Décidemment le gouvernement de Wade est celui qui a le plus defavorisé le département de Bakel.

A chaque découpage admnistratif, Bakel mord la poussière.

Les populations retenaient leur souffle  depuis l'annonce d'un éventuel découpage pensant que leur département allait être érigé finalement en région. En plus de n'être pas apparu dans les petits plans mesquins de Wade, ils ont plutôt assisté avec amertune à l'erection de Goudiry en département( ancien arrondissement de Bakel ).

Non seulement, Goudiry ( communauté rurale de Bakel ) fût coupée de Bakel parce que rattachée à Kédougou lors de l'erection de ce département en région mais voila qu'elle est devenue l'égale de Bakel sur le plan administratif.

Face à cette décision gouvernementale, c'est tout le departement de Bakel qui se trouve humilié. La marche du mois de Juillet n'aura rien servi. Wade est resté sourd et muet face au desarroi des populations bakéloises.

Sophie Diédhiou, une sénégalaise, mariée à un français, a été assassinée lundi dernier à Amsy à Lyon alors qu'elle était enceinte de 5 mois. Un acte qui aurait été commis avec préméditation par le beau-fils de la victime. L'affaire est entre les mains du Procureur de Lyon que le Consul général du Sénégal à Lyon, Cheikh Saadibou Diallo doit rencontrer mercredi dans le cadre de la gestion de ce dossier par la justice française.

S'exprimant sur les ondes de la Rfm, Cheikh Saadibou Diallo a révélé que Sophie Diédhiou, originaire de Pikine Tally Bou Bess, a "vraisemblement été tuée de façon intentionnelle avec une arme à feu". Le consul général du Sénégal à Lyon de révéler que le couple sénégalais-français n'avait « pas de problème particulier ». Ce qui lui aurait été confirmé par les communauté sénégalaise avec qui le mari de Sophie Diédhiou avait « les meilleures relations ».

Ponts, échangeurs, tunnels en voie d’achèvement ou d’embellissement, les Sénégalais se demandent encore quelle devrait être la prochaine étape des grands chantiers présidentiels. En choisissant de donner à la ville de Dakar ses lustres du passé (autoroute, ponts, passages souterrains, un premier tunnel et une autoroute à péage, depuis les indépendances, le président Abdoulaye Wade a mis sur marche son rêve pour la future grande capitale du Sénégal. Jusqu’où peut aller aujourd’hui le président de la République ?

La tentation du grand et du jamais vu en Afrique au sud du Sahara semblent être les principales raisons de vivre de Wade. Dès son arrivée au pouvoir, Wade a convaincu les Sénégalais, que Dakar et sa modernisation étaient un des soucis majeurs de son mandat. Il n’aura pas rêvé pour rien. L’homme a aussi réussi une grande prouesse, celle de s’être substitué par le cas de Dakar, aux maires élus, qui brillent aujourd’hui plus par leur manque de vision et par leur incapacité à impulser une véritable dynamique urbaine dans la ville. Maire de toutes les villes sénégalaises, le président de la République, semble vouloir ériger Dakar, en modèle de gestion de la cité pour les autres. Mais à quel prix ?

Jusqu'ici, le chef de l'Etat fait comme si de rien n'était… alors que la presse continue d'être matraquée et attaquée de façon continue et impunie par ceux qui incarnent l'Etat. Robert Ménard, secrétaire général de Reporters sans frontières (Rsf), a alors pris sa plume pour adresser une missive au Président Wade, pour lui demander d'intervenir en tant que «garant de l'Etat de droit et de la paix civile» avant que la situation n'atteigne un autre palier, après le saccage «inacceptable» des rédactions de 24 Heures Chrono et de L'AS. Dans cette lettre datée d'hier mardi, Rsf souhaite surtout attirer l'attention de Me Wade sur le bras de fer entre le ministre Farba Senghor et une partie de la presse, qui a «pris des proportions inquiétantes et pourrait avoir de graves conséquences, si rien n'est fait pour que le climat s'apaise».