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Discussion: Economie Senegal, Mali, Mauritanie

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  1. 24/07/2011, 19h00 #1
    lamezo
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    Citation Posté par Mamadou Lamine Voir le message
    Seoul´s amazing urban transformation: from a poor backwater to a super modern high-tech city - SkyscraperCity

    ^^
    J'invite tout le monde à regarder la transformation INCROYABLE mais bien réelle de Séoul(Corée du Sud) en moins de 50 ans.
    Dans les années 1950, le revenu moyen en Corée du Sud était inférieur à la plupart des pays africains.

    Qu'est-il arrivé? Le gouvernement de Corée du Sud a été dirigé par des leaders dévoués, mais autocratiques, engagé dans le développement. Les africains ont été dirigés par des chefs avec une mentalité tribaliste. Les Sud-Coréens se sont sacrifiés au nom de la fierté nationale, la croyance en une nation forte. Les africains se sont battus les uns contre les autres et se sont laisser recoloniser.
    salam

    Ton exemple semble très pertinente, mais je pense pas que le modèle sud coréen puissent être "duplicable" dans nos pays respectif.
    Pourquoi?

    Je commencerais premièrement par noter que nous n'avons pas eu le même trajectoire historique.
    Pour développer un pays, une nation il faut déjà se baser sur des fondamentaux. Or qu'est ce que nous constatons dans les trois pays (Mali, Mauritanie et Sénégal)?
    C'est premièrement le fait que nous n'avons pas une culture de l'Etat. l'Etat moderne tels que nous le connaissons est un système hérité de la colonisation. Système qui, certes fonction en Europe, mais impossible à faire fonctionner correctement dans nos contrées. Or dans l'exemple de la Corée du sud, l'histoire nous souligne qu'il y avait déjà une certaine bienveillance de la part des populations vis-à-vis de l'autorité étatique.
    Le fond de ma pensée ici c'est de souligner le fait qu'il y a des cultures qui ont plus tendance à croire au fait que l'Etat est capable de résoudre des questions de politique économique alors que d'autre comme les autres voient un l'Etat une puissance qui s'oppose à leur acquis.

    deuxièmement, nos pays ne se développement pas car nous continuons à faire fonctionner nos institutions héritées de la colonisation française. Il suffit juste de voir comment les anglais gouvernaient leurs anciennes colonies, et comment la France faisait.
    D'un côté nous avons les anglais qui confiaient plus la gestion des colonie à des hommes politique locaux quant le français lui remplacer complètement le système de gouvernance local, donc la disparition du élite politique qui géraient les affaires avant la colonisation.
    Pour s'en rendre compte il faut juste remarquer la façon donc l'Afrique anglophone se développe par rapport au francophone.

    Enfin tout développement passe nécessairement par l'éducation des masses qui à long terme est synonyme d'égalisation des conditions (de démocratie).
    Certes, nos pays avance dans ce sens, mais comment voulaient vous développer une nation avec des langues étrangères dont à peine 10% de la population les maîtrise correctement.
    Ce qui fait la différence entre nos pays et certain pays asiatique, c'est le fait que dès le départ du colonisateur, ils se sont basé sur leur culture, leur façon de penser pour développer leur pays car étant plus efficace.
    Donc tant que nous ne résoudrons pas les questions structurelles au développement de nos pays, ces derniers resterons toujours dans le bottom des classement internationaux.
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  2. 27/07/2011, 13h53 #2
    Mamadou Lamine
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    Citation Posté par lamezo Voir le message
    salam

    Ton exemple semble très pertinente, mais je pense pas que le modèle sud coréen puissent être "duplicable" dans nos pays respectif.
    Salam,

    Je nai pas poste ce lien pour faire passer le message comme quoi la Coree du Sud pourrait etre un modele pour nos pays. Simplement pour montrer un peu de l'ascension formidable de ce pays non-europeen. Ce pays qui avait le meme niveau de developpement aue le Senegal en 1960.

