Le patrimoine linguistique de l’humanité en péril :
Une langue sur près de six mille cinq cents que compte le monde meurt en moyenne toutes les deux semaines, constate l’UNESCO ;
50 à 90% d’entre elles pourraient disparaître au cours de ce siècle, prédisent, inquiets, les scientifiques ;
200 sur 2000 langues africaines sont en train de mourir.
Chez nous, au Burkina Faso, la menace est aussi palpable. Allez à Pensa, département situé à 90 bornes de Kaya. Là-bas, précisément dans les villages de Gorxoore, couramment appelé Bagkiemdé, Zinibéogo, Darheme, Boala ou Wapasi, est dispersée l’ethnie silanko, la plus petite communauté linguistique de notre pays.

Deux chercheurs français contestent fermement l'idée "très largement répandue" d'une migration "massive" des Africains subsahariens vers l'Europe: "Il n'y a ni exode ni invasion", ont-ils insisté en début de semaine au cours d'un colloque à Dakar.
Les messagers du Tout Miséricordieux furent envoyés à leurs peuples respectifs avec un Message clair, ne souffrant d’aucune incohérence : l’adoration d’une Divinité unique (Allah), qui est à l’origine de toute la création. Cependant, la transmission de ce Message, de Nouh (paix sur lui) à Muhammad (saw), en passant par Ibrahim, Moussa et Issa, ne ‘est pas fait sans difficulté. Ils furent tous, sans aucune exception, confrontés à l’adversité de celles/ceux auxquels le Message divin était destiné. Le Coran, Livre de référence des Musulmanes et des Musulmans depuis le VII siècle, fait mention, dans différents endroits, de cette adversité vis – à- vis des Messagers d’Allah. « Nous avions déjà envoyé Nouh à son peuple : je suis pour vous un avertisseur explicite, afin que vous n’adoriez qu’Allah. Je crains pour vous le châtiment d’un jour douloureux. Les notables de son peuple qui avaient mécru dirent : nous ne voyons en toi qu’un homme comme nous ; et nous voyons que ce sont seulement les vils parmi nous qui te suivent sans réfléchir… » (Coran, 11 : 25 -27) ; « et Nous avions envoyé aux Aad leur frère Hûd qui leur dit : ô mon peuple adorez Allah. Vous n’avez point de divinité en dehors de Lui… » (11 : 50) ; « et Nous avions envoyé aux Tamûd leur frère Salîh leur disant : ô mon peuple adorez Allah, vous n’avez point de divinité en dehors de Lui. De la terre Il vous a créés et Il vous la fait peupler (et exploiter) [….] Ils dirent : ô Salîh, tu étais auparavant un espoir pour nous. Nous interdirais –tu d’adorer ce qu’adoraient nos ancêtres ? Cependant, nous voilà bien dans un doute troublant au sujet de ce à quoi tu nous invite » (11 – 61 – 62) ;