Vous etes extraordinaire comment faites vous
Vous etes extraordinaire comment faites vous
salam Djamila je lis beaucoup et quand je vois un passage qui me plait je fais des recherches sur internet pour les publier et en faire profiter tout le monde mais ce que j ai citer la je l ai avait lu depuis bien longtemps je les avait garder en memoire voila salam
l homme est ingrat envers son seigneur
Abou Houraira a rapporté qu’il a entendu le Prophète (SalAllahu ‘alayhi wa Salam) raconter l’histoire suivante : « Il y avait parmi les Banou Israël trois hommes qu’Allah voulut éprouver : un lépreux, un chauve et un aveugle.
Il leur envoya un Ange, qui s’adressant au lépreux, lui dit : « Quelle est la chose que tu désires le plus ? ». Il lui répondit : « Un beau teint et une belle peau, car ma maladie fait fuir les hommes à mon approche ». L’Ange lui caressa le corps et fit disparaître les taches de lèpre et lui donna un beau teint et une belle peau. Il lui demanda : « Quel bien désires-tu le plus ? ». Il lui répondit : « Les chameaux ». On lui donna une chamelle pleine de dix mois, en disant : « Qu’Allah te la bénisse ».
Puis l’Ange vint trouver le chauve et lui dit : « Quelle chose désires-tu le plus ? Il répondit : « Une belle chevelure, car les gens me trouvent répugnant ainsi ». L’Ange après avoir caressé la tête de l’homme, lui donna une chevelure opulente et ajouta : « Quel est le bien que tu désires le plus ? ». Il répondit : « Les vaches ». On lui donna une vache pleine et l’Ange lui dit : « Qu’Allah te bénisse ».
Enfin l’Ange vint trouver l’aveugle et lui dit : « Quelle est la chose que tu préfères le plus ? ». Il lui répondit : « Qu’Allah me rende la vue afin que je puisse voir les gens ». L’Ange passa la main sur les yeux de l’aveugle et lui rendit la vue et lui dit : « Quel est le bien que tu aimes le plus ? ». Il lui répondit : « Les moutons ». On lui donna une brebis pleine en disant : « Qu’Allah te la bénisse ».
Plus tard, chacun de ces trois avait une vallée pleine de chameaux pour le premier, de vaches pour le deuxième, et de moutons pour le troisième.
Après un certain moment, l’Ange, reprenant la même figure et le même aspect que le lépreux, vint le trouver et lui dit : « Je suis un homme malheureux et j’ai perdu toutes mes ressources dans mon voyage, je ne trouve plus personne à qui je puis m’adresser sauf Allah et toi. Je te demande par celui qui t’a donné ce beau teint, cette belle peau et tous ces biens, de me donner un chameau afin que je puisse achever mon voyage ». L’homme lui répondit : « J’ai beaucoup de charges ». L’Ange reprit : « Mais il me semble bien de te reconnaître. N’étais-tu pas un lépreux que les gens répugnaient à ton approche, et un pauvre ? Et Allah t’a accordé toutes ces richesses ? ». L’homme répondit : « Mais j’ai hérité tout cela de mes ancêtres ». L’Ange rétorqua : « Si tu mens, qu’Allah te fasse revenir comme tu étais ».
Puis l’Ange vint trouver le chauve, reprenant ses traits, il lui répéta les mêmes termes et reçut les mêmes réponses.
Enfin l’Ange se présenta à l’aveugle en reprenant le visage d’autrefois et lui dit : « Je suis un malheureux voyageur sans ressources qui ne s’adresse qu’à Allah et qu’à toi. Je te demande par celui qui t’a rendu la vue de me donner une brebis qui m’aidera à achever mon voyage. ». L’homme lui répondit : « J’étais aveugle, Allah m’a rendu la vue. Prends ce que tu veux et laisse ce que tu veux. Par Allah je ne te demanderai pas compte de ce que tu as pris par égard pour Allah à Lui la Puissance et la Gloire ». L’Ange répliqua : « Garde tes biens, car Allah vous éprouve (tous les trois). Il est satisfait, de toi et Il est courroucé contre tes deux compagnons ».
Rapporté par Bukhâri et Muslim.
Un Homme du Khawarij se rendit en présence d'Abu Ja'far Al-
Sadiq (m. en 765) et lui dit : "Abu Ja'far, quel est l'objet de ton
culte?" "Dieu", dit-il. " Le vois-tu?" demanda-t-il. "Non, répondit-il,
les yeux ne Le voient pas avec la vision optique, mais les coeurs
Le voient au moyen des réalités de la foi. Il n'est pas connu par
raisonnement analogique. Il n'est pas appréhendé par les sens,
et il ne peut être comparé aux hommes. Il est décrit par des signes
et compris au moyen de symboles."
De savoir aimer
« Par orgueil je refusai le bonheur de l'amour, et je subis le châtiment de l'orgueil. J'ai un Bien-Aimé que je visite dans les solitudes. Présent et absent aux regards, tu ne me vois pas l'écouter avec l'ouïe. Pour comprendre les mots qu'il dit, mots sans forme ni prononciation et qui ne ressemblent pas à la mélodie des voix. C'est comme si en m'adressant à lui par la pensée, je m'adressais à moi-même. Présent et absent, proche et lointain. Les figures des qualificatifs ne peuvent le contenir : Il est plus près que la conscience pour l'imagination, et plus caché que les pensées évidentes. Entre toi et moi, il y a un " je suis" qui me tourmente. Ah ! Ôte par ton "je suis" mon "je suis" hors d'entre nous deux. »
O toi qui poses des questions sur notre aventure, si tu nous avais vus, tu ne nous différencierais plus, je suis devenu celui que j'aime, et celui que j'aime est devenu moi. Nous sommes deux esprits, fondus en un seul corps pour nous, depuis que nous sommes en confiance mutuelle, les gens mettent notre légende en proverbes. Lorsque tu m'as aperçu, tu l'as aperçu, et lorsque tu l'as aperçu, tu nous as aperçus. Son esprit est mon esprit, et mon esprit son esprit. Nous sommes deux esprits vivant en un seul corps. »
EL HALLAJ
Salam,
Abou Bakr el Kattani rapporte que,durant un pèlerinage à la Mecque,alors qu'on soulevait la question de l'Amour,al-Junaid, se fit interpeler par les Ulemas :"Qu'as-tu à dire là- dessus, ô irakien?"
Avant de répondre, al-Junaid baissa la tête, ses yeux se remplirent de larmes, puis il dit :" l'Amour C'est un serviteur qui s'efforce de se libérer de son égo, d'évoquer sans cesse le nom d'ALLAH, d'observer assidument ses devoirs,-les obligations de l'Islam- tout en Le contemplant avec l'œil du cœur. Les lumières de sa Majesté ont brulé son cœur; pure est devenue la boisson qu'il puise dans la coupe de Son amour. Quand il parle,c'est par ALLAH; quand il raisonne, c'est d'aprés ALLAH;quand il bouge, c'est sur l'ordre d'ALLAH; quand il se tait, il est avec ALLAH .
En fait, il n'existe que par ALLAH, pour ALLAH,et avec ALLAH."
A ces mots les Ulémas se mirent tous à pleurer, puis ils dirent :" On ne saurait être plus clair! Qu'ALLAH te récompense pour nous, ô el-Junaid. "
ALLAH dit :" Il est des hommes qui prennent en dehors de Dieu des idoles qu'ils aiment à l'égal de Dieu. En vérité, les croyants vouent à Dieu un amour plus profond encore ." ( st-qor'an2-165 )
Salam.