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Discussion: Economie Senegal, Mali, Mauritanie

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  1. 27/07/2011, 14h27 #1
    lamezo
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    Citation Posté par Mamadou Lamine Voir le message
    Salam,

    Je nai pas poste ce lien pour faire passer le message comme quoi la Coree du Sud pourrait etre un modele pour nos pays. Simplement pour montrer un peu de l'ascension formidable de ce pays non-europeen. Ce pays qui avait le meme niveau de developpement aue le Senegal en 1960.

    .
    Au temps pour moi,

    et revenant a ton sujet de depart je pense de meme que l'Etat ne peut tout faire dans nos pays et ca, il faut bien l'avoir en tete. Meme si un Etat a beaucoup d'argent, cela signifie pas qu'un pays peut se developper: Algerie, Arabie Saudi, petro monarchie du golf.
    Le developpement de nos contres passe focement par l'investissement prive.
    Or ce que nous constatons aujourd'hui est '' pitoyable'' comparait a la valeur ajoutee qu'on peut creer.
    Et je pense que nous aui sommes dans l'immigration, nous avons un role a jouer.
    Si je prends le cas des soninkes, on oublie, ou on ne sait pas que, pour qu'il une croissance durable dans un pays (donc developpement), il faut tjrs manier le couple consommation investissement. Pour l'insant, nous ne faisons que consommer. Raison pour laquelle nous sommes en constante etat stationnaire.

    salam

    dsl pour les fautes, g un clavier anglais
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  2. 28/07/2011, 15h34 #2
    Mamadou Lamine
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    Citation Posté par lamezo Voir le message
    Au temps pour moi,

    et revenant a ton sujet de depart je pense de meme que l'Etat ne peut tout faire dans nos pays et ca, il faut bien l'avoir en tete.

    Si je prends le cas des soninkes, on oublie, ou on ne sait pas que, pour qu'il une croissance durable dans un pays (donc developpement), il faut tjrs manier le couple consommation investissement. Pour l'insant, nous ne faisons que consommer. Raison pour laquelle nous sommes en constante etat stationnaire.

    salam

    dsl pour les fautes, g un clavier anglais
    Salam,

    Létat ne peut tout faire mais létat ne peut pas ne rien faire non plus.
    Il ya des mesures que l'état peut prendre des DEMAIN et qui peuvent favoriser de la croissance.

    Par ex :
    Au Senegal abaisser le taux de tva sur le tourisme serait un bon debut.
    Favoriser láprentissage de lánglais pour les employes dans ce secteur pour qu'ón puisse attirer autre chose que des francais et des belges.

    En Mauritanie reintegrer la cedeao pour beneficier des programmes d'entraide de la cedeao. Reintegrer la cedeao faciliterai biensur aussi le commerce avec les pays frontaliers.

    Au Mali létat est incapable de creer des infrastructures hoteliers donc elle pourait donner des terres aux developpeurs, et se contenter d'offrir un minimum dínfrastructures routier et déau et délectricite.


    Il ya beaucoup dáutres mesures qui peuvent rapidememt etre mise en place et ce sont des choses qui dependent de la volonte des dirigeants, pas besoin de milliards pour bannir les sacs plastiques a Dakar juste une bonne dose de bon-sens. Pourquoi ne pas utiliser les prisonniers (petit larcins) pour paver les banlieues de Dakar. Oui paver un par un, travail penible mais il ya des pays dÁfrique ou cela se fait.

    Nous devons draguer les investisseurs, pour línstant nous sommes laids tres laids. Un peu de maquillage et de parfum et on nous remarquera peut-etre.


    dsl jai pas le temps de trop developper mes exemples
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  3. 26/08/2011, 21h04 #3
    Mamadou Lamine
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    Le taux de croissance devrait atteindre 4,5% en 2011



    ‘’La croissance économique pour cette année 2011 va atteindre un taux prévisionnel de 4,5% avec un bond important par rapport à l’année passée (2010) où le taux de croissance était de l’ordre de 4,2%’’, a dit Mme Dieng. Elle présidait la cérémonie de présentation du rapport 2011 de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) des Nations unies.

    Selon Mme Dieng, le Sénégal ‘’est dans une dynamique de consolider son taux de croissance’’. ‘’Si nous continuons la même cadence dans la politique de développement, nous pourrons même atteindre des taux de croissance de 5 à 7%’’, a-t-elle ajouté.

    ‘’Si cette tendance se poursuit vers des taux de croissance plus élevés, le Sénégal pourra atteindre le premier objectif des OMD (Objectifs du millénaire pour le développement) qui est la réduction de moitié de la pauvreté’’ d’ici à 2015, a-t-elle encore dit.

