Avant de dire un mot sur l'article que je n'ai lu que de façon rapide, je vous mets les commentaires qu'il a suscité d'ores et déjà.
Re: Société Soninké : Evoluer ou révolutionner ? (Score: 1)
par Yacoub le 18 October 2007 à 04:13:13 CEST
Monsieur Fofana je vous trouve tres evasif, pour ne pas dire que vous manquez de courage dans ce que vous dites ! allez courage
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Re: Société Soninké : Evoluer ou révolutionner ? (Score: 1)
par soumare le 18 October 2007 à 13:10:36 CEST
Monsieur fofana!
Arrêté de dire des sautisses sur les gens. tu ne connais rien de la société soninké.
Sache qu'un soninké, je dis bien un vrai de père et de mère ne cendra jamais sa dignité à cause de l'argent comme ce que tu es entrain de faire.
Tant mieux si tu es soninké ou bambara. Par contre sache aussi que si les soninké n'avait pas participé au développement de ce pays, autant que les maures, tu passera la nuit dehors. Ce que tu es entrain de dire c'est différent de la réalité mais c'est de l'égoiste pur et simple.
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Re: Société Soninké : Evoluer ou révolutionner ? (Score: 1)
par bala (mauritanie) le 18 October 2007 à 17:46:48 CEST
Ce qui est dommage ce que quand quelqu'un écrit quelque chose qui correspond pas à ce qu'on veut voir écrit,voilà que l'auteur est taxé de vendu.J'ai cherché vainement ces messieurs qui distribuent de l'argent pour qu'on écrive des balivernes et je ne les trouve pas.La société mauritanienne est -elle devenue schizophréne c'est à dire aimer une chose et son contraire à moins qu'elle ne donne raison à M.Hamza maire de NKTT qui a dit une fois si je me rappelle"LA DEMOCRATIE N'EST PAS UNE DEMANDE SOCIALE".Rectifiez moi mr le maire si cette phrase vous est attribuée injustement.
Nul n'est coupable d'avoir écrit et celui qui conteste doit le faire en donnant lui aussi "sa vérité" et non des "facheries".
M.Fofana en bon soninké poli a préferé parler en termes voilés mais la prochaine fois " ANAN XURA" en parlant clairement.Dire que ce n'est pas vrai n'empeche pas une chose vraie de l'étre et de le demeurer éternellement.Il faut plus.C'est la somme de nos échecs et de nos réussites pris individuellement qui feront que notre pays avance ou recule.Le changement de mentalité est un passage obligé si nous voulons batir et vivre dans une société civilisée.Tout un programme.
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Re: Société Soninké : Evoluer ou révolutionner ? (Score: 1)
par batch (donwannabespammed@my_company.com) le 19 October 2007 à 11:15:27 CEST
Je suis totalement d'accord avec le premier commentaire qui dit que cet article est evasif et manque de percutant.
Quels maux , quels vices existent dans cette Societé qui n'existent pas les autres? En quoi les soninkés freinent -ils le developement de ce pays?.....
Pour me part ce que je sais au sujet des Soninkés , c'est que ce ne sont pas des voleurs, des detourneurs de fond , ce sont de braves gens qui ne comptent que sur eux-mêmes car ils ont compris trés vite que ce pays ne leur apportera rien du tout, ce sont eux qui alimentent le pays en devise, tres chers aux commerçants.
Allez dans n'importe quel village du Guidimakha , tout est financé par les emmigrés , les ecoles , les dispensaires, les maternité , les puits ...., certaines familles donnent même à manger aux pauvres militaires mauritaniens affamés qui sont de passage!
Eveiller les consciences ce n'est pas stigmatiser continuellement une frange de la population.
Il faut combattre le mal à sa source, les maux de ce putain de pays sont mauvaise gestion, corruption, detournement, etc ...., et ça ne rime pas avec soninkaxu( à prononcé soninkakhu).
Ce qu'il faut dans ce pays c'est la regle de la carotte et du baton , exigez des resultats des adminstrations, revoquez les fonctionnaires abscents de leur poste, radier à vie les detourneurs de fonts, faire une distribution égalitaires de ressources au niveau des regions etc....
bref , tout le monde sais ce qu'il faut faire , maintenant reste à le faire.
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Re: Société Soninké : Evoluer ou révolutionner ? (Score: 1)
par julko le 19 October 2007 à 12:40:52 CEST
salam les amis,
les soninkés sont les gens les plus honnêtes que je connaisse. Mes meilleurs amis sont des soninkés et je ne regrette pas de les avoir connus.
Mais il y'a une chose avec laquelle, le soninké ne transige pas: l'argent.
Tu peux tout lui demander, mais son argent vaut plus que la prunelle de ses yeux.
Mais aussi une autre chose: sa femme.
Comme l'illustre bien cette petite histoire entre un soninké et un peul.
"Un jour un vieux peul en voyage fait escale dans un village soninké. Il demanda au chef du village de lui accorder l'hospitalité pour une nuit afin de recupérer des forces avant de poursuivre le reste de son trajet qui doit le mener à un village situé à quelques trois jours de marche. Le chef du village soninké, après un instant d'hésitation, lui répondit favorablement. Il le fit entrer chez lui en disant bismillah, bismillah, bienvenu à toi, installe toi, fais comme chez toi.
Il demanda à sa première femme d'apporter de l'eau au vieux peul. Mais comme sa femme avez des fesses d'une beauté exceptionnelle, quand elle s'est levée pour aller chercher le liquide vital, le chef du village soninké se leva aussi, se saisit de son turban et se mit à cacher le train arrière de sa femme, empêchant ainsi le vieux peul de profiter du spectacle grandiose. Ce dernier, ne pouvant se retenir, se mit à rigoler comme un bambin que l'on chatouille.
Le chef du village soninké, vexé par l'attitude du vieux peul, attendit que ce dernier eut fini de se marrer et lui:" poullo, ici c'est chez moi, mes enfants sont tes enfants, mon repas est le tien aussi mais ma femme est ma femme. Cette nuit, tu vas dormir làbas (il désigna une place à côté de la porte de sortie), et demain matin, au premier chant du coq, tu prendras tes sandalles et ton baton de berger, et tu poursuivras ton chemin; et surtout ne t'amuses plus à revenir ici, tu as bien compris?" Le vieux peul bougea la tête de haut en bas, et sans même attendre le premier chant du coq, prit ses sandalles et s'en alla à la vitesse de l'éclair oublant son bâton et sa gourde.
Arrivé à destination, le vieux peul regarda en arrière et dit: " EH ALLAH KONI KO SARKOULLé YIDI DEBBO! ( Mon Dieu, qu'est ce que le soninké aime la femme!)"
Et ce n'est qu'une semaine après qu'il se rappela de sa gourde et de son bâton.