La loi sur l'immigration promulguée le 20 novembre pourrait être rendue inapplicable par les tribunaux. Plusieurs de ses dispositions "méconnaissent des directives européennes ou des conventions internationales auxquelles la France est partie" et revêtent "un caractère discriminatoire", conclut la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) dans une délibération soumise mardi 15 janvier au gouvernement.
A commencer par celle instituant des tests ADN pour les candidats au regroupement familial à l'état civil douteux. Le texte prévoit de vérifier le lien de filiation avec la mère. "Une fois la filiation de la mère établie, le doute sur le lien entre le père et la mère demeurera", explique la Halde, rappelant que "ce sont des pères, à 85 %, qui se trouvent en France et demandent le regroupement familial". Si l'état civil du pays d'origine est défaillant, "il l'est autant pour la filiation que pour les actes de mariages", ajoute-t-elle. "De plus, cette procédure ne pourra pas être mise en oeuvre en cas de décès de la mère."

Trois ans après la mise en place d'une départementale de concertation sur l'éducation à Bakel, il a été question, ce week-end de la mise en place, d’une autre structure, dénommée Association départementale des parents d'élèves (Adpe). L'occasion a également été mise à contribution pour passer en revue les problèmes qui gangrènent le système éducatif dans de la localité et de dégager des propositions de solutions.
L'unité nationale a fait l’objet d’un concours de poésie dans toutes les langues nationales en Mauritanie (arabe, hassaniya, pular, soninké, wolof) dont les prix de la première édition ont été remis dimanche à Nouakchott, a constaté APA.
Dans un monde appelé à connaître de terribles bouleversements liés à la rareté des ressources vitales, quel sera le sort du Mali ?
La cérémonie de déclaration départementale d’abandon de l’excision et des mariages précoces va réunir, demain à 10 heures au stade, les 909 communautés du département de Tambacounda, une première au Sénégal. Il est l’aboutissement d’un programme de renforcement des capacités des communautés mis en œuvre par Tostan, l’Unicef et le gouvernement du Sénégal.