAGUE Voir le message
    Makalou, tu es trop fort. Cette phrase est bien pensée, comme tout ton texte d'ailleurs.

    Salam

    Chiekhna Merci !!!
    En tout cas les Hayrankos ne diront pas que je ne les ai pas prevenu.
    Dernière modification par makalou 02/05/2008 à 11h01
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  6. 02/05/2008, 10h10 #56
    Fodyé Cissé
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    Mon frère, à forcer de rêver, tu vas finir par être le MLK Soninké .
    MLK pour Martin Luther King ou MaKaLou, en verlan, MaLouKa pour les intimes !

    Citation Posté par makalou Voir le message
    Salam

    Aujoudh'ui le Sénégal est en panne, le Mali n'a pas non plus une économie reluisante, la Mauritanie survit. Tel est le triste decor de nos pays d'origine.
    L'adage dit : " Quand la barbe de ton voisin brûle arrose la tienne".
    Qui sont nos voisins ?
    Ils sont Serères, Diolas, Peuls, Bambaras, Khassonkés,Maures...Ces ethnies citées sont comme les Soninkés.

    Ils vivent en général dans les recoins de nos pays d'origine. Ils vivent de l'agriculture, de petis boulos, de pêche et de petits commerce mais sont tenaillés par la faim à l'heure actuelle.

    Le Soninké comme certains de ces ethnies citées a un gros avantage:

    " Ne pas attendre l'aide de nos gouvernements pour vivre".

    C'est comme si nos aieux avaient predit un avenir difficile de nos pays d'origine. Ils ont depuis belle lurette tracé leur route pour des horizons plus cléments.
    C'est ainsi que même du find fond de la chine, de l'Amérique Latine, du Zaire, il est tout à fait probable de rencontrer un Soninké à la recherche de fortune.

    Aujourd'hui dans le monde entier particulièrement en France, les Soninkés sont considérés comme un peuple voyageur et infatigable chercheur de " Khalissi" ...

    De cette prémonition de nos aieux (Avenir peu reluisant ), les Soninkés ont trouvé la parade:

    Vivre à l'étranger pour subvenir aux besoins quotidiens de nos familles restées aux villages.

    On ne peut que remercier nos grands parents qui nous ont montrés ce chemin de reussite avec tout ce que cela comporte comme inconvénients.

    Mais , même si nous sommes de de vrais croyants, dés fois la fin justifie les moyens.

    Aujourd'ui, la faim nous guette. Nos gouvernements s'enrichissent sur nos dos et avilissent les pauvres.

    Un SMIC du Sénégal ou du Mali ne peut même pas faire vivre un poulailler.

    Alors de Diafounou à Kaarata, De Hayré à Guidimakha, de Fuuta à Gajaaga, tous les yeux sont tournés vers les émigrés, pauvres émigrés.

    Ces derniers ont accepté de braver les hivers, de reduire le temps de sommeil, de dormir avec des cafards, de preparer leurs propres repas.
    Ces gens là ont laissé leurs 4 femmes au pays en ayant comme source de resistance à la tentation de Satan la foi. Si l'on augmente la force de Satan dans ces pays d'immigration on se rencontre que c'est plus que meritant.

    Il n y a juste un mot à dire : Bravo à ces émigrés.

    J'aurai voulu faire sonner dans chaque portable d'immigrés et fils d'immigrés le célèbre tube " Emigrés " de Youssou afin de l'ecouter dans les pures moments de detresse.

    Spécial remerciement à ces braves gens qui la plupart sont venus avec comme seul bagage intellectuel " Bonjour Moussé ".

    C'est dire que ces gens se sont sacrifiés.

    Je me rappelle encore de ces vieux " Navigateurs " qui passaient des mois et des mois sans femme, ni proche dans les océans du monde avec comme seul ami le Bon Dieu.

    Quelque soit le poids des conséquences d'immigration léguées , on doit dire haut et fort avec une grande fièrté :
    Merci à la première génération d'immigrés.
    Moi, je regarde tous les jours mon père, mes oncle avec une grande fierté car ils ont au moins amorcer un devellopement local.

    En quoi faisant ?

    Ils nous ont balayé le terrrain en nous donnant une nationalité pour certains, un billet Bamako- Paris ou Dakar - Paris.

    Ils ont aussi construit pour la plupart des maisons bétonnées qui allègent nos taches avant chaque hivernage car les maisons en bancon autrefois doivent être entretenues à chaque début de saison de pluies.
    Ils ont augmenté aussi notre niveau de vie villageoise.