    Le rapport annuel sur l’économique africaine a été présenté devant des experts de la CEA et des responsables de l’Institut africain de développement économique et de planification (IDEP) des Nations unies.

    Cette étude intitulée ‘’Gérer le développement : le rôle de l’Etat dans la transformation économique’’ invite les Etats africains à changer d’approche en instaurant ’’l’Etat développementiste’’ pour ramener les gouvernement au centre des affaires.

    APS

    ^^

    Espérons que ces chiffres donnés par des Wadistes ne sont pas trafiqués !!!
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  4. 31/08/2011, 17h19 #4
    Mamadou Lamine
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    Can Senegal succeed?
    2011-08-29




    DAKAR – Senegal's people are deeply disenchanted. In 2000, they enthusiastically went to the polls to elect Abdoulaye Wade as their president. Wade had campaigned as an agent of change, but change never came to Senegal throughout his decade in power. Now the only change he wants to make is to the constitution, so that he can retain his hold on power.

    Unfortunately, Wade turned out to be almost a caricature of the dozy African potentate for whom power, nepotism, and embezzlement become indistinguishable. So deeply has he identified his and his family's interests with the state that he appointed his son, Karim Wade, to head four different ministries – international cooperation, air travel, infrastructure, and energy – simultaneously.


    Wade's shortcomings have also hurt Senegal's economy. Annual growth of 1.2% in the agricultural sector, which employs 60% of the population, cannot provide for a population that is growing at more than twice that rate. And this pathetic performance comes at a time when many African economies' agricultural sectors are booming on the back of high world food prices.

    Senegal under Wade has succeeded in irrigating only 15% of a planned 250,000 hectares, and now imports some 80% of the rice that it consumes. Fishery resources are over-exploited; animal husbandry suffers a similar lack of rigorous management; and the country spends a fortune buying the meat and milk that it could easily produce for itself if farmers had the proper incentives.

    These are just a few examples of the vast misuse of the country's resources, owing to the marked preference of Senegal's elite to use import licenses to build up their own fortunes rather than develop import-substitution industries. As a result, Senegal, a cosmopolitan country, is missing out on Africa's best opportunity for growth since de-colonization.

    Indeed, Africa is at a turning point. Since 2000, its sub-Saharan countries have achieved average economic growth of 5-7%. In 2008, Africa's combined economic output reached $1.6 trillion, and consumer spending totaled $860 billion. During the global recession in 2009, Africa and Asia were the only two regions where GDP rose. The International Monetary Fund forecasts 5.5% GDP growth in sub-Saharan Africa in 2011, and 6% growth in 2012.

    Moreover, Africa now boasts more than 100 homegrown companies with annual revenue of more than $1 billion. Banking and retail are flourishing. Construction is booming, and foreign investment is surging. Telecom firms have signed up 316 million new subscribers since 2000, more than the entire population of the United States.

    Wade's inertia is particularly damaging because instability elsewhere in West Africa – civil and foreign wars, coups d'état, predatory corruption, and trafficking of all kinds – gives Senegal a chance to position itself as a regional power. For example, with sufficient investment, a port at Bargny could serve not only as a West African export base, but also as a processing hub for minerals and a center for the liquefaction of natural gas. Such investments would drive a decisive shift from low-productivity to higher-productivity sectors, boosting employment and wages.

    Ghana, a newer democracy than Senegal, is an illuminating example. At independence, Senegal's endowment of infrastructure and human resources was the best in West Africa. But five decades of economic mismanagement – first by the Socialist Party for 40 years, and then by Wade's liberals for the last decade – eroded this heritage. Due to its superior infrastructure relative to Senegal, Ghana has attracted many billions of dollars more in foreign investment and records much higher trade volumes.

    With the right governance, Senegal, with its longstanding political stability as a 51-year-old democracy and its strategic position
    bordering Mauritania, Mali, Guinea and Guinea-Bissau on Africa's westernmost point, is ideally positioned to serve as the hub for natural-resource development in these countries – and in Burkina Faso, Gambia, and Niger as well. The economic benefits of such a strategy for Senegal are potentially vast: new industries in mineral processing, transport, and shipping, bringing higher-value-added employment; budget revenues from transit fees for minerals exports and pipelines; and improved infrastructure connecting the country's rural heartland to Dakar and the coast.

    There is hope that the popular protests of June will help bring Wade to his senses and allow the Senegalese to continue choosing their governments through transparent elections. Let us also hope that the next government will realize Senegal's huge potential as a West African regional economic hub.


