Un sujet d'actualité, tant nombreuses sont les femmes qui souffrent des abus des hommes mal intentionnés.
Un sujet d'actualité, tant nombreuses sont les femmes qui souffrent des abus des hommes mal intentionnés.
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Chez nous, il y'a une phrase que l'on entend souvent et qui veut tout dire, selon moi.
Qui n'a jamais entendu des phrases du style: " mougnou ni yakharé n'xallé niayi" ou, " in gana nia yakharé, in mougnini a ."
Désolée, les phrases ne sont pas bien retranscrites, mais on comprend l'idée selon laquelle la souffrance, le fait de supporter sont le lot de toute femme.
Toujours dans la même idée, lors de conflits conjugaux, on demande toujours de supporter, en disant que ça finira par s'arranger.
Je le comprends tout à fait. On va plutôt encourager la personne à sauver son couple plutôt qu'à le briser MAIS, si faire preuve de patience et respect envers l'autre est une bonne chose, cela ne signifie pas qu'il faille tout accepter, tout supporter en se taisant. Il y'a des limites à tout.
Que l'on dise ça, une, fois, deux fois, trois fois, très bien. Mais à un moment, il faut reconnaitre que le problème est réel.
Chaque situation est différente, certes, mais il faut prendre garde à ne pas trop prendre à la légère des situations qui parfois peuvent mener au drame.
Il suffit que le sheytan passe par là, prenne des proportions inimaginables.
Le spectre de Eve, responsable du péché originel est présent encore aujourd'hui dans les esprits ( de façon consciente ou non). La femme est souvent considérée comme responsable dans de multiples situations. Si tu te plainds que ton mari t'a frappé, on te demandera d'abord : " mais qu'as-tu fais pour l'énerver?". LOL
Je trouves ça fou!
p.s: eeeuuuuh, je ne sais pas si mon post concerne plus ce sujet ou celui sur le divorce...Je suis peut-être hors sujet !
"Tudo, tudo rémé nigna, tudo xa do ité n'ti bana dé !"