Citation Posté par Cheikhna Mouhamed WAGUE Voir le message
Bonjour,

Dans la société soninkée dite « traditionnelle », un individu appartenant au groupe social hoore ne devait pas quémander (ñaagene) qui que ce soit, même en cas d’extrême indigence. Cet acte était considéré comme rabaissant et vil pour lui. Même quand il était le plus pauvre des pauvres, il s’abstenait, par fierté, de demander les services matériels de quelqu’un, fût-il son parent proche. Il faisait tout pour garder sa dignité et pour ne pas risquer la honte (yaagu). Il montrait toujours une image améliorée de lui-même. Le ñaagaye (le fait de quémander) était plutôt l’apanage des komo et des ñaxamalo. Il y a incontestablement encore des gens dans la catégorie sociale des hooro qui restent profondément attachés à cet état d'esprit. Mais force est toutefois de noter qu'avec la multiplication des besoins matériels et ce que j'appelle des rapports marchands, nombreux sont également les hooro qui n’hésitent plus à quémander au même titre que les autres groupes sociaux. Alors discutons de ces mutations comportementales dans le monde soninké. Bien à tout le monde.
mr je ne dit pas le contraire de ce que vous avez dit parceque vous avez dit la vérité.a savoir que tout le monde a changé de mentalité ils y a beaucoup de prétexte pour demande d'aide moi je le dit comme ça mais c'est pareil comme une personne qui quemade.exemple je suis malade ou ma femme va accouché ,j'ai pas de nourriture tant d'autre moyen pour arrivé a leurs fin hors que les professionels qui ont tout et que c'est leurs métiers ils n'ont pas besoin de raconté leurs vie mais celui de toi meme pour que tu leurs donnent. ce ne pas honnete de demande tout le tempt et a tout le monde meme si tu est mieu que eux ,ce que je peut dire les gent n'ont plus honte .quémader c'est pas aussi facile quant je vois les mendiants dans les transport a raconté des histoires je me dit qu'il faut chercher du boulot.pour la fin je dit la main qui donne est mieu que c'elle qui reçoive