    Sanou Mbaye is a former senior executive of the African Development Bank.
    His most recent book is L'Afrique au secours de l'Afrique (Africa to the rescue of Africa).

    Copyright: Project Syndicate, 2011


    By Sanou Mbaye (chinadaily.com.cn)
    ^^
    ARTICLE PERTINANT A 100 %
    LISEZ CECI SI VOUS VOULEZ COMPRENDRE POURQUOI LE SENEGAL STAGNE



    AU DIABLE AVEC CET ESCLAVE DE LA FRANCAFRIQUE WADE ET SA FAMILLE FRANCAISE
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  5. 05/09/2011, 21h13 #5
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    Le point noir de l’entreprise sénégalaise est l’énergie: Président CNES

    L’entreprise sénégalaise est en agonie. Sa souffrance est en grande partie due aux caprices énergétiques dont elle est confrontée au quotidien. Ce qui fait dire au président de la Confédération Nationale des Employeurs du Sénégal (CNES), Mansour Kama, que « le point noir de l’entreprise sénégalaise est l’énergie ». Invité de l’émission « Grand jury » de la RFM ce dimanche, le président du CNES renseigne que les secteurs industriels, tertiaires, ou même primaires sont étouffés par la crise de l’énergie, en situant l’impact des délestages à trois niveaux. « Malgré les promesses, malgré tout ce qui est dit, tous les jours vous êtes confrontés à un problème de gérer des délestages, mais aussi de suppléer ces délestages par un recours devenu systémique du groupe de secours avec un coût de carburant qui est extrêmement élevé », a-t-il évoqué comme premier niveau d’impact. Mansour Kama analyse le deuxième impact sur la trésorerie. « Vous allez mobiliser tout votre argent pour acheter du carburant et non plus de l’orienter vers d’autres secteurs de votre entreprise », remarque-t-il. Le dirigeant de la Société Sénégalaise d’Investissement (SSI) voit sur le troisième impact, un effet direct sur la croissance car « tout le monde est touché, tout est affecté et même la demande », précise Mansour Kama.


    Par Mamadou Sakhir Ndiaye | Pressafrik.com
    Faut pas être un génie pour comprendre que ceux qui ont les capitaux n’investisserons jamais chez nous si en 2011 on ne peut même pas leur garantir un accès a électricité. Les PME des courageux chefs d’entreprise sénégalais aussi souffrent beaucoup. Wade dégage.
    Dernière modification par Mamadou Lamine 05/09/2011 à 21h22
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  6. 12/09/2011, 17h11 #6
    Mamadou Lamine
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    Compétitivité mondial le Sénégal 111e sur 142:
    Corruption et accès difficile au financement, les pesanteurs

    12 septembre, 2011




    Classé au 111ème rang mondial sur 142 économies, le Sénégal où corruption et accès difficile au financement se disputent l’environnement des affaires, est absent même du top ten africain des économies africaines les plus compétitives. L’édition 2011-2012 du Rapport Global sur la Compétitivité du Forum économique mondial (WEF) publié mercredi dernier, tresse cependant des lauriers au continent dont la moyenne globale dépasse même celle du gotha mondial.


    Le Lion rouge n’a pas rugi. Quand la Gambie qui régresse pourtant de 9 points et chute de la 90ème à la 99ème place, figure dans le top 10 des économies africaines les plus compétitives dans le classement 2011-2012 du forum économique mondial (WEF), le Sénégal a bien de quoi rougir. Avec une moyenne générale de 3.70 points, le Sénégal dégringole de la 104ème marche et atterrit à la 111ème du classement général perdant ainsi 7 places en un an et ne figure même pas dans le top 20 des économies africaines les plus compétitives. Pourtant, s’il fait mieux que la lanterne rouge le Tchad qui ferme le classement 2011-2012 à la 142ème place (tandis que la Suisse plastronne à la 1ère), il fait aussi mieux que des économies comme le Cameroun (116), le Ghana ( qui n’a pas bougé du 114ème rang ), la Côte d’ivoire ( dont la longue période d’instabilité explique le 129ème rang ) et même le Cap-vert (119), le Burkina (136), le Mali (128), etc… Sauf que ce « mieux » par rapport à ces économies dans le présent classement, cache mal une évolution erratique d’année en année du classement du Sénégal qui, en 2009-2010, occupait le 92ème rang parmi 133 pays avant de dégringoler un an plus tard en 2010-2011 au 104ème rang.

