Près de 2.000 personnes se sont rassemblées devant la mosquée de la banlieue lyonnaise, visée samedi par un incendie criminel. La communauté musulmane dénonce une "montée de l'islamophobie".
Environ 2.000 personnes se sont rassemblées dimanche 21 décembre après-midi contre l'islamophobie et le racisme devant la mosquée de Saint-Priest (Rhône), cible la veille d'un début incendie criminel, a-t-on appris auprès de la police et des organisateurs.
"Je me suis senti soutenu, car nous étions très nombreux. Il y avait des politiques, comme le maire Lyon, Gérard Collomb, le maire de Saint-Priest, Martine David, mais aussi des représentants de toutes les religions et des associations. Certains sont venus de loin pour participer", a confié à l'Associated Press Azzedine Gaci, président du Conseil régional du culte musulman.

La Ligue démocratique/Mouvement pour le parti du travail (Ld/Mpt) du Pr Abdoulaye Bathily a décidé de changer d’approche politique. Elle s’est peut-être rendu compte que son discours n’accroche pas et n’influe pas toujours sur le choix des électeurs. C’est pourquoi le 6ème congrès du parti qui se tient les 20 et 21 décembre à Dakar va soulever la question de changement de direction, en posant les bases d’un parti de masse proche des préoccupations des populations et qui leur parle dans un langage clair et accessible. Tout en gagnant le pari de ne pas être trivial.
Chers amis sportifs de Soninkara. Heureux de vous retrouver pour une nouvelle édition du Tournoi Intervillages de Guidimakha organisé par l'Association Sportive et Culturelle des Ressortissantes de Guidimakha (ASCRG).
Quatre mois après le coup d'Etat militaire qui a renversé, sans effusion de sang, le premier président démocratiquement élu de l'histoire de la Mauritanie, Sidi Ould Abdallahi, aucune sortie de crise ne paraît en vue à Nouakchott. Depuis le 6 août, deux hommes revendiquent la présidence de ce pays de 3 millions d'habitants, dont la moitié vit en dessous du seuil de pauvreté, et dont l'espérance de vie ne dépasse pas les 53 ans. L'un s'appelle le général Mohammed Ould Abdel Aziz. Jusqu'à son coup de force, il était le chef d'état-major particulier du président de la République. Il dirige aujourd'hui une junte, le Haut Conseil d'Etat (HCE), formée de trois généraux et neufs colonels.
Sénégal cherté de la vie et dérives du pouvoir : La CSA rejoint le front.