La libre expression en Mauritanie souffre du prix élevé des journaux, d'une mauvaise distribution et d'une piètre formation chez les journalistes et les juristes qui se spécialisent dans la défense des droits des médias, conclut ARTICLE 19 dans un rapport récent.
Bien que d'importantes concessions aient été arrachées depuis le renversement du régime du président Ould Taya, en août 2005 - comme l'adoption d'une nouvelle loi qui abolit la censure et qui prévoit la dépénalisation des délits de presse -, de graves difficultés demeurent, dit ARTICLE 19. Le prix des journaux reste élevé et le tirage, qui oscille entre 1 500 et 2 000 exemplaires, est « insignifiant ». La Mauritanie est aussi le seul pays d'Afrique de l'Ouest sans radio ni télévision privée. La situation s'aggrave du fait de l'absence de professionnalisme dans l'industrie et de l'accès limité à l'information.

La crise que traverse Aj/Pads ne laisse guère indifférents les 'follistes' de la fédération départementale de Bakel. C’est ainsi qu’au cours d'une assemblée générale de renouvellement de leur bureau exécutif départemental, ils ont adopté une position de neutralité par rapport à cette crise qui mine le parti de Landing Savané.
Né dans une famille de griots le 4 juin 1961 à Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, Dani Kouyaté approche très jeune l'art du spectacle. Il entre à l'Institut Africain d'Études Cinématographiques de Ouagadougou et obtient une licence de création cinématographique. Puis il poursuit ses études à Paris où il obtient une Maîtrise d'Animation Culturelle et Sociale à l'Université de la Sorbonne. Il est également diplômé de l'Ecole Internationale d'Anthropologie de Paris et titulaire d'un Diplôme d'Études Approfondies de Cinéma obtenu à l'Université Paris 8 Saint-Denis.