Coin des hayiranko, gajaaganko et autres cousins à plaisanteries !

[Fodyé Cissé]

Vous savez bien que vous ne faites pas le poids devant moi, le haïranké. Jamais un gajaaganké n'a réussit à me battre dans quelques domaines que ce soit, sauf, bien sûr, dans vos 2 domaines de prédilection que vous connaissez bien !

Alors, L.B., même si Papisko n'intervient pas, tout seul, je vous tiendrai tête.

Cheikhna, un jour, un gajaaganké avait perdu son téléphone portable. Il l'avait laissé quelque part, mais, il ne se souvenait plus où. Il décide alors d'emprunter le téléphone de son frère et a sorti son carnet où il note les noms et numéros de téléphone de tous ses contacts. Il a son téléphone portable, mais, il note toujours les noms et numéros de téléphone de ses contacts dans son carnet, au cas où il perdrait son téléphone . Remarque, c'est pas bête.
Donc, il commence à appeler avec le téléphone de son frère. Il appelle le 1er Gaj, il lui demande s'il n'a pas vu son téléphone, le gaj lui répond : non. Il appelle le second gaj, pareil, lui aussi ne sait pas où se trouve le téléphone de son ami. C'est là qu'il s'est dit, ah, tiens, je vais appeler mon ami haïranké. Il appelle l'ami haïranké. Celui-là aussi lui dit : Non, j'ai pas vu ton téléphone...mais, est-ce que tu connais ton numéro ?
- Le gaj : Oui, je connais mon numéro
- Le haïranké : Bah alors, pourquoi tu n'appelles pas ton propre numéro pour voir si ça sonne
- Le gaj : ....(un moment de silence puis)... Ah oui, c'est vrai loll

C'est ainsi que le gaj a raccroché, puis a rappelé son propre numéro, avant d'entendre son téléphone sonner dans sa sacoche !

Et là, il appelle le haïranké et lui dit : Merci, mon frère, toi, tu es vraiment intelligent !

Jeu de jambes, yes papa, ça c'est pour vous!

[makalou]

Vous savez bien que vous ne faites pas le poids devant moi, le haïranké. Jamais un gajaaganké n'a réussit à me battre dans quelques domaines que ce soit, sauf, bien sûr, dans vos 2 domaines de prédilection que vous connaissez bien !

Alors, L.B., même si Papisko n'intervient pas, tout seul, je vous tiendrai tête.

Cheikhna, un jour, un gajaaganké avait perdu son téléphone portable. Il l'avait laissé quelque part, mais, il ne se souvenait plus où. Il décide alors d'emprunter le téléphone de son frère et a sorti son carnet où il note les noms et numéros de téléphone de tous ses contacts. Il a son téléphone portable, mais, il note toujours les noms et numéros de téléphone de ses contacts dans son carnet, au cas où il perdrait son téléphone . Remarque, c'est pas bête.
Donc, il commence à appeler avec le téléphone de son frère. Il appelle le 1er Gaj, il lui demande s'il n'a pas vu son téléphone, le gaj lui répond : non. Il appelle le second gaj, pareil, lui aussi ne sait pas où se trouve le téléphone de son ami. C'est là qu'il s'est dit, ah, tiens, je vais appeler mon ami haïranké. Il appelle l'ami haïranké. Celui-là aussi lui dit : Non, j'ai pas vu ton téléphone...mais, est-ce que tu connais ton numéro ?
- Le gaj : Oui, je connais mon numéro
- Le haïranké : Bah alors, pourquoi tu n'appelles pas ton propre numéro pour voir si ça sonne
- Le gaj : ....(un moment de silence puis)... Ah oui, c'est vrai loll

C'est ainsi que le gaj a raccroché, puis a rappelé son propre numéro, avant d'entendre son téléphone sonner dans sa sacoche !

Et là, il appelle le haïranké et lui dit : Merci, mon frère, toi, tu es vraiment intelligent !

Jeu de jambes, yes papa, ça c'est pour vous!

Salam,

Sisi tu le merites ton jeu de jambes.Tu nous a mis 1-0.
Il est bète dé, j en suis sur que c'est un demi-Gajaganké. C'est pas un pur sang.

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Vous allez vous entretuer ici dé. Je vois que la troisième guerre mondiale ne tardera arriver. En tout cas, vous avez quartier libre de vous attaquer à souhait.

[Fodyé Cissé]

Salam,

Sisi tu le merites ton jeu de jambes.Tu nous a mis 1-0.
Il est bète dé, j en suis sur que c'est un demi-Gajaganké. C'est pas un pur sang.

Un jour de septembre 1997, je prenais l'avion à Dakar pour rentrer à Paris. Je vois un jeune villageois blédard gajaaganké qui partait pour la première fois en France. Quand ses parents ont su que j'étais soninké de Waoundé, ils me l'ont confié, car, le gars n'avait jamais pris l'avion. Son grand-frère devait l'accueillir à CDG. Je me suis arrangé pour avoir 2 billets côte à côte avec lui.
Quand on est monté dans l'avion, le gars a pris direct le masque de sommeil que les gens mettent sur les yeux pour dormir, et il l'a mis sur le nez et la bouche. Et il me regardait bizarrement, on dirait un chirurgien . J'ai pu contenir mon rire, mais, j'ai rien dit. Quand l'avion a décollé, l'hôtesse de l'air lui demande : 'monsieur, vous êtes malade ?'. Il répond : "Non, ché pas malade" et se retourne et me regarde.