    Subissant de vives critiques qui contestent souvent ses méthodologies et résultats, ce classement se veut de plus en plus prudent, essayant d’intégrer de nouveaux critères et d’affiner le traitement des données. Aussi, le Rapport Global sur la compétitivité se fonde-t-il sur le classement établi par l’Indice global de compétitivité (GCI) qui inclut 12 catégories (les piliers de compétitivité) composées de 111 variables recueillies directement auprès des organismes nationaux et internationaux (32 variables) et observés à partir de l’enquête internationale auprès des chefs d’entreprises (79 variables).

    Des indicateurs répartis en trois "piliers" fondamentaux de la croissance et de la compétitivité: Il s’agit des exigences fondamentales en matière de compétitivité (à travers les sous-catégories institutions, infrastructure, environnement macroéconomique, santé et éducation de base) ; les améliorateurs d'efficacité (à travers les sous-catégories enseignement supérieur et formation, efficacité du marché des biens, efficacité du marché du travail, développement du marché financier, développement technologique, taille de marché) ; et les déterminants d'innovation et de sophistication (à travers les sous-catégories degré de sophistication des activités commerciales et innovation). Le classement est ainsi établi sur la base d’une combinaison de données statistiques et des résultats de l’Executive Opinion Survey, une enquête annuelle réalisée par le World economic Forum en collaboration avec son réseau d’instituts partenaires.

    Le Rapport offre ainsi, selon ses auteurs, une image complète de la compétitivité d’un pays. Cette année, plus de 14 000 chefs d’entreprise ont ainsi été sondés dans 142 pays, un record à ce jour, semble-t-il et le sondage passe en revue un large éventail de facteurs influant sur le climat conjoncturel.



    Plombé par la corruption, handicapé par son système judiciaire

    Sur une échelle de 1 à 7, la petite taille du marché sénégalais lui vaut une moyenne de 2.7 qui le place au 100ème rang tandis qu’en matière de protection juridique notée sur une échelle de 0 à 10, le Sénégal reçoit une claque et rejoint la 105ème place avec 3 malheureux points. Le mieux qu’il ait pu faire outre sur le premier pilier des institutions dont la qualité a une forte influence sur la compétitivité et la croissance et où il s’est classé au 78ème rang avec 3.7, c’est au niveau de l’environnement macroéconomique où, avec une moyenne de 4.5, il se classe… au 89ème rang et malgré la même moyenne obtenue dans le critère de l’éducation de base et la santé, le Sénégal s’étouffe au 119ème rang du classement. Et encore, le pire qu’il ait pu faire c’est de reculer à la 122ème place avec une moyenne de 2.6 sur la sous catégorie infrastructure.

    Bien entendu le Sénégal n’en a pas l’apanage, mais la corruption y apparaît comme un des principaux facteurs entravant la compétitivité et expliquant les contreperformances de son économie sénégalaise, à côté d’un accès difficile au financement du secteur privé dominé essentiellement par les Pme-Pmi, rappelons-le.

    Toujours est-il que sur une liste de 15 facteurs dont 5 considérés comme les plus bloquants, 22,1% des sondés ont cité en premier l’accès difficile au financement, suivi de la corruption pour 14.1% des sondés, viennent ensuite le taux d’imposition (12.5%), la règlementation fiscale (7,8%), l’inefficacité de la bureaucratie gouvernementale (7.5%).

    En gros, le Rapport global sur la compétitivité qui fait autorité dans le monde des affaires et est très attendu par les investisseurs, classe l’économie sénégalaise au stade de développement « Factor diven », autrement dit même pas en transition encore moins émergent.

    Il convient de signaler que la Tunisie qui a pourtant subi tant de pénibles circonstances économiques post-révolutionnaires, perd 8 places (à la 40ème mondial) par rapport à l’année dernière mais reste le leader africain de la compétitivité.


    Malick NDAW (Sud quotidien)

    ^^
    Meme pas dans le top 20 des économies les plus compétitives d’Afrique.
    Même pas classée économie en transition encore moins émergente.

    Sous Wade on continue la dégringolade et avec tout ça ce traitre de francafricain nommé Wade vole notre argent pour financer l’élection des présidents français. Lui et son fils francais méritent la pendaison pour haute trahison !!
    Dernière modification par Mamadou Lamine 13/09/2011 à 15h54
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  7. 18/09/2011, 11h28 #7
    Mamadou Lamine
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    Un nouvel aéroport international à Kayes au Mali
    17/09/2011




    Le président malien, Amadou Toumani Touré, va inaugurer dimanche l’aéroport international de Kayes Dag-Dag, à 480 km à l’ouest de la capitale, Bamako, a appris la PANA de source officielle.

    L'aéroport vient d’être entièrement rénové pour 8,6 milliards de francs CFA, financés à 75 pour cent par la Banque arabe pour le développement économique de l'Afrique (BADEA) et par l'Etat malien (25 pc).

