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  • Le Soninké travaille pour les étrangers pour aller le donner à d'autres étrangers

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Discussion: Le Soninké travaille pour les étrangers pour aller le donner à d'autres étrangers

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  1. 22/04/2008, 17h10 #11
    Jade
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    Citation Posté par Fodyé Cissé Voir le message
    Je crois profondément que ce sont les associations villageoises qui doivent prendre, à bras le corps, le problème. Il y a des millions et des millions qui dorment dans leurs comptes bancaires, les banques d'ici se sucrent avec cet argent, alors qu'ils peuvent bien monter des projets de co-developpement au pays, par exemple, créer des magasins alimentaires obligeant la population locale à s'approvisionner par le biais de ces magasins. Comme ça, deureum bi dess ci gaal gi! (l'argent ne sort pas)...
    C'est exactement ce à quoi je pensais, la France regorge de bons nombres d'associations villageoises, qui je pense par le biais des caisses existantes pourront oeuvrer envers leurs villages pour financer des projets de co-développement visant à améliorer les conditions de vie des villageois, notamment dans le domaine de l'alimentation.
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  2. 22/04/2008, 19h30 #12
    makalou
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    Citation Posté par Fodyé Cissé Voir le message
    Le sujet est très large. Je reviendrai un peu plus tard, insha ALLAH, quand j'aurai du temps.
    Mais, d'ores et déjà, il est important de souligner, comme le dit ton titre, que la manne financière qu'ont les Soninké a été obtenue, en général, à l'étranger. Nous sommes partis en tant qu'étrangers dans d'autres contrées pour y travailler dur et gagner notre vie, avec tout ce que cela comporte comme effets négatifs liés à l'immigration, etc... Et donc, on ne doit pas trop blâmer les étrangers qui sont dans nos villages et qui y travaillent. Car, ces étrangers sont dans nos villages comme nous, nous sommes dans d'autres villes/villages. De plus, dans nos villages, les jeunes ont autre chose en tête que de travailler dans le village comme les baol-baol.

    Seulement, je suis d'accord que les Soninké doivent revoir leur mode de solidarité. Car, on dit toujours que les Soninké sont solidaires, mais généralement, c'est faux. Quand dans un village, un baol-baol et un soninké ont leurs boutiques, les consommateurs soninké préfèrent aller dans la boutique du baol-baol pour y faire leurs achats. Et quand ils n'ont plus d'argent, ils iront dans la boutique du Soninké pour faire de l'emprunt. Un autre défaut est que le Soninké a toujours traité l'étranger qu'il ne connait pas mieux que son propre frère.

    Le Soninké a toujours eu plus de confiance en l'étranger qu'il ne connait pas que sont propre frère. Les étrangers qui débarquent dans nos villages, s'ils ne sont pas bêtes, ils ne mettront pas beaucoup de temps pour comprendre cela et tirer leur épingle du jeu. Ainsi, on peut voir des gens confier la dépense quotidienne de leurs maisons aux boutiquiers étrangers qu'ils connaissent à peine, alors que leurs frères sont là à côté d'eux.

    Je crois profondément que ce sont les associations villageoises qui doivent prendre, à bras le corps, le problème. Il y a des millions et des millions qui dorment dans leurs comptes bancaires, les banques d'ici se sucrent avec cet argent, alors qu'ils peuvent bien monter des projets de co-developpement au pays, par exemple, créer des magasins alimentaires obligeant la population locale à s'approvisionner par le biais de ces magasins. Comme ça, deureum bi dess ci gaal gi! (l'argent ne sort pas)

    ...