Lorsque les gens ont commencé à dormir et qu'il a vu qu'ils mettaient ça sur les yeux, alors, il l'a enlevé doucement, puis l'a remis sur les yeux

Jeu de jambes, yes papa, ça c'est pour vous!

2-0 !

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Un jour de septembre 1997, je prenais l'avion à Dakar pour rentrer à Paris. Je vois un jeune villageois blédard gajaaganké qui partait pour la première fois en France. Quand ses parents ont su que j'étais soninké de Waoundé, ils me l'ont confié, car, le gars n'avait jamais pris l'avion. Son grand-frère devait l'accueillir à CDG. Je me suis arrangé pour avoir 2 billets côte à côte avec lui.
Quand on est monté dans l'avion, le gars a pris direct le masque de sommeil que les gens mettent sur les yeux pour dormir, et il l'a mis sur le nez et la bouche. Et il me regardait bizarrement, on dirait un chirurgien . J'ai pu contenir mon rire, mais, j'ai rien dit. Quand l'avion a décollé, l'hôtesse de l'air lui demande : 'monsieur, vous êtes malade ?'. Il répond : "Non, ché pas malade" et se retourne et me regarde.

Lorsque les gens ont commencé à dormir et qu'il a vu qu'ils mettaient ça sur les yeux, alors, il l'a enlevé doucement, puis l'a remis sur les yeux

Jeu de jambes, yes papa, ça c'est pour vous!

2-0 !

Fodyé, tu es en train de tuer tes cousins dé. Je t'avais entendu dire la même histoire à la radio de l'A.P.S. Dis-donc, Lass, Marirenme, Makalou, Bakéloise vous êtes où? Le hayiranké vous tue grave depuis ce matin dé.

[makalou]

Salam

Certes tu a pris de l'avance mais tu saisque je suis en manque de net car je viens de demenager...

Un jour, à Dakar quartier Grand yoff, je suis partivoir un ami qui avait un télécentre.
Pendant que l'on faisaitdu thé, une dame arriva.Elle s'apellait Fatouma Cissé.
On lui composa son numero...C'était aux Etats unis. Elle est tombé sur un repondeurquiparlait anglais...Alorson entendit la dame dire...

Eh " Yougoké makhi xalissi bonondi... ni lémé Fodyé nia xili".
Elle continuait à parler face au répondeur :
Eh " Batara léma khou wara ani lémé kini nia téléfoni "...
" Ndi tanja moukou nia khayi a da, matou ma da wari...."
ELle insistai...
" Ma yanpa kou toubabou ni makha dé i ndi xalissi bonondi , nta tou ma fodyé di Tanja mokou ké kita...
J'ai dit amon ami,y a un probleme ...atends je vais aider cette maman Hayranké.
Je lui demanda de me passer le téléphone et avec stupefaction, c'était le repondeur...
Elle dit " boné khéni khono nia dé xalissi bono"...
Tout ça , çapasse...
Je refais le numero...
La chere dame parla avec son fils Fodyé... En finissant elle dit :
" Eh Fodyé na yakho nsirou koymé... an kité koy kounia"...
on était mort de rire.

Traduction:
L'histoire d'une maman Hayranké qui est tombé sur un repondeur a cru que c'est quelq'un qui se foutais de sa gueule.
Elle lui dit " O toi l'homme la,j'ai besoin de mon fils Fodyé.Il est laba ?
Comme le repondeur continuait son blabla, elle dit:
Oh " imbecile, passe moi mon fils,je lui envoyé du " Tanjamoukou " je sais pas si c'est réçu.
Finalemen on prit le téléphone pour recomposer lenumero.
Par chance,elleaeu son fils Fodyé des USA.
Ils ont parlé pendant desheures:
Au moment de finir:
La dame dit : " Oh mon fils, ça fait un bail, que Dieu fasse qu'on se revoie bientot,
Bon donne moi ta main alors... Donne ta main fou que tu es... Bon je suis fatigué , je reprends ma main....

Jeu de mains, yessss Maman ça fait payant

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Là chauffe dé ! Fodyé, le gars est venu en force dé! Moi, je ne suis qu'arbitre entre vous.

[makalou]

Salam!!!

Un jour de Mars 1996,à Pikine Dakar, on avait un voisin Hayranké...
Il s'appelait Moussa ,il venait toujours de debarquer de son Hayré Natal . C'est la première fois que mon cher ami sortait de son village.
A peine arrivé, on l'initié à nos activités. On regardait que des films de Karaté.
Tous lesjours, le Hay. venait regarder du KARATE.Il était devenu accro.
Mais grave encore, il croyait que les actions des films etaient vraies.
Les sauts, les coup de têtes....
Un jour, le Hayranké n'a rien trouver à faire que d'exercer cette passion du KARATE que les Gajagankés l'ont fait voir.
Il monta les escaliers de la maison en discrétion. On prenait du thé.
Et d'un coup on entendait des cris de " YA" " Ya" Ya"....
Il fait un saut dans l'espace, croyant qu'il allait faire comme les chinois des films Karaté. Voyant que la pesanteur lui a joué des tours. Le "Ya " s'est transformé en " Way may Koy"...
Pauvre hayranké, il a attéri à l'hopital avec un bras et unejambe cassée. Quant on allait lui rendre visite,on pouvait pas se retenir.Il disait: " Xadin ngoto ya...nia sima na sobé niani". Quel interlligent ce HAy.

[soukey]

ça me fait rire tout ça

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Un vieux sujet