    Je suis absolument dáccord sur le fait que nos institutions sont héritées de la colonisation française et meme nos facons de faire du business le sont.'
    Et cést une honte de ne ps oser couper le cordon ombilical qui nous lie a Mama France.

    Quand aux problemes déducation de nos masses populaires et le probleme des langues déducations cela aussi est tres lie au neocolonialisme francais.
    Les pays dÁfrique francophone sont la risee de lÁfrique mais ca beaucoup ne le savent pas.


    dsl pour les fautes d'ortographe, clavier anglais.
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  3. 27/07/2011, 14h27 #3
    lamezo
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    Citation Posté par Mamadou Lamine Voir le message
    Salam,

    Je nai pas poste ce lien pour faire passer le message comme quoi la Coree du Sud pourrait etre un modele pour nos pays. Simplement pour montrer un peu de l'ascension formidable de ce pays non-europeen. Ce pays qui avait le meme niveau de developpement aue le Senegal en 1960.

    .
    Au temps pour moi,

    et revenant a ton sujet de depart je pense de meme que l'Etat ne peut tout faire dans nos pays et ca, il faut bien l'avoir en tete. Meme si un Etat a beaucoup d'argent, cela signifie pas qu'un pays peut se developper: Algerie, Arabie Saudi, petro monarchie du golf.
    Le developpement de nos contres passe focement par l'investissement prive.
    Or ce que nous constatons aujourd'hui est '' pitoyable'' comparait a la valeur ajoutee qu'on peut creer.
    Et je pense que nous aui sommes dans l'immigration, nous avons un role a jouer.
    Si je prends le cas des soninkes, on oublie, ou on ne sait pas que, pour qu'il une croissance durable dans un pays (donc developpement), il faut tjrs manier le couple consommation investissement. Pour l'insant, nous ne faisons que consommer. Raison pour laquelle nous sommes en constante etat stationnaire.

    salam

    dsl pour les fautes, g un clavier anglais
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  4. 28/07/2011, 15h34 #4
    Mamadou Lamine
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    Citation Posté par lamezo Voir le message
    Au temps pour moi,

    et revenant a ton sujet de depart je pense de meme que l'Etat ne peut tout faire dans nos pays et ca, il faut bien l'avoir en tete.

    Si je prends le cas des soninkes, on oublie, ou on ne sait pas que, pour qu'il une croissance durable dans un pays (donc developpement), il faut tjrs manier le couple consommation investissement. Pour l'insant, nous ne faisons que consommer. Raison pour laquelle nous sommes en constante etat stationnaire.

    salam

    dsl pour les fautes, g un clavier anglais
    Salam,

    Létat ne peut tout faire mais létat ne peut pas ne rien faire non plus.
    Il ya des mesures que l'état peut prendre des DEMAIN et qui peuvent favoriser de la croissance.

    Par ex :
    Au Senegal abaisser le taux de tva sur le tourisme serait un bon debut.
    Favoriser láprentissage de lánglais pour les employes dans ce secteur pour qu'ón puisse attirer autre chose que des francais et des belges.

    En Mauritanie reintegrer la cedeao pour beneficier des programmes d'entraide de la cedeao. Reintegrer la cedeao faciliterai biensur aussi le commerce avec les pays frontaliers.

    Au Mali létat est incapable de creer des infrastructures hoteliers donc elle pourait donner des terres aux developpeurs, et se contenter d'offrir un minimum dínfrastructures routier et déau et délectricite.


    Il ya beaucoup dáutres mesures qui peuvent rapidememt etre mise en place et ce sont des choses qui dependent de la volonte des dirigeants, pas besoin de milliards pour bannir les sacs plastiques a Dakar juste une bonne dose de bon-sens. Pourquoi ne pas utiliser les prisonniers (petit larcins) pour paver les banlieues de Dakar. Oui paver un par un, travail penible mais il ya des pays dÁfrique ou cela se fait.

