J'ose dans ce cas voir quelqu'un se présenter à la Mairie avec le bazin comme on en fait avec le costard! Je ne pense que ça soi pareil dans la tête de la majorité de gens, comme tu le dis.
Il est difficile de comprendre cette attitude de nos parents, car même nous qui sommes nés au pays et y avions fait notre socialisation culturelle, nous sommes confrontés à ce problème. C'est une société qui privilégie l'observation, l'intégration naturelle des valeurs dans la tête de l'enfant qu'aux questions. Sans défendre cette façon de faire, il est connu, dans le milieu soninké, que l'on doit tout apprendre sur le tas. Un enfant qui pose d'ailleurs trop de questions est tout de suite catalogué, que l'on soit en Afrique ou ici. Mais comment combattre un tel phénomène social, c'est un autre débat, une autre pédagogie.