Après l’affaire de détournement et l’arrestation de Serigne Guèye, président du comité de santé de l’hôpital Youssou Mbargane Diop, une autre affaire défraie la chronique dans cet établissement hospitalier de la ville de Rufisque. En effet, les gynécologues ont oublié dans le ventre d’une jeune fille du coton. Un mois après, la plaie s’est infectée alors qu’à la structure sanitaire, on continue de réclamer une forte somme à la victime.
Maty Ndome, 18 ans, célibataire, habitant le quartier Darou Salam 6, à Ben Barack (dans la banlieue dakaroise), n’oubliera pas de sitôt sa grossesse. Alors qu’elle était à terme, elle a été évacuée au centre de santé Mtoa pour y accoucher. Après consultation, la sage-femme qui s’attend à des complications, l’évacue au centre de santé Youssou Mbargane Diop de Rufisque

Dans les traditions africaines en général et mauritaniennes en particulier, la femme a toujours été considérée comme un être inférieur devant toujours obéir à l’autorité de l’homme. Dans les prises décisions familiales, tribales et communautaires, elle n’a jamais son mot à dire : elle devrait toujours se contenter de ce que les hommes décident. Jusqu'à ce jour, en République mauritanienne, nous ne constatons aucune amélioration positive (ou objective) pouvant laisser penser à une participation effective, réelle des femmes dans vie publique de la société mauritanienne. Or aucune société ne pourra valablement progresser si elle n’accorde pas à ses femmes une place on ne peut plus importante dans les affaires sociales et politiques.
C’est fait. Le mandat du président de l’Assemblée nationale au Sénégal passe de cinq à un an, ce qui amène le pays de la Teranga à faire figure d’exception sur le continent.
Tambacounda - Un Centre d’hébergement d’un coût de 130 millions de francs CFA mis en place par l’ONG Kinkéliba et destiné aux jeunes filles a été visité lundi à Tambacounda (Est) par le gouverneur de région Cheikh Tidiane Dieng en compagnie des autorités académiques, syndicales et d’autres partenaires de l’école.