Un jeune homme de 21 ans, prénommé Touré Demba est décédé de plusieurs coups de couteau à la suite d'une rixe entre bandes rivales hier soir vers 18 heures rue Desaix dans le XVe arrondissement de Paris. L'auteur présumé de ce meurtre, un mineur de 17 ans selon une source policière, a été interpellé dans une rue voisine alors que ses copains avaient pris la fuite.
« Très choqués »
A l'arrivée de la police, la victime était encore en vie, mais grièvement blessée par les nombreux coups de couteaux qui lui avaient été assénés. Elle est décédée vers 19 heures de ses blessures. Le directeur de cabinet du préfet de police de Paris, Christian Lambert, s'est immédiatement rendu sur place.Vers 20h15 hier, les forces de l’ordre étaient mobilisées pour ramener le calme dans le quartier. Les amis de la victime, toujours sur place et « très choqués », étaient quant à eux interrogés par la police pour déterminer les raisons de cette violente bagarre.

Kayes abritera, du 20 au 30 décembre 2008, la biennale artistique et culturelle du Mali. Pour la première fois dans l’histoire de cette manifestation artistique et culturelle de premier ordre au Mali, elle va recevoir une troupe de Maliens résidant à l’extérieur du pays. Pour témoigner de leur solidarité avec leurs parents au Mali, malgré le fait qu’ils résident en France, les membres du Conseil des Maliens de France ont décidé d’être présents à la biennale de Kayes. La proposition a été saluée par les autorités en charge de la promotion de la culture de notre pays. Et depuis la nuit du mardi 16 au mercredi 17 décembre 2008, une délégation de 55 jeunes venus de France, ont foulé le sol malien pour une participation d’éclat à la biennale 2008.
La Mauritaniennes et les Mauritaniens, depuis plusieurs mois, sont comme contraints de vivre sous un régime militaire, et antidémocratique, dont les dirigeants, de jour en jour, manifestent, d’une manière implicite, l’envie de s’accrocher davantage au pouvoir. Depuis qu’ils ont chassé du pouvoir le président démocratiquement élu, Sid Ould Abdallahi, ces militaires n’ont pas défini une réelle politique de sortie de crise. De plus en plus, hélas, le pays s’enfonce dans une situation économique, politique et sociale on ne peut plus inquiétante. Les citoyennes et les citoyens de notre pays ne savent plus aujourd’hui à quel saint se vouer pour se tirer d’affaire ; tellement ils se sentent envahis de tous côtés par des difficultés insurmontables.
Incroyable mais vrai, pas un seul millimètre du réseau routier des régions de Tambacounda et Kédougou n’a été entretenu au cours de cette année 2008 pour des contraintes budgétaires et l’entrée en vigueur du code des marchés. Pourtant des routes et ouvrages d’art se sont fortement détériorés, provoquant par endroits des accidents graves et désarticulant les activités économiques.