    90% des maisons Soninkés bénéficient des calories quotidiennes necessaires au bon fonctionnement de l'organisme.
    Bref, ces immigrés de la première génération doivent être décorés
    " Chevalier de l'ordre Soninkara de merite".

    Certes ils n'ont pas tout fait mais ils sont eu leur moyenne et ont reuissi à leurs examens.

    A chacun son tour chez le coiffeur.
    Comme mon oncle me dit souvent :

    " Nous, notre temps est fini. On a rempli notre part du contrat. Nos parents sont la plupart décédés. Paix à leurs âmes. Ils ne nous restent qu' à planifier de vivre avec nos maigres retraites jusqu'a jour de nos rappels".

    A travers ce message, c'est comme s'il disait qu'il ne comptait pas sur la dernière génération pour vivre. Ce qui est tout à fait vrai car Dieu detient la vie et le carburant de la bouche.

    L'heure est venue de couper le cordon ombilical qui nous liait avec cette ancienne génération et voler avec nos propres ailes.

    A qui incombe la charge du devollopement local de nos villages ?

    Sans nul doute aux dernières générations;
    il est impératif que chaque jeune Soninké né au bled ou dans l'héxagone de se sentir concerné de cette tâche.Certes beaucoup n'ont pas attendu ce genre de message pour faire valoir ce que de droit mais beaucoup de choses restent à faire.

    Jusqu'à ce jour, la plupart d'entre nous agit " Maison " , ce qui est tout à fait normal. Il y a pas mal de merite en cela.
    Mais aujourd'ui comme on l'a debattu en long et en large, il nous est necessaire de se mobilier et de voir les choses en grand.

    Pour amorcer ce devellopement local sans faille dans nos villages, il faut impérativement une forte mobilisation.
    L'union fait la force.

    Je rêve qu'un jour les enfants de Gaajaga et ceux de Hayré se mettent ensemble pour mettre en place une chaine de gros hypermarchés pour assurer l'autosuffisance alimentaire de leurs villages.

    Je rêve un jour que les enfants de Hayré et ceux de Fuuta mettent en place ensemble une régie de transports en commun avec des prix defiant toute concurrence.

    Je rêve un jour de voir les enfants de Guidimakha et ceux de Diafounou construisant des hopitaux équipés dans tous les villages de ces contrées.

    Je rêve un jour de voir tous les enfants de Kaarta et de Lambidou mettant en place de grandes pharmacies et parapharmacies afin de ne plus parler de bamako en cas de maladie.

    Ce ne sont des rêves mais qui sait un jour ce sera peut être réalisable.

    Ce qui nous differencie des autres c'est que le Soninké veut un projet rentable immédiatement.Il nous faut voir la couleur de l'argent au plus vite sinon on laissera tomber.
    Il faut changer, vraiment changer.

    Le jour où l'on se donnera 10 ans pour réaliser un projet sans relachement des forces vives, on sera mâitre des destins de nos villages.
    On sortira la tête de l'eau et qui sait ?
    Nos petits fils deserteront peut être l'Europe et ailleurs pour aller monayer leurs talents dans nos villages. Ce sera peut être la fin de l'immigration massive Soninké. On ne parlera plus de sans papiers et d'intégration à la française.
    On ne parlera plus de banlieues, de racailles Soninkés, de CAP, BEP mais d'autres diplomes plus valorisants.
    Dites moi que je suis fou, je le comprendrai...
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  7. 02/05/2008, 10h19 #57
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    Citation Posté par Fodyé Cissé Voir le message
    Mon frère, à forcer de rêver, tu vas finir par être le MLK Soninké .
    MLK pour Martin Luther King ou MaKaLou, en verlan, MaLouKa pour les intimes !

    Salam

    Tu as peut être raison.
    Mes neveux m'appellent MLK ( Mamadou Lamine Koita: un de mes prénoms ).
    Mais j'avoue je n'ai jamais fait le rapprcohement avec Martin Luther King.
    Je suis un grain de sable devant ce grand visionnaire.
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  8. 02/05/2008, 16h47 #58
    kabu tirera
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    Citation Posté par makalou Voir le message
    Salam

    Aujoudh'ui le Sénégal est en panne, le Mali n'a pas non plus une économie reluisante, la Mauritanie survit. Tel est le triste decor de nos pays d'origine.
    L'adage dit : " Quand la barbe de ton voisin brûle arrose la tienne".
    Qui sont nos voisins ?
    Ils sont Serères, Diolas, Peuls, Bambaras, Khassonkés,Maures...Ces ethnies citées sont comme les Soninkés.

