Malheureusement, pour la GIE, La Bakeloise, si nous françinkos réglaient hebdomadairement les faxs en temps et en heure, à nos frères qui ont
l' ont mises en place, il n' y aurait pas eut echec, la avec la hausse des prix qu' est ce ça va être, quand j' appelle M....., pour faire passer un fax et passer la ration mensuelle pour ma mère, soit il n' y a plus d' argent à Bakel, ou soit il manque quelque chose, moi j' ai poser la question, je connais bien les membres, c' est une histoire d' argent mais qui commence ici, nos frères soeurs envoient, et ne paie pas, combien de fois j' ai croiser le trésorier à la CBIP, pour qu' il fasse le versement des faxs récoltés, pour les transféres à Dakar via Bakel,

C' est bien dommage quand ont commence une chose, ont ne finit pas, j' y reviendrais inchallah....

Citation Posté par makalou Voir le message
Salam

C'est ainsi que je pourrai citer dans le cas de Bakel : CAREBA, GIE LA BAKELOISE... qui ont essayé à leur temps de faire bouger les choses dans le Gajaaga. L'exemple de le Gie La Bakéloise est plus patant car corroborant le mieux avec la situtation actuelle.

Ce GIE avait ouvert un grand magasin d'alimentation générale et commandait en gros depuis la capitale.
Qui dit en gros pense forcément aux remises qui s' y decoulent afin de pouvoir proposer un prix abordable au client final. C'est ainsi que tout Bakel, le goye inférieur, le goye supérieur venaient s'approvisionner en nourriture mensuel...

Ce qui devait aider toute une population a finalement été un echec criant.

Chacun peut citer 5 à 10 exemples d'echecs de ce genre.

Aujourd'hui nous assistons à la flambée des prix de denrées de première necessaité car on a pas su imposer notre implantation economique locale.

Le cas de Bakel , celui que je connais le mieux est plus tangible.

A l'heure actuelle , tous les magasins de denrées de première nécessité, les boutiques, les magasins de plomberie, de maçonnerie, sont dans la majorité gérés par des étrangers. On a légué la voie de notre reussité aux etrangers. Ces genre de commerces cités ci-dessus constituent le fer de lance l'économie de nos pays d'origine mais les Soninkés ont " sous traités " cela et aujourd"ui on subit de plein fouet le cherté du coup de la vie.