    Les travaux ont été exécutés par l’entreprise chinoise 'Checec', qui a notamment construit une nouvelle aérogare d'une plus grande capacité et allongé la piste d’atterrissage de 1600 à 2700 pour permettre aux gros porteurs d'y atterrire.

    La réhabilitation et l’extension de l’aéroport vont permettre de développer le trafic aérien dans cette région qui compte le plus grand nombre de ressortissants à l’extérieur, notamment en France.

    Cette rénovation permet également à l’aéroport de Kayes Dag-Dag de s’aligner sur les normes de l’Organisation internationale de l’aviation civile (OACI).


    source: PANA
    ^^
    Paris - Kayes quelqu’un ?
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  8. 19/09/2011, 17h19 #8
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    ^^
    Meme pas dans le top 20 des économies les plus compétitives d’Afrique.
    Même pas classée économie en transition encore moins émergente.

    Sous Wade on continue la dégringolade et avec tout ça ce traitre de francafricain nommé Wade vole notre argent pour financer l’élection des présidents français. Lui et son fils francais méritent la pendaison pour haute trahison !!
    Mamadou Lamine, tant que la corruption régnera en maître dans nos pays africains, pour moi le développement risque d'être compromis.
    Malheureusement, le Sénégal est un pays atypique où la corruption existe de la base au sommet. Et si vous venez dans ce pays et ne voulez pas adopter le même système de corruption comme tout le monde, alors, vous risquez d'avoir des problèmes. Face à la dureté de la vie, à la pauvreté, aux salaires trop bas, trop insuffisants pour faire vivre une famille, bon nombre de sénégalais pensent que la corruption est tout à fait normale pour arrondir les fins de mois. Celui qui corrompt est celui qui se fait aussi corrompre aussi. Un système bien huilé où seuls ceux qui ont les moyens sont les plus grands gagnants.

    Si vous avez de l'argent, vous ne faites plus la queue dans les banques, à l'hôpital, dans les bureaux, commissariats, etc, j'en passe.
    Mais, si vous ne voulez pas huiler la patte du petit officier d'état qui doit tamponner votre papier d'extrait de naissance, alors votre papier risquera de passer des semaines, voire des mois dans le placard. Chaque jour, on vous demandera de revenir le lendemain, car, le chef n'a pas encore signé. Alors que le chef, lui, a signé depuis des semaines, et le papier est dans le classeur à côté de l'officier d'état civil. Il lui suffit juste de mettre le tampon dessus et de vous le donner. Mais, si vous n'avez pas compris le code "le chef n'a pas encore signé", vous risquez de perdre votre temps pendant des jours et des jours.
    Quand vous comprendrez enfin ce que veut dire "le chef n'a pas signé" et mettrez la main à la poche, là vous gagnerez beaucoup de temps, et l'officier d'état civil gagnera beaucoup d'argent.
    Comme quoi, le temps, c'est bien de l'argent. N'est-ce pas ?
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  9. 05/12/2011, 11h14 #9
    steve biko
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    ^^
    Meme pas dans le top 20 des économies les plus compétitives d’Afrique.
    Même pas classée économie en transition encore moins émergente.

    Sous Wade on continue la dégringolade et avec tout ça ce traitre de francafricain nommé Wade vole notre argent pour financer l’élection des présidents français. Lui et son fils francais méritent la pendaison pour haute trahison !!
    Salam,

    Depuis le temps de senghor,puis de abdou diouf,puis avec mettre wade, on a jamais eu de betio au palais.il est grand temps que cela cesse. on en a marre des toubabs au palais. nos anciens presidents sont des complexes qui travaillent beaucoup plus pour les interets francais que pour nos interets.la preuve a la fin de leur mandat ,ils vont vivre en france avec leur famille et quand ils viennent au senegal c est pour un sejour et puis les fils et filles d anciens presidents se marient rarement oujamais avec des senegalais de souche, mais ils preferent epouser des toubabs c est le cas de karim et de sindiely wade, ils ont montres leur mepris des fils et filles du senegal.et si je me trompe je vous demande de me renseigner.........pour conclure, le senegal doit etre dirige par un senegalais pas par un bi-nationau qui penche beaucoup plus a etre francais que senegalais.le senegal doit etre diriger par un senegalais marie a au mions une senegalaise et enfin le senegal ne doit plus etre dirige par les anciens de la trempe de wade qui ne croit pas au panafricanisme comme il l affirme sinon comment comprendre qu il aille prendre des ordres chez ce salopard de sarkosy
    Quel déshonneur pour son femmes!!!

    Wa salam
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