Zoophilie à mbour

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Bonjour

Et pourtant, de telles pratiques ont toujours existé dans l'histoire de l'humanité. Même l'épître de la risalat qui fait autorité en droit musulman (malékite) nous dit que la sanction requise à l'encontre de celui qui fait des rapports sexuels avec des animaux est de le réprimander publiquement (al qajf, en arabe)pour qu'il y renonce à jamais.

Mais dans ce cas précis, il s'agissait, à en croire l'article, d'un déséquilibré, la charia ne prévoit rien pour son sort, sinon de le soigner.

J'ai lu dans l'ouvrage de mon compatriote Diallo Bios intitulé : De la naissance au mariage chez les Peuls de Mauritanie, que nombreux étaient les bergers peuls qui faisaient leurs premiers actes sexuels avec leurs animaux qu'ils faisaient paître. Selon lui, c'était comme un rite chez eux. Dans une discussion que j'ai eue avec lui en 2006, ici à Paris, il disait qu'ils appelaient ce rite (yitutude ňaande, en langue peule), qui se traduit comme cérémonie de l'enlèvement de ce qui dérange, de ce qui gratte, de ce qui fait de surplace dans le corps,, en bref enlever la balle. C'est dire que, s'il s'agit à travers l'article d'une personne malade, il n'en va de même pour ceux qui faisaient des rapports sexuels avec les animaux comme un rite, quelque chose de culturel, donc existentiel et fondamental : une étape normale de la vie. Heureusement que de telles pratiques ont disparu.

[Djizeuss]

Bonjour

Et pourtant, de telles pratiques ont toujours existé dans l'histoire de l'humanité. Même l'épître de la risalat qui fait autorité en droit musulman (malékite) nous dit que la sanction requise à l'encontre de celui qui fait des rapports sexuels avec des animaux est de le réprimander publiquement (al qajf, en arabe)pour qu'il y renonce à jamais.

Mais dans ce cas précis, il s'agissait, à en croire l'article, d'un déséquilibré, la charia ne prévoit rien pour son sort, sinon de le soigner.

J'ai lu dans l'ouvrage de mon compatriote Diallo Bios intitulé : De la naissance au mariage chez les Peuls de Mauritanie, que nombreux étaient des berges peuls qui faisaient leurs premiers actes sexuels avec les animaux qu'ils faisaient paître. Selon lui, c'était comme un rite chez eux. Dans une discussion que j'ai eue avec lui en 2006, ici à Paris, il disait qu'ils appelaient ce rite (yitutude ňaande, en langue peule), qui se traduit comme cérémonie de l'enlèvement de ce qui dérange, de ce qui gratte, de ce qui fait de surplace dans le corps. C'est dire que, s'il s'agit à travers l'article d'une personne malade, il n'en va de même pour ceux qui faisaient des rapports sexuels avec les animaux comme un rite, quelque chose de culturel, donc existentiel et fondamental : une étape normale de la vie. Heureusement que de telles pratiques ont disparu.

Mais j en tombe des nues la!!!

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Mais j en tombe des nues la!!!

Mon frère, c'était comme ça. Tu sais avant il y avait tellement des choses qui sont aujourd'hui inimaginables pour nous, alors que ceux les pratiquaient les trouvaient normales, etc...Tu peux trouver l'ouvrage en question à Harmattan, si tu veux continuer à tomber des nues, mon frère. Bon ressaisis-toi, la pratique a disparu.

[Djizeuss]

Mon frère, c'était comme ça. Tu sais avant il y avait tellement des choses qui sont aujourd'hui inimaginables pour nous, alors que ceux les pratiquaient les trouvaient normales, etc...Tu peux trouver l'ouvrage en question à Harmattan, si tu veux continuer à tomber des nues, mon frère. Bon ressaisis-toi, la pratique a disparu.

Nan mais la si y a des peuhls qui essayent de me chercher... Nan c est pas bien krkrkrkrkkrkr

[djenawelle]

Bonjour

Et pourtant, de telles pratiques ont toujours existé dans l'histoire de l'humanité. Même l'épître de la risalat qui fait autorité dans le droit musulman (malékite) nous dit que la sanction requise à l'encontre de celui qui fait des rapports sexuels avec des animaux est de le réprimander publiquement (al qajf, en arabe)pour qu'il y renonce à jamais.

Mais dans ce cas précis, il s'agissait, à en croire l'article, d'un déséquilibré, la charia ne prévoit rien pour son sort, sinon de le soigner.

J'ai lu dans l'ouvrage de mon compatriote Diallo Bios intitulé : De la naissance au mariage chez les Peuls de Mauritanie, que nombreux étaient des berges peuls qui faisaient leurs premiers actes sexuels avec les animaux qu'ils faisaient paître. Selon lui, c'était comme un rite chez eux. Dans une discussion que j'ai eue avec lui en 2006, ici à Paris, il disait qu'ils appelaient ce rite (yitutude ňaande, en langue peule), qui se traduit comme cérémonie de l'enlèvement de ce qui dérange, de ce qui gratte, de ce qui fait de surplace dans le corps. C'est dire que, s'il s'agit à travers l'article d'une personne malade, il n'en va de même pour ceux qui faisaient des rapports sexuels avec les animaux comme un rite, quelque chose de culturel, donc existentiel et fondamental : une étape normale de la vie. Heureusement que de telles pratiques ont disparu.

non, c chaud

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

non, c chaud

C'est même plus que chaud.

[amylst]

Bonjour

Et pourtant, de telles pratiques ont toujours existé dans l'histoire de l'humanité. Même l'épître de la risalat qui fait autorité dans le droit musulman (malékite) nous dit que la sanction requise à l'encontre de celui qui fait des rapports sexuels avec des animaux est de le réprimander publiquement (al qajf, en arabe)pour qu'il y rénonce à jamais.

Mais dans ce cas précis, il s'agissait, à en croire à l'article un déséquilibré, la charia ne prévoit rien pour son sort, sinon de le soigner.

J'ai lu dans l'ouvrage de mon compatriote Diallo Bios intitulé : De la naissance au mariage chez les Peuls de Mauritanie, que nombreux étaient des berges peulhs qui faisaient leurs premiers actes sexuels avec les animaux qu'ils faisaient paître. Selon lui, c'était comme un rite chez eux. Dans une discussion que j'ai eue avec lui en 2006, ici à Paris, il disait qu'ils appélaient ce rite (yitutude ňaande, en langue peule), qui se traduit comme cérémonie de l'enlevement de ce qui dérange, de ce qui grate, de ce qui fait de surplace dans le corps. C'est dire que, s'il s'agit à travers l'article d'une personne malade, il n'en va de même pour ceux qui faisaient des rapports sexuels avec les animaux comme un rite, quelque chose de culturel, donc existentiel et fondamental : une étape normale de la vie. Heureusement que de telles pratiques ont disparu.

Grand Dieu j'arrive pas à y croire oh la la.

Sacré peuls tout ce qui leur tombe sous la main.

Des animaux pour des rites initiaques!

Qu'est ce qu'on en apprend ici alors papapa............