Fodyé,
Je suis tout d'accord avec ton analyse. Pour étayer ce raisonnement, j'ajouterai que nos ainés, bien que bien intentionnés à la base, ont été suivis par les générations qui ont suivi de façon avenugles quant aux rapports avec le village d'origine. C'est à dire que nous avons continué à les assister comme il y'a 50 ans au début de la migration. Dans le bien des 2 cotés ( ici et la bàs), on doit mettre en place des structures leur permettant de se prendre en charge au lieu de maintenir ce rapport de dépendance vis à vis des émigrés. Comme exemple, tu parles des commerçants: c'est vrai que n'importe quel individu étranger au milieu soninké peut y réussir: commerçant, bana-bana, travailleur saisonnier, maçon, la liste est longue. Le soninké venant de France entre autres, une fois au pays se fait passer pour un ROI: il ne discute pas prix, il paie sans calcul. Nos frères ou fils n'acceptent jamais d'effectuer les travaux accomplis par les étrangers, aolrs que ces derniers sont rénumérés par les parents qui vievnt dans des conditions déplorables en Europe ou ailleurs à l'aventure.
Comment faire faire pour nous sortir de cette situation?
Makalou a exposé le volet santé ou prévoyance, c'est une des issues. Mais, est-on capables de se soritir de là sans l'aide de nos politiques?
Que faut-il mettre en place comme structure afin qu'ils soient affranchis, parce que moi je considère qu'ils sont esclaves d'un système pour en pas dire esclaves tout court.
Comme tu dis, le ywwa wugniye doit émaner de nous, déjà pour notre bien à nous et aussi pour eux. C'est à nous de cesser de se prendre poru ce qu'on n'est pas. Et après on pourra entreprendre des projets sérieux visant à assainir notre milieu.
Merci


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