Entre le 10 et le 23 novembre 2007, se sont déroulées les journées du Sénégal en Isère, dans le cadre de la semaine de la solidarité internationale.
Organisées conjointement par le Conseil Général de l’Isère à Grenoble et la Région de Tambacounda, en collaboration avec une quinzaine d’acteurs associatifs et éducatifs, ces journées avaient pour but d’accentuer le partenariat, établi depuis 1999, entre le Département de l’Isère et cette région du Sénégal. Parce que les inégalités nord-sud persistent en dépit des nombreuses politiques internationales de développement, ils se sont associés dans la réalisation d’un programme d’actions portant sur le tourisme, l’éducation, l’agriculture, la culture, la santé, la promotion des femmes, l’environnement et l’appui à la collectivité partenaire. « A travers la coopération Isère-Tambacouda et au-delà, il s’agit de s’interroger sur la place de l’école dans nos sociétés et sur notre mode de développement, de favoriser les échanges entre acteurs de la coopération « Nord-Sud », ainsi que la sensibilisation des Isérois aux problèmes de développement », déclare Demba Fall, membre de l’Association des Etudiants et Stagiaires Sénégalais de Grenoble (A.E.S.SG.)

Le mardi 14 novembre à 20h, débutait dans les gares françaises (Paris intra muros plus qu’ailleurs), l’une des grèves les plus longues et les plus dures de ces dix dernières années. La grève des cheminots. Dans la capitale française, deux évènements marquaient le paysage : les fils kilométriques des voitures prises dans des embouteillages monstres aux portes des grands axes routiers et les quais de stations de métros et de gares SNCF noirs de monde. Ces deux scénarios sont les résultantes d’un conflit qui oppose d’un côté, un gouvernement qui s’apprête à mettre en pratique l’une de ses promesse majeures de la campagne électorale précédente, la réforme des régimes spéciaux et de l’autre, la coordination des syndicats de cheminots rechignant de voir disparaître quarante ans de « privilèges » (soyons prudents) acquis à la suite de longs et pénibles combats.
Le gouvernement mauritanien a lancé mardi une nouvelle radio publique axée sur "des programmes de proximité" qui doit couvrir une vingtaine de grandes villes du pays en étant diffusée sur les ondes FM, a indiqué le ministre mauritanien de la Culture et de la Communication.
Notre continent dispose d’immenses ressources naturelles encore inexploitées et dont la mise en œuvre requiert peu d’investissements