    Ils vivent en général dans les recoins de nos pays d'origine. Ils vivent de l'agriculture, de petis boulos, de pêche et de petits commerce mais sont tenaillés par la faim à l'heure actuelle.

    Le Soninké comme certains de ces ethnies citées a un gros avantage:

    " Ne pas attendre l'aide de nos gouvernements pour vivre".

    C'est comme si nos aieux avaient predit un avenir difficile de nos pays d'origine. Ils ont depuis belle lurette tracé leur route pour des horizons plus cléments.
    C'est ainsi que même du find fond de la chine, de l'Amérique Latine, du Zaire, il est tout à fait probable de rencontrer un Soninké à la recherche de fortune.

    Aujourd'hui dans le monde entier particulièrement en France, les Soninkés sont considérés comme un peuple voyageur et infatigable chercheur de " Khalissi" ...

    De cette prémonition de nos aieux (Avenir peu reluisant ), les Soninkés ont trouvé la parade:

    Vivre à l'étranger pour subvenir aux besoins quotidiens de nos familles restées aux villages.

    On ne peut que remercier nos grands parents qui nous ont montrés ce chemin de reussite avec tout ce que cela comporte comme inconvénients.

    Mais , même si nous sommes de de vrais croyants, dés fois la fin justifie les moyens.

    Aujourd'ui, la faim nous guette. Nos gouvernements s'enrichissent sur nos dos et avilissent les pauvres.

    Un SMIC du Sénégal ou du Mali ne peut même pas faire vivre un poulailler.

    Alors de Diafounou à Kaarata, De Hayré à Guidimakha, de Fuuta à Gajaaga, tous les yeux sont tournés vers les émigrés, pauvres émigrés.

    Ces derniers ont accepté de braver les hivers, de reduire le temps de sommeil, de dormir avec des cafards, de preparer leurs propres repas.
    Ces gens là ont laissé leurs 4 femmes au pays en ayant comme source de resistance à la tentation de Satan la foi. Si l'on augmente la force de Satan dans ces pays d'immigration on se rencontre que c'est plus que meritant.

    Il n y a juste un mot à dire : Bravo à ces émigrés.

    J'aurai voulu faire sonner dans chaque portable d'immigrés et fils d'immigrés le célèbre tube " Emigrés " de Youssou N'dour afin de l'ecouter dans les pures moments de detresse.

    Spécial remerciement à ces braves gens qui la plupart sont venus avec comme seul bagage intellectuel " Bonssour Moussé ".

    C'est dire que ces gens se sont sacrifiés.

    Je me rappelle encore de ces vieux " Navigateurs " qui passaient des mois et des mois sans femme, ni proche dans les océans du monde avec comme seul ami le Bon Dieu.

    Quelque soit le poids des conséquences d'immigration léguées , on doit dire haut et fort avec une grande fièrté :
    Merci à la première génération d'immigrés.
    Moi, je regarde tous les jours mon père, mes oncle avec une grande fierté car ils ont au moins amorcer un devellopement local.

    En quoi faisant ?

    Ils nous ont balayé le terrrain en nous donnant une nationalité pour certains, un billet Bamako- Paris ou Dakar - Paris.

    Ils ont aussi construit pour la plupart des maisons bétonnées qui allègent nos taches avant chaque hivernage car les maisons en banco ( argile ) autrefois doivent être entretenues à chaque début de saison de pluies.
    Ils ont augmenté aussi notre niveau de vie villageoise.

    90% des maisons Soninkés bénéficient des calories quotidiennes necessaires au bon fonctionnement de l'organisme.
    Bref, ces immigrés de la première génération doivent être décorés
    " Chevalier de l'ordre Soninkara de merite".

    Certes ils n'ont pas tout fait mais ils ont eu leur moyenne et ont reuissi à leurs examens.

    A chacun son tour chez le coiffeur.
    Comme mon oncle me dit souvent :

    " Nous, notre temps est fini. On a rempli notre part du contrat. Nos parents sont la plupart décédés. Paix à leurs âmes. Ils ne nous restent qu' à planifier de vivre avec nos maigres retraites jusqu'au jour de nos rappels à Dieu Tout Puissant".

