Fenda tu as tout dis. Effectivement si quelques femmes soninkés n'arrivent pas à s'occuper de leurs maris ça ne veut pas dire que toutes les femmes soninkés sont comme ça.
La différence (c'est mon avis mais peut être que je me trompe) c'est que la femme soninké séduit son mari mais uniquement dans l'intimité. Les femmes soninkés sont sans doute un peu plus pudique mais pudique ne veut pas dire qu'elle n'arrivent pas à séduire leur mari une fois qu'ils sont que tous les deux.
En plus les conseils qui ont dèja été donné (comment accueillir son mari, se parfumer, faire la cuisine, le ménage ...) même si c'est des choses que je n'ai jamais mis en pratique parce que je ne suis pas encore mariée, tout ça je connaissais déja ... pourtant je suis soninké.
Mais bon passons ce sujet. Habibatou tu avais posé une question à laquelle personne n'a répondu et ça serait bien que chacune donne ses conseils sur ça.
Comment constituer un bon trousseau de mariage ?
Doucement les femme wolof aussi comme je l'ai connaissent si bien séduise leurs mari en intimité
Mais a chacune ces manière de faire aussi
les conseilles thiouraye parfum acceuillire bien sont mari c'est facile tout le monde sait ça mais c'est la capacité de la faire a n'importe quel moment aussi.
le mariage est comme le jours et la nuit il y'a des haut es des bas ça demande aussi beaucoup de courage .
pour moi ce n'est pas ces trucs la que tu gagnera l'estime et l'amour de ton mari .
c'est le courage l'obéissance et l'entente voilà c'est plus fort que dial dialy
je vous laisse completer les filles![]()
Il ne faut pas mettre du vinaigre dans ces ecrits,il faut y mettre du sel
montesqieu
Wolofo ou pas, toutes femmes africaine, doit en + de tous ce qui est tralala, ménage, mettre etc... mettre un peux te piquant dans son couple, quand le couple s' entend super bien, il est bien de temps en temps de changer de disque, le surprendre je veux dire...et c' est valable des deux côtés, ententu messieurs
JAMAKSALAM...
ma famata traore dionsandigui triramakha mouké moussa ni mouké dantouma mouri iban triramakha te ba marafayi ba triramakha te ba triramakha banialosounsarédion moni khatidio
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
http://www.hisnulmuslim.com/index-pa...6-lang-fr.html
Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
loool
Ce que j'avais mis est un hadith pas un verset de coran dé lol
Mais bon il y a telement de hadith sur les femmes...
En voilà un autre:
‘Aisha Qu'Allah l'agrée rapporte :
« Onze femmes réunies ensemble promirent et s’engagèrent à ne rien cacher de l’état de leurs maris.
La première dit ainsi : Mon mari est une viande de chameau décharné, au sommet d’une montagne escarpée, ni facile pour être surmonté, ni gras pour être pris et échangé.
Mon mari, dit la deuxième, je n’oserai parler de lui, car j crains de ne point m’interrompre. Si j’en parlais, je ne citerais que ses défauts apparents et cachés.
Le mien dit, dit la troisième, est seulement escogriffe. Si je parle, il me répudie, si je me tais, il m’oublie.
La quatrième quant à elle, dit : Mon époux est comme une nuit de Tihâma (région de La Mecque) : ni trop chaud, ni top froid. Avec lui, ni crainte, ni lassitude.
Le mien dit la cinquième, lorsqu’il rentre chez lui, dort comme un guépard (i.e il ferme les yeux sur ce qui se passe dans le foyer et se montre doux avec elle) et lorsqu’il sort est brave comme le lion. Il ne demande point compte de ce qu’il voit dans sa maison.
Mon mari dit la sixième, quand il mange, rafle tout et quand il boit, vide tout. S’il s’allonge, il s’enroule dans sa couverture. Sous la mienne, il n’entre pas sa main pour connaitre mon chagrin.
La septième dit : Mon époux est impuissant ou irrésolu, lourdaud, tout défaut existant est aussi le sien. Il t’entaille le visage ou te querelle, ou te cause tout cela en même temps.
Le mien, dit la huitième, a le toucher (délicat) du lapin et l’odeur parfumée du safran.
Mon mari, dit la neuvième, a le pilier de sa maison élevé (sociabilité et générosité), et bien long est son baudrier (grand est son courage). La cendre est considérable dans son foyer (son hospitalité est grande) et sa maison voisine l’assemblée (conseil ou se réunissent les notables).
La dixième affirma : -Mon mari c’est Mâlik. Que peut-on dire assez de Mâlik ! Bien mieux que tout cela ! Nombreux sont ses chameaux qui font halte et peu parmi eux se déplacent. Lorsqu’ils entendent le son du luth, ils savent que leur fin arrive
Mon mari, dit enfin la onzième, c’est Abu-Zar’. Quel grand homme qu’Abu-Zar’ ! Il a chargé mes oreilles de bijoux, a engraissé mes bras, m’a remplie de joie, et mon âme fut ravie. Il m’a trouvée parmi les miens et leurs quelques moutons, au flanc d’une montagne et m’a conduite parmi les siens, là ou l’on entend les hennissements des chevaux et le bruit des chameaux, ou l’on voit qui bat le blé où tamise le grain.
Quand je parle auprès de lui, je ne suis guère insultée. Je dors jusqu’au matin et dois à satiété. La mère d’Abou-Zar’ ! Pourrait-on assez la décrire ! Ses marmites sont chargées et sa maison, spacieuse. Et quel fils est le fils d’Abu-Zar’ ! Son lit est (mince) comme la tige d’une palme brandie. L’épaule d’une chevrette le rassasie.
Et la fille d’Abu-Zar’ ! Obéissante à ses père et mère, elle remplit son vêtement de son corps et rend jalouse sa coépouse.
Quelle servant que la servante d’Abu-Zar’ ! Elle ne divulgue pas nos propos, ne dilapide pas nos provisions et n’accumule point les balayures dans notre maison.
Puis (Oum-Zar’) ajouta : Abu-Zar’ sortit alors qu’on battait les outres à lait (pour faire du beurre) et rencontra une femme avec deux enfants tels deux guépards, qui jouaient sous ses hanches avec deux grenades. Il se sépara de moi et l’épousa.
Je me mariais ensuite avec un homme parmi les nobles. Il monta à cheval fringant, porta une lance de Khat (région de Bahreïn) et s’en revint les soir en m’offrant deux bêtes de chaque bétail.
Il me dit alors :
-Tu peux en manger Oum-Zar’, et en donner à ta famille !
Or, si je pouvais rassembler tout ce qu’il m’a donné, cela ne pourrait atteindre le plus petit récipient d’Abu-Zar’.
‘Aisha, radhiaAllahu ‘anha ajouta : « Le Messager d’Allah me dit alors :
-Je suis pour toi comme Abu-Zar’ pour Oum-Zar’ ! »
[At-Tirmidhi]
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
http://www.hisnulmuslim.com/index-pa...6-lang-fr.html
Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]