    Salam Moussé Cissé,
    Tu as bien souligné le mal du monde Soninké dans nos pays.
    En effet le Soninké prefere voir un etranger reuissir au détriment de son propre frère. Cette pratique est aussi vieille que Soninkara.
    Certains Soninké prennent leur ration alimentaire dans le magasin de l'etranger que chez son frère Soninké. Et une fois les poches vides, ils jouent l'hypocrisie afin de bénéficier de credits que le Wolof ne lui donnerai pas. Ceci est trop vrai.
    Je connais l'histoire d'un riche commerçant Soninké d'un village Guidimakhanké.
    Les affaires de ce cher Monsieur ont bien marchés qu'aujourd"hui il aide ps mal de Francinkés dans la ration alimentaire de leurs maisons.Ils n'arrivent plus a compter ces débiteurs tellement les gens font jouer la famille pour spolier ce cher Monsieur. Heureusement que Dieu est avec lui, les affaires continuent de prosperer....
    Tant pour montrer que le Soninké doit changer ses habitudes face aux crédits et doit aider les petits commerçants des villageois soit en investissant dans ces commerces par un système d'actionnariat afin d'investir aussi les fonds qui dorment dans les banques.
    L'argent appelle l'argent... " Godé ya niala do go fili " ( C'est 5 francs qui deviennent 10 Francs ). Alors il faut que les Soninkés aient confiance a l'investissement local.
    Il faut en aval que les parents restaient au bled mettent leur mains aussi dans la patte. Il faut qu'ils sachent que cet argent investi est le fruit d'un sacrifice incommensurable. Leur rôle est de faire travailler cet argent afin de s'aider et rendre la monnaie à leurs frères de la diaspora.
    Aujourdh'ui comme je l'ai dit precedemment, il faut impérativement identifier des axes de developpement économique local afin d'enrayer l'immigration clandestine en creant des emplois aux parents restés au bled mais aussi pour une prochaine autosuffisance alimentaire du monde Soninké.
    On a jamais attendu nos états pour quoi que ce soit.
    Il est temps de se relever et marcher tout droit vers l'investissement économique local. Certes il y a pleins qui investissent dans l'immobilier mais sauf que l'immobilier ne créé pas d'emplois dans nos villages et aussi il ne profite qu'à l'investisseur cad une seule personne.
    On doit faire bouger les choses ensemble... C'est à dire renvoyer l'ascenseur à nos frères du bled...

    A vos claviers !!!
    Dernière modification par makalou 22/04/2008 à 19h33
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  3. 23/04/2008, 08h37 #13
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    Citation Posté par Jade Voir le message
    C'est exactement ce à quoi je pensais, la France regorge de bons nombres d'associations villageoises, qui je pense par le biais des caisses existantes pourront oeuvrer envers leurs villages pour financer des projets de co-développement visant à améliorer les conditions de vie des villageois, notamment dans le domaine de l'alimentation.

    Salam

    Jade,

    Peux - tu nous en dire sur les modèles d'investissemnent locaux les plus courants dans les villages Soninkés de vos contrées ( Mali ) ?
    Est ce les même que les exemples cités ci-dessus dans mes posts ?
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  4. 23/04/2008, 10h02 #14
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    Le cas de Bakel

    A Bakel, les pères ou mères de famille devront, pour se ravitailler en riz, débourser un peu plus encore. Une hausse du prix de vente est passée par là qui s’expliquerait, selon les commerçants, par la hausse du prix du carburant entraînant une augmentation des frais de transport.
    A Bakel, tout se vend cher, trop cher même. Au point qu'on se demande si cette localité fait bel et bien partie du Sénégal. Tellement la vie y est chère qu'elle ne laisse personne indifférent. Cette fois-ci, c'est plutôt le prix de vente du riz qui vient de connaître une hausse au grand dam des pères de famille qui, désormais, pour se ravitailler en riz, entre autres denrées fortement prisées, devront débourser un peu plus. Vendu à 12 000 F Cfa le sac de 50 kg par les détaillants, le prix du riz indien est passé à 12 500 F, soit une hausse de 500 francs. Quant au riz brisé parfumé, son sac de 50 kg, jadis vendu à 13 500 francs, est à présent cédé à 14 000 F, voire plus étant entendu que les prix varient selon les points de vente et les endroits. Or ces variétés de riz, en à croire un commerçant, sont les plus consommées à Bakel.
    Toutefois, cette hausse constatée sur le prix du riz ne serait que l'arbre qui cache la forêt. En effet, à Bakel, la vie a, de tous les temps, été chère. Certains commerçants expliquent la cherté des produits qu'ils vendent par l'éloignement de Bakel de la capitale, Dakar qui fait que le transport coûte cher.

    Du côté du service départemental du Commerce où nous nous sommes rendus pour en savoir plus, on signale que le problème se situe plutôt au niveau du transport de Dakar à Bakel, mais également celui interne entre les localités. Pour ce qui est du transport de Dakar à Bakel, renseigne Pathé Baal, chef du service départemental du Commerce de Bakel, la tonne était transportée à 17 500 F à la date du 17 juillet 2007. Mais aujourd’hui, compte tenu de la hausse du prix du carburant, la tonne est transportée de Dakar à Bakel à 18 500 F, voire 19 000 francs. Et d’indiquer que la tonne du riz parfumé est achetée par les grossistes à 258 000 francs, celle du riz indien à 239 000 francs et celle des autres variétés à 209 000 francs. Et M. Ball de préciser que, depuis la publication de l’arrêté n° 00651/Mcom/Dci du 17 juillet 2007 fixant le mode de détermination du prix de vente du riz, il est quasi impossible de maîtriser la structure du prix du riz dans le département de Bakel. Et ceci pour plusieurs raisons, dont l’augmentation du prix de vente du riz au gros à partir de Dakar, l’instabilité du prix du transport et de la manutention du riz qui est passé de 17 500 à 18 500 F, voire 19 000 F la tonne.

