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Quand l’Etat du Sénégal a pris la décision de résilier unilatéralement le contrat le liant à la compagnie aérienne Air Sénégal Internationale, qui avait le monopole (pour dix ans) de convoyer les pèlerins sénégalais jusqu’en 2013, il s’est tourné vers la société saoudienne Zam Zam international compagnie (Zam Zam Int. Co). Certes, cette société saoudienne avait déjà une solide expérience dans l’organisation du pèlerinage, mais elle n’avait jamais travaillé avec des Africains et singulièrement des Sénégalais. Et voilà malheureusement que la première expérience en terre sénégalaise va être un échec retentissant au rythme où vont les choses, soulignent des observateurs.
 
                        			 
                        			




 Certains commentaires sur l’excellence littéraire et l’inimitabilité du Coran
Certains commentaires sur l’excellence littéraire et l’inimitabilité du Coran  En islam, le rapport reliant les croyantes et les croyants à leur Seigneur est un rapport ne souffrant d'aucune négligence. Allah, depuis  Son Trône, a, de part Sa science, Son omniscience et Sa grandeur, exerce  un contrôle sur les actes apparents et cachés des fidèles : «  à  Allah appartient tout ce qui est dans le ciel et sur la terre ; que vous manifestiez ce qui est en vous ou que vous le cachiez, Allah vous en demandera compte. Il pardonnera à qui Il veut, et châtiera qui Il veut » (Coran, 2 : 284).  Les musulmanes et les musulmans, depuis le VII siècle où le Coran fut, graduellement, révélé au dernier des prophètes, Muhammad (saw), ont conscience de cette réalité, de cette proximité d'Allah, de Sa « surveillance ». Plusieurs verstes du Coran reviennent, telle une   rengaine,  sur cette « surveillance », ce contrôle permanent du Seigneur des univers sur Sa création, Ses créatures: Dieu  a dit: «Dieu qui voit tes changements de position parmi ceux qui se prosternent (les prieurs)» (26 : 219)  ;
En islam, le rapport reliant les croyantes et les croyants à leur Seigneur est un rapport ne souffrant d'aucune négligence. Allah, depuis  Son Trône, a, de part Sa science, Son omniscience et Sa grandeur, exerce  un contrôle sur les actes apparents et cachés des fidèles : «  à  Allah appartient tout ce qui est dans le ciel et sur la terre ; que vous manifestiez ce qui est en vous ou que vous le cachiez, Allah vous en demandera compte. Il pardonnera à qui Il veut, et châtiera qui Il veut » (Coran, 2 : 284).  Les musulmanes et les musulmans, depuis le VII siècle où le Coran fut, graduellement, révélé au dernier des prophètes, Muhammad (saw), ont conscience de cette réalité, de cette proximité d'Allah, de Sa « surveillance ». Plusieurs verstes du Coran reviennent, telle une   rengaine,  sur cette « surveillance », ce contrôle permanent du Seigneur des univers sur Sa création, Ses créatures: Dieu  a dit: «Dieu qui voit tes changements de position parmi ceux qui se prosternent (les prieurs)» (26 : 219)  ; 
  Abu Said Ibn Malîk Ibn Sinân  Al-Khudrî  rapporte  ces propos du prophète (saw) : un homme, appartenant à l'une des communautés qui vous ont précédées, avait tué quatre vingt dix -neuf personnes ; il s'enquit de l'homme le plus instruit sur la terre. On lui indique un ascète auprès duquel il s'est rendu pour exposer son cas : « j'ai tué quatre vingt dix -neuf personnes ; puis-je espérer me repentir », demanda -t-il ?  « Non », lui répondit l'ascète. Il le tua, complétant ainsi la centaine. Puis il s'enquit de nouveau du plus grand savant de la terre. On lui indiqua un homme docte auquel il demanda : «   j'ai tué quatre vingt dix -neuf personnes ; puis-je espérer me repentir » « oui , répondit celui-ci, qu'est ce qui t'empêcherait de te repentir ? Va dans tel pays, tu y trouveras des hommes adorant Allah, exalté soit-il. Adore-Le avec eux, et ne revient pas dans ton pays, car c'est un lieu de perdition. » Il s'est mis en route, et alors qu'il était à mi-chemin, la mort le surpris. Aussitôt les anges de la miséricorde et les anges du châtiment se le disputèrent.
Abu Said Ibn Malîk Ibn Sinân  Al-Khudrî  rapporte  ces propos du prophète (saw) : un homme, appartenant à l'une des communautés qui vous ont précédées, avait tué quatre vingt dix -neuf personnes ; il s'enquit de l'homme le plus instruit sur la terre. On lui indique un ascète auprès duquel il s'est rendu pour exposer son cas : « j'ai tué quatre vingt dix -neuf personnes ; puis-je espérer me repentir », demanda -t-il ?  « Non », lui répondit l'ascète. Il le tua, complétant ainsi la centaine. Puis il s'enquit de nouveau du plus grand savant de la terre. On lui indiqua un homme docte auquel il demanda : «   j'ai tué quatre vingt dix -neuf personnes ; puis-je espérer me repentir » « oui , répondit celui-ci, qu'est ce qui t'empêcherait de te repentir ? Va dans tel pays, tu y trouveras des hommes adorant Allah, exalté soit-il. Adore-Le avec eux, et ne revient pas dans ton pays, car c'est un lieu de perdition. » Il s'est mis en route, et alors qu'il était à mi-chemin, la mort le surpris. Aussitôt les anges de la miséricorde et les anges du châtiment se le disputèrent.  