    A travers ce message, c'est comme s'il disait qu'il ne comptait pas sur la dernière génération pour vivre. Ce qui est tout à fait vrai car Dieu detient la vie et le carburant de la bouche.

    L'heure est venue de couper le cordon ombilical qui nous liait avec cette ancienne génération et voler avec nos propres ailes.

    A qui incombe la charge du devollopement local de nos villages ?

    Sans nul doute aux dernières générations;
    il est impératif que chaque jeune Soninké né au bled ou dans l'héxagone de se sentir concerné de cette tâche.Certes beaucoup n'ont pas attendu ce genre de message pour faire valoir ce que de droit mais beaucoup de choses restent à faire.

    Jusqu'à ce jour, la plupart d'entre nous agit " Maison " , ce qui est tout à fait normal. Il y a pas mal de merite en cela.
    Mais aujourd'ui comme on l'a debattu en long et en large, il nous est necessaire de se mobilier et de voir les choses en grand.

    Pour amorcer ce devellopement local sans faille dans nos villages, il faut impérativement une forte mobilisation.
    L'union fait la force.

    Je rêve qu'un jour les enfants de Gaajaga et ceux de Hayré se mettent ensemble pour mettre en place une chaine de gros hypermarchés pour assurer l'autosuffisance alimentaire de leurs villages.

    Je rêve un jour que les enfants de Hayré et ceux de Fuuta mettent en place ensemble une régie de transports en commun avec des prix defiant toute concurrence.

    Je rêve un jour de voir les enfants de Guidimakha et ceux de Diafounou construisant des hopitaux équipés dans tous les villages de ces contrées.

    Je rêve un jour de voir tous les enfants de Kaarta et de Lambidou mettant en place de grandes pharmacies et parapharmacies afin de ne plus parler de bamako en cas de maladie.

    Ce ne sont des rêves mais qui sait un jour ce sera peut être réalisable.

    Ce qui nous differencie des autres c'est que le Soninké veut un projet rentable immédiatement.Il nous faut voir la couleur de l'argent au plus vite sinon on laissera tomber.
    Il faut changer, vraiment changer.

    Le jour où l'on se donnera 10 ans pour réaliser un projet sans relachement des forces vives, on sera mâitre des destins de nos villages.
    On sortira la tête de l'eau et qui sait ?
    Nos petits fils deserteront peut être l'Europe et ailleurs pour aller monayer leurs talents dans nos villages. Ce sera peut être la fin de l'immigration massive Soninké. On ne parlera plus de sans papiers et d'intégration à la française.
    On ne parlera plus de banlieues, de racailles Soninkés, de CAP, BEP mais d'autres diplomes plus valorisants.
    Dites moi que je suis fou, je le comprendrai...
    Inke maxa fedde gebe o wa sooninka ya lenki . baawa a loxo deben be fedde ga nta yi . xa feddu ku gollu fo gabe ni
    O nan jaareka sigindi , o nan xaraka sigindi , o nan mangasa sigindi . in na waase roono i su yi in na mangasa ke wuttu .
    A sire ya ni nan mangasa sigindi na biraadin ro a yi . xa a do nan golliroxo dabari soro ra ga gollini nan fonne kitta a di i nta baana , o ga na faayi wacca , o biraadi fanka ni maaro do ten ya yi . a su killi falle ya yi , tiga a gilli falle ya , xati a galli falle ya , sima do mexe a gilli falle ya , yiraame a gilli falle ya.
    Ken bire o telle kaane kan moxo ?
    Oku Gajaaga , Hayire o ra wa xaaxo do kiineye su soxono .
    Fonbe kanunte ga ni oropu wa i jaanun texe o kaane , o xa wa golliñaballaaxu gobondini o debun di .
    O na maaro xobo falle na ri ti , te , sukka , tiga , sima , mexe .
    Baawo o ti o nan o debun taga xo pari moxo ya yi .
    Manne toxo kaarankon da nan yige nan mini nan saxu
    Maran ( kurukuru ) fakkani ( hakkani ) kan tege , yiraamun kitte manne toxi ?
    Dernière modification par kabu tirera 02/05/2008 à 16h51 Motif: kaabu tireera
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  9. 02/05/2008, 19h37 #59
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    Citation Posté par kabu tirera Voir le message
    Inke maxa fedde gebe o wa sooninka ya lenki . baawa a loxo deben be fedde ga nta yi . xa feddu ku gollu fo gabe ni
    O nan jaareka sigindi , o nan xaraka sigindi , o nan mangasa sigindi . in na waase roono i su yi in na mangasa ke wuttu .
    A sire ya ni nan mangasa sigindi na biraadin ro a yi . xa a do nan golliroxo dabari soro ra ga gollini nan fonne kitta a di i nta baana , o ga na faayi wacca , o biraadi fanka ni maaro do ten ya yi . a su killi falle ya yi , tiga a gilli falle ya , xati a galli falle ya , sima do mexe a gilli falle ya , yiraame a gilli falle ya.
    Ken bire o telle kaane kan moxo ?
    Oku Gajaaga , Hayire o ra wa xaaxo do kiineye su soxono .
    Fonbe kanunte ga ni oropu wa i jaanun texe o kaane , o xa wa golliñaballaaxu gobondini o debun di .
    O na maaro xobo falle na ri ti , te , sukka , tiga , sima , mexe .
    Baawo o ti o nan o debun taga xo pari moxo ya yi .
    Manne toxo kaarankon da nan yige nan mini nan saxu
    Maran ( kurukuru ) fakkani ( hakkani ) kan tege , yiraamun kitte manne toxi ?
    Je traduits le post du Professeur Kabu Tiréra pour ceux qui ne sont pas alphabétisés en soninké!