    Face à cette situation, reconnaît M. Baal, il est très difficile d’appliquer un prix qui soit à la portée des consommateurs. Ce qui, explique-t-il, fait qu’on observe, dès lors, une variation du prix du riz aussi bien au gros qu’au détail. Face à une telle situation, le service départemental du Commerce n’est pas resté les bras croisés. En effet, il procède, chaque lundi et vendredi, à des relevés systématiques de stocks et des prix des produits appliqués sur l’ensemble du département, surtout en qui concerne les produits de grande consommation, pour une maîtrise du prix du riz, dans le but de jouer un rôle de veille et de régulateur pour le bien-être des consommateurs, rassure le patron du service départemental du commerce de Bakel.

    Salam

    A qui la faute ? On ne peut que s'en prendre à nous même!!!
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  5. 23/04/2008, 10h39 #15
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    Salam

    Voilà le resultat de notre désorganisation locale et notre manque de projets locaux.
    Aussi dur soit le marché à l'heure actuelle, on aurait pas subi de pleins fouets la cherté des denrées de première necessité si l'on avait anticipé en creeant des magasins de vente de gros.

    Pourquoi pas faire front commun dans nos contrées pour ouvrir des centrales d'achat qui nous permetrrait de bénéficier de prix plus bas afin de pouvoir revendre à nous même a des prix attractifs.
    Aujourd'"hui on subit de manière drastique ces augmantations sans pour autant apporter de solutions adéquates.
    Le cas du département de Bakel est pareille à tous les autres villes et villages Soninkés.
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  6. 23/04/2008, 11h15 #16
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    Toutes les associations en France peuvent contribuer au co-développement de leur contré. A titre d'exemple je peux citer le projet que notre association a eu à mener durant ses dernières années dans le cadre de la gestion de l'eau potable qui est cité comme exemple à suivre au niveau de la région.

    Avec la coordination de l'ensemble des sections de notre association de développement du village nous avons pu récolter environ 40 millions de CFA pour éradiquer le problème de l'approvisionnement en eau. Le projet avait été confié aux jeunes de l'association qui ont mené le projet de A à Z en respectant les bonnes pratiques de gestion de projet malgré les pressions car parallèlement il y avait pénurie d'eau et les villageois étaient contraints d'aller s'approvisionner dans les autres villages. Le montant récolté était connu de tous et je vous assure que la pression était forte pour acheter une nouvelle motopompe à eau mais le comité de pilotage du projet n'a pas cédé à toutes ces pressions pour bien mener son projet avec une première phase consistant à un diagnostic technique du forage avec des partenaires spécialisés dans le domaine. Ce diagnostic nous a permis de connaître les problèmes et les différentes solutions possibles.
    Ainsi le forage qui fonctionnait sous gasoil a été électrifié avec un coût d'environ 14 Millions CFA puis achat d’une nouvelle motopompe immergé.

    La deuxième phase a consisté à la responsabilisation de la population en matière de gaspillage e l'eau. Nous avons décidé de procéder à la mise en place une sorte de SDE c'est à dire une société de gestion de l'eau. Ce projet devait nous conduire à installer des compteurs dans chaque concession et de mettre une équipe chargé de la gestion avec un gérant, un trésorier, un pompiste, des releveurs, gestionnaire de bornes fontaines avec des salaires qui de 75000FCFA à 25000FCFA. L'équipe a suivi, avec l'aide de notre partenaire Hydraulique Sans Frontière (HSF), une formation d'installation de compteurs sans être des experts ils ont pu installer sur un total de 430 maisons l'ensemble des compteurs. Cette étape fut aussi très dure car l'unanimité n'était pas requis au niveau du village certaines personnes refusaient catégoriquement la mise en place de compteurs malgré ces problèmes le projet a suivi son bout de chemin. Le démarrage du projet a finalement eu lieu. En quelques jours de fonctionnement tout le village a pu bénéficier des résultats concrets de cette nouvelle gestion l'eau est devenue disponible pratiquement 20h/24 et des coins qui n'arrivaient pas obtenir de l'eau ont pu s'approvisionner. L'équipe de gestion en une année a pu réaliser des bénéfices environ de 12 millions ce qui a été apprécié de tout le village.

    Nous avons été confronté ensuite à des fuites à ne pas finir, étant donné qu'il ya eu une prise de conscience qui gaspille l'eau paye à ses frais au niveau de sa facture mensuel. L'eau restait au niveau du réseau d'où l'apparition des fuites car les raccordements étaient de très mauvais était sans respect des normes. L'équipe a su durant cette période à acquérir une expérience dans la réparation des fuites.

