Oui, tu as totalement raison. Mais c'est purement une convention sociale soninkée, entre autres peut-être. Selon les règles sociales soninkées, il revient toujours à l'homme de prénommer les enfants de deux premières naissances, la femme, quant à elle, n'a droit qu'à la troisième naissance. Mais je tiens à dire que ce n'est pas une règle immuable, sacro-sainte. Cela peut se négocier dans le couple. Je connais des couples, l'entente aidant, qui ont dérogé sans aucun problème à cette règle sociale. Quoi qu'il en soit, il ne s'agit pas, par cette tradition, d'une règle religieuse. Bien à toi.