    Nous devons draguer les investisseurs, pour línstant nous sommes laids tres laids. Un peu de maquillage et de parfum et on nous remarquera peut-etre.


    dsl jai pas le temps de trop developper mes exemples
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  5. 26/08/2011, 21h04 #5
    Mamadou Lamine
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    Le taux de croissance devrait atteindre 4,5% en 2011



    ‘’La croissance économique pour cette année 2011 va atteindre un taux prévisionnel de 4,5% avec un bond important par rapport à l’année passée (2010) où le taux de croissance était de l’ordre de 4,2%’’, a dit Mme Dieng. Elle présidait la cérémonie de présentation du rapport 2011 de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) des Nations unies.

    Selon Mme Dieng, le Sénégal ‘’est dans une dynamique de consolider son taux de croissance’’. ‘’Si nous continuons la même cadence dans la politique de développement, nous pourrons même atteindre des taux de croissance de 5 à 7%’’, a-t-elle ajouté.

    ‘’Si cette tendance se poursuit vers des taux de croissance plus élevés, le Sénégal pourra atteindre le premier objectif des OMD (Objectifs du millénaire pour le développement) qui est la réduction de moitié de la pauvreté’’ d’ici à 2015, a-t-elle encore dit.

    Le rapport annuel sur l’économique africaine a été présenté devant des experts de la CEA et des responsables de l’Institut africain de développement économique et de planification (IDEP) des Nations unies.

    Cette étude intitulée ‘’Gérer le développement : le rôle de l’Etat dans la transformation économique’’ invite les Etats africains à changer d’approche en instaurant ’’l’Etat développementiste’’ pour ramener les gouvernement au centre des affaires.

    APS

    ^^

    Espérons que ces chiffres donnés par des Wadistes ne sont pas trafiqués !!!
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  6. 31/08/2011, 17h19 #6
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    Can Senegal succeed?
    2011-08-29




    DAKAR – Senegal's people are deeply disenchanted. In 2000, they enthusiastically went to the polls to elect Abdoulaye Wade as their president. Wade had campaigned as an agent of change, but change never came to Senegal throughout his decade in power. Now the only change he wants to make is to the constitution, so that he can retain his hold on power.

    Unfortunately, Wade turned out to be almost a caricature of the dozy African potentate for whom power, nepotism, and embezzlement become indistinguishable. So deeply has he identified his and his family's interests with the state that he appointed his son, Karim Wade, to head four different ministries – international cooperation, air travel, infrastructure, and energy – simultaneously.


    Wade's shortcomings have also hurt Senegal's economy. Annual growth of 1.2% in the agricultural sector, which employs 60% of the population, cannot provide for a population that is growing at more than twice that rate. And this pathetic performance comes at a time when many African economies' agricultural sectors are booming on the back of high world food prices.

    Senegal under Wade has succeeded in irrigating only 15% of a planned 250,000 hectares, and now imports some 80% of the rice that it consumes. Fishery resources are over-exploited; animal husbandry suffers a similar lack of rigorous management; and the country spends a fortune buying the meat and milk that it could easily produce for itself if farmers had the proper incentives.

    These are just a few examples of the vast misuse of the country's resources, owing to the marked preference of Senegal's elite to use import licenses to build up their own fortunes rather than develop import-substitution industries. As a result, Senegal, a cosmopolitan country, is missing out on Africa's best opportunity for growth since de-colonization.

    Indeed, Africa is at a turning point. Since 2000, its sub-Saharan countries have achieved average economic growth of 5-7%. In 2008, Africa's combined economic output reached $1.6 trillion, and consumer spending totaled $860 billion. During the global recession in 2009, Africa and Asia were the only two regions where GDP rose. The International Monetary Fund forecasts 5.5% GDP growth in sub-Saharan Africa in 2011, and 6% growth in 2012.

    Moreover, Africa now boasts more than 100 homegrown companies with annual revenue of more than $1 billion. Banking and retail are flourishing. Construction is booming, and foreign investment is surging. Telecom firms have signed up 316 million new subscribers since 2000, more than the entire population of the United States.