    C'est suite à ces problème que nous avons monté un projet avec la cellule "Initiative Co-développement" basée au Sénégal qui nous permis de faire la rénovation d'une partie du réseau avec une entreprise professionnelle avec réinstallation des compteurs à hauteur de 76000 euros. Avec cette étape nous avons pu normaliser sur l'ensemble du village à la fois les canalisations et les compteurs. Durant cette étape également l'équipe local a pu bénéficier de l'expérience de cette entreprise. Comme dans tout soutien la part des 30% du projet doit être à la charge du village recevant l'aide. Ainsi les sections de notre association a remis la main dans la poche pour financer les 30 millions De FCFA. Une grande partie a été financée par le comité de gestion du forage actuel qui dégage des résultats très positifs.

    Aujourd'hui nous sommes pratiquement à fin du projet les résultats de gestion sont toujours positifs et cela a permis de faire un prêt aux groupements des femmes du village pour la réalisation de leur projet de jardins maraichers.

    Voilà un exemple à mon avis qui est à la portée de toutes les associations villageoise basée en France.

    Avec un peu de rigueur, de la volonté, dépasser les tabous, ne jamais abdiquer devant les blocages c'est faisables. Aujourd'hui cette structure de gestion fait gagner en terme salarial 550 000 FCFA à des personnes issues du village.
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    Les valeurs qui font de moi ce que je suis sont tirées des valeurs du Sooninkaaxu. Ces valeurs sont mes repères…

    Nul bien sans peine !!!
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  7. 23/04/2008, 11h24 #17
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    Salam

    Hadiya;

    Merci de cette contibution qui doit servir d'exemple à tous les villages qui sont confrontés à des problèmes d'eau potable.
    Voila un exemple patent qui montre que les Soninkés peuvent faire des projets titanesques sans attendre l'aval ou l'aide de nos gouvernements incompétents.
    En tout cas , je note précieusement cet exemple de dévellopement local qui peut servir d'exemple à d'autres projets de devellopement en cours dans certains villages.
    Tout début est difficile mais avec l'abnégation, la sincérité et le courage vous avez reuissi un projet pharaonique...
    Chapeau !!!
    Aujourd'hui votre village a reuissi son autosuffisance hydrolique. C'est tres important car l'eau est la source vitale.
    En plus, ceci a permis de créer d'autres projets comme le jardinage...Encore un axe pour parvenir à l'autosuffisance alimentaire ( Légumes, tubercules, et fruits ).
    Chapeau
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  8. 23/04/2008, 11h32 #18
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    Moi je suis d'accord avec toutes les thèses développées plus haut et qui entérinent l'idée selon laquelle les associations, par le biais des investissements locaux, peuvent freiner la flambée des prix, ce qui est absolument vrai. Mais je pense qu'un civisme local est à promouvoir aussi, si l'on éviter le pire, car nombre de gens au bled ne travaillent même presque plus et attendent tout de l'immigration et gèrent mal tout ce qui leur est envoyé. C'est important aussi d'insister sur cet aspect, sur ce développement endogène, cher au professeur Ki-Zerbo.
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  9. 23/04/2008, 12h42 #19
    Badem
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    Citation Posté par Hadiya WAGUE Voir le message
    Avec un peu de rigueur, de la volonté, dépasser les tabous, ne jamais abdiquer devant les blocages c'est faisables.

    Ce n'est pas les moyens qui nous empeche de réaliser ce type d'entreprise, mais notre organisation actuelle.

    En effet, il suffit de lire l'exemple d'Hadya pour comprendre que pour réussir cela, il faut un moment donné remettre en cause notre organisation.
    Cela peut se faire en douceur par la discussion ou la pédagogie, mais parfois, il faut aller au conflit!!!!
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  10. 23/04/2008, 12h53 #20
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    Citation Posté par Badem Voir le message
    Ce n'est pas les moyens qui nous empeche de réaliser ce type d'entreprise, mais notre organisation actuelle.

    En effet, il suffit de lire l'exemple d'Hadya pour comprendre que pour réussir cela, il faut un moment donné remettre en cause notre organisation.
    Cela peut se faire en douceur par la discussion ou la pédagogie, mais parfois, il faut aller au conflit!!!!

    Salam Badem !!!

    Peux tu nous citer des exemples de réalisations de diaguilinkés de la Diaspora localement ?
    Bien je parle pas de vos belles baraques mais des réalisations au service du village.
    J'y étais une fois. J'ai noté juste une pharmacie faite et tenue par des Diaguilinkos.
    Y a t-il d'autres projets de la diaspora au service des gens restés au village ?
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