    Pour moi, les associations sont légion en milieu soninké, parce qu'il est rare de voir un village qui n'a pas sa propre association. Mais les objectifs de toutes ces associations tournent autour de la construction des hôpitaux, des écoles ou des magasins. Mais tout le monde ne doit pas investir dans la construction et le ravitaillement des magasins.
    S'il est vrai qu'il faut construire des magasins et les ravitailler par la nourriture pour le besoin de la cause, il est encore mieux de monter des affaires qui génèreront des emplois au niveau local. Quand on regarde maintenant, le gros de notre alimentation est le riz et l'huile. Or, ces produits nous viennent de l'extérieur. En plus de ces deux produits, l'arachide, le lait, le ciment, le fer et le tissu viennent tous de l'extérieur.
    Dans ces conditions, comment on peut parler de progrès?
    Nous les gens de Gadiaga, de Hayré, nous pouvons pourtant faire l'agriculture aussi bien pendant la saison hivernale que pendant la saison sèche.
    Ce qui fait peur aujourd'hui c'est que l'Europe est entrain de fermer ses frontières devant nous, alors que la paresse de travailler est devenue une gangrène chez nous.
    Avec un tel état d'esprit, nous serons obligés d'importer le riz, l'huile, le sucre, l'arachide, le ciment, le fer, parce que nous voulons construire nos contrées comme la ville de Paris.
    Qu'est ce qui reste pour les gens restés au village, si ce n'est de de manger, boire et dormir seulement?
    Avec l'immigration, les magasins sont remplis, l'habillement est devenu abondant, qu'est ce qui leur reste?
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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  10. 02/05/2008, 22h38 #60
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    Salam

    Makalou ton texte est plein d'espoir, on sent une réelle motivation dans tes ecrits, moi je dit que tu n'est pas fou, tu est ambitieux tout simplement.
    On devraient tous l'être dailleurs car si nos parents sont venus ici c'etait dans le seul but de repondre aux besoins de nos villages.
    Aujourd'hui leurs temp est passé et il est de notre devoir de prendre la relève, la question est de savoir si nous l'avons vraiment intégrés dans nos esprits, ou est-ce que nous allons briser cette chaine d'entraide et vaquer à nos occupations respectives tout en oubliant ce qui sont derrières nous ?

    Tout comme vous je pense que le plus utile serai de promouvoir le developpement du secteur primaire, car avec la flambée des prix l'importation risque de devenir de plus en plus perilleuse.
    La vie devient chére dans les pays industrialisés les immigrés devront subvenirs à leurs propres besoins et à ceux restés sur place, dans une telle dynamique la situation risque de devenir de plus en plus difficile.
    Il faut traiter le problème à la source, nos terres sont assez riches pour que nous puissions pourvoirs à nos besoins par nos propres moyens.(agriculures, gisemments...).
    xarno lagaxxu sirondi !!
    PEACE
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    Personne ne peut passer une chaîne à la cheville de son compagnon humain sans finir pas se nouer l'autre bout autour du cou.

    Frederick Douglass
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