Sécurité Les policiers ont tenté hier d'interpeller les vendeurs à la sauvette sous la Tour Eiffel.
Opération coup-de-poing hier après-midi au Trocadéro (8e) sous les yeux des touristes. Cent cinquante policiers en civil, fondus dans la foule, ont tenté de mettre fin au business des vendeurs à la sauvette qui opèrent aux alentours de la Tour Eiffel (16e). Sur la journée, 50 individus ont été interpellés et 46 d'entre eux placés en garde à vue.
Réseaux structurés
« Leur présence est un problème ancien », reconnaît Jean-Louis Fiamenghi, le directeur de cabinet du préfet de police. « Mais ils sont de plus en plus nombreux. Ce n'est pas bon pour l'image de Paris », estime-t-il, avançant le chiffre de 200 à 300 individus.
Difficile dans ces conditions de tous les interpeller. A peine le dispositif en place, les vendeurs flairent le mauvais coup, remballent leur balluchon rempli de porte-clés Tour Eiffel, cartes postales ou contrefaçons et s'évanouissent dans le Champ-de-Mars. Seuls les plus malchanceux se font coincer par les policiers en embuscade.

Source: RFI. On a appris dans la nuit de vendredi à samedi 27 août 2011 la mort d'Ibrahim Ag Bahanga, chef rebelle touareg le plus radical du nord-Mali. Agé d'une quarantaine d'années, originaire du massif de l’Adrar des Iforas, c’est dans cette région située au Nord-est du Mali qu’il a trouvé la mort lors d’un accident. Ibrahim Ag Bahanga n'avait jamais déposé totalement les armes.
Au delà de la fin des investissements libyens, le Mali risque de perdre aussi sa stabilité. Des centaines de Touaregs maliens attirés par l'argent combattent aux côtés des forces de Mouammar Kadhafi mais la fin du dirigeant libyen les pousse à rentrer au Mali, avec des armes ramenées du front, faisant ainsi peser une menace sur la paix au Sahel. 