Ici, le cas de Dakar, mais il ne faut pas oublier que nos villages Soninkés sont de plus en plus remplis de filles mères. Certaines le sont même à l'age de 14 ans. Elles font la cesarienne à cet age... Les unes meurent, les autres subissent une cesarienne. Les filles sont devenues des proies faciles.... Qui sont les responsables ? Les jeunes garçons bien sûr. Une éducation séxuelle est devenue necessaire dans nos contrées.
A Dakar, de plus en plus des mineures tombent enceintes. Elles sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus jeunes, ces enfants qui font des enfants. La plupart d’entre elles, n’ont pas dépassé, l’âge mineur. Plus de la moitié des adolescentes de moins de 18 ans décident souvent de garder l’enfant, et de nombreux jeunes papas acceptent d’assumer leurs responsabilités. Mais, ces jeunes ne savent pas ce qui les attend : quand les enfants font des enfants, c’est leur univers tout entier qui se retrouve bouleversé. Cela représente un véritable défi pour tout le monde. Les parents considèrent leur fils comme un adolescent sérieux et appliqué. C’est la raison pour laquelle la nouvelle de la paternité précoce reste, pour eux, un véritable choc. Dans les populeux quartiers de Grand Yoff, Médina, Fass, Grand Médina et de Khar Yalla, l’univers est cauchemardesque. Comme si les filles rivalisaient d’ardeur pour faire des enfants, sans se soucier de leur santé et de leur lendemain. Dans ces quartiers dits « chine populaire », la nuit, les activités sont grises.

La Mauritanie appelle la communauté internationale à "soutenir" ses efforts dans la lutte contre l'immigration clandestine et a mis en place une commission de surveillance de ses frontières, rapporte samedi l'Agence mauritanienne d'information (AMI, publique).
La Ligue démocratique/Mouvement pour le parti du travail (Ld/Mpt) exhorte, dans un communiqué en date du 15 octobre, les partis du Front Siggil Senegaal et tous les patriotes à engager des actions d’envergure à travers le pays pour mettre fin au régime du Président Wade qualifié de « régime de prédateurs insensibles aux souffrances du peuple ».
Faut pas rêver." C’est le titre d’une émission diffusée sur une chaîne de télévision française. Cela pourrait épouser la situation politique actuelle en Mauritanie, où certains se prennent à rêver que le président démocratiquement élu Sidi Ould Cheikh Abdallahi, renversé le 6 août dernier, réintégrera ses fonctions de chef d’Etat de la Mauritanie.