Depuis quelques jours, on assiste, à Bakel, à un changement de climat. Une situation qui, d’ailleurs, n’est pas sans affecter la santé des populations du Gadiaga.
En ce début du mois de novembre, on assiste, à Bakel, à une recrudescence des vents de sable. Ceci au grand dam des paisibles populations qui, à cet effet, ne savent plus par où donner de la tête. Interrogé sur ce changement climatique, le chef du service départemental de la météorologie, Moussa Sy, soutient que cela est tout à fait normal. Car, indique-t-il, on tend vers la période de froid. C’est-à-dire la période qui va couvrir les mois de novembre à février. Ainsi, poursuit-il, on quitte l’humidité hivernale vers les vents moins humides.

Le ministre mauritanien de l'intérieur, Yall Zakaria Alassane, a renouvelé l'engagement de son pays à "respecter ses obligations conventionnelles, notamment à réunir les conditions nécessaires au retour des réfugiés ainsi qu'à assurer leur réinsertion dans la communauté nationale". M. Alassane s'exprimait lundi à Nouakchott, lors de la cérémonie de signature d'un accord tripartite entre la Mauritanie, le Sénégal et le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (Hcr), pour le rapatriement volontaire des réfugiés mauritaniens au Sénégal. Il a toutefois reconnu que le rapatriement des réfugiés a longtemps posé problème en raison de ses incidences politiques, sociales et économiques ainsi que de l'ampleur de l'opération et des incertitudes qu'elle fait naître. Ces incertitudes, a-t-il précisé, "rendent sceptiques tous ceux qui n'ont pas pu mesurer à quel degré le président de la république est décidé à rétablir la justice, à instaurer des relations confiantes entre tous les Mauritaniens et à œuvrer en faveur d'un développement harmonieux de notre pays".
"De Radio Mauritanie à Fréquence Paris Plurielle, le parcours d'une journaliste au service de sa communaute (Nouvelles éditions de la francographie, 2007)" est un livre écrit par N'diaye Sylla qui relate son parcours de journaliste engagée pour sa communauté.
Eloquent, doté d'une voix radiophonique, l'homme fait aujourd'hui les beaux jours de la maison de la radiodiffusion télévision de Bozola. Puisqu'il faut l'appeler par son nom, il s'agit de Lamine Sissoko, surnommé Chaîne II Lamine, à cause de la chanson du célèbre chanteur du Wassoulou Yoro Diallo. L'homme, en l'espace d'une décennie, s'est imposé au cœur de Radio Mali, plus précisément sur la Chaîne II, comme un grand baobab, via l'émission Gwa Kunda qui réunit le trio des coépouses Fima, Djéma et leur mari Sissoko.