    Wade's inertia is particularly damaging because instability elsewhere in West Africa – civil and foreign wars, coups d'état, predatory corruption, and trafficking of all kinds – gives Senegal a chance to position itself as a regional power. For example, with sufficient investment, a port at Bargny could serve not only as a West African export base, but also as a processing hub for minerals and a center for the liquefaction of natural gas. Such investments would drive a decisive shift from low-productivity to higher-productivity sectors, boosting employment and wages.

    Ghana, a newer democracy than Senegal, is an illuminating example. At independence, Senegal's endowment of infrastructure and human resources was the best in West Africa. But five decades of economic mismanagement – first by the Socialist Party for 40 years, and then by Wade's liberals for the last decade – eroded this heritage. Due to its superior infrastructure relative to Senegal, Ghana has attracted many billions of dollars more in foreign investment and records much higher trade volumes.

    With the right governance, Senegal, with its longstanding political stability as a 51-year-old democracy and its strategic position
    bordering Mauritania, Mali, Guinea and Guinea-Bissau on Africa's westernmost point, is ideally positioned to serve as the hub for natural-resource development in these countries – and in Burkina Faso, Gambia, and Niger as well. The economic benefits of such a strategy for Senegal are potentially vast: new industries in mineral processing, transport, and shipping, bringing higher-value-added employment; budget revenues from transit fees for minerals exports and pipelines; and improved infrastructure connecting the country's rural heartland to Dakar and the coast.

    There is hope that the popular protests of June will help bring Wade to his senses and allow the Senegalese to continue choosing their governments through transparent elections. Let us also hope that the next government will realize Senegal's huge potential as a West African regional economic hub.


    Sanou Mbaye is a former senior executive of the African Development Bank.
    His most recent book is L'Afrique au secours de l'Afrique (Africa to the rescue of Africa).

    Copyright: Project Syndicate, 2011


    By Sanou Mbaye (chinadaily.com.cn)
    ^^
    ARTICLE PERTINANT A 100 %
    LISEZ CECI SI VOUS VOULEZ COMPRENDRE POURQUOI LE SENEGAL STAGNE



    AU DIABLE AVEC CET ESCLAVE DE LA FRANCAFRIQUE WADE ET SA FAMILLE FRANCAISE
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  7. 05/09/2011, 21h13 #7
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    Le point noir de l’entreprise sénégalaise est l’énergie: Président CNES

    L’entreprise sénégalaise est en agonie. Sa souffrance est en grande partie due aux caprices énergétiques dont elle est confrontée au quotidien. Ce qui fait dire au président de la Confédération Nationale des Employeurs du Sénégal (CNES), Mansour Kama, que « le point noir de l’entreprise sénégalaise est l’énergie ». Invité de l’émission « Grand jury » de la RFM ce dimanche, le président du CNES renseigne que les secteurs industriels, tertiaires, ou même primaires sont étouffés par la crise de l’énergie, en situant l’impact des délestages à trois niveaux. « Malgré les promesses, malgré tout ce qui est dit, tous les jours vous êtes confrontés à un problème de gérer des délestages, mais aussi de suppléer ces délestages par un recours devenu systémique du groupe de secours avec un coût de carburant qui est extrêmement élevé », a-t-il évoqué comme premier niveau d’impact. Mansour Kama analyse le deuxième impact sur la trésorerie. « Vous allez mobiliser tout votre argent pour acheter du carburant et non plus de l’orienter vers d’autres secteurs de votre entreprise », remarque-t-il. Le dirigeant de la Société Sénégalaise d’Investissement (SSI) voit sur le troisième impact, un effet direct sur la croissance car « tout le monde est touché, tout est affecté et même la demande », précise Mansour Kama.


    Par Mamadou Sakhir Ndiaye | Pressafrik.com
    Faut pas être un génie pour comprendre que ceux qui ont les capitaux n’investisserons jamais chez nous si en 2011 on ne peut même pas leur garantir un accès a électricité. Les PME des courageux chefs d’entreprise sénégalais aussi souffrent beaucoup. Wade dégage.
    Dernière modification par Mamadou Lamine 05/09/2011 à 21h22
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