On a l'habitude avec Diouf et compagnie. Chaque fois ce sont les mêmes histoires. ils s'amusent bien et oublient que tout ce qui se passe là bas est relaté par la presse. de toute façon, moi je n'espère pas grand chose de leur prochain match.
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ça va ça va >:(
Et dis donc l'autre mauritanien de Badem là au moins nous on a eu le privilége d'aller fouler la pelouse Ghanénne et vous vous en êtes ou surement en botte sur le sable chaud.
Bon quand au Mali là non vraiment cha pas la peine en même temps c'est contre la Cote d'Ivoire donc ça va encore contrairement à certaine nation s'étant fait allumer par des angolais qui joue sur Paris autour du périph :p.
ça va Mariremme je vois que tu es réapparus la période de deuil est donc passée il paraît que tu as perdu 5 kilos :o en tous cas encore une fois je te présente toute mes condoléances.
Au faite au passage le Sénégal à gagner combien de match depuis le début de la compétition dèjà ;D j'ai un trou de mémoire.
Tchooo
Eh les frères et soeurs maliens réagissons, ne laissons pas Makalou et Badem, nous malmener de la sorte.
Koron su na Tribal Cams n'dema. Le pauvre seul contre tous, aidons le !
Alors comme ça vous nous prenez nous les Aigles pour des poussins ?
Les aigles tels un phoenix peuvent renaître de leurs cendres. ;D
Lions de la Téranga n'ont qu'à aller se cacher, ils ne rugissent plus, ils miaulent. ;D Des moussinés ! ;D Miaou !
Jade suirgit tel la mère voulant défendre son petit, tel la poule voulant défendre son poussin!!!
Dommage pour le Mali!! Mais tout comme le Sénégal, il y a eux une erreur de casting!!
1) Le choix de l'entraineur : Ce sont des entraineurs de seconde zone qui ne peuvent meme pas diriger une équipe de Ligue 2!!
2) Le choix des joueurs : Surtout pour le sénégal, se baser sur les joueurs de 2002 était une folie!!!!!Contrairement au Mali qui peut s'appuyer sur une bonne génération de joeurs, il y aura coté sénégalais un grand travail de reconstruction.
C'est marrant d'habitude on dit que les absents ont toujours tord mais c'est tout de même marrant de constater à qu'elle point moussié Badem l'a raméne j'ai a nouveau repris mes lounettou + tes lounettou plus loupe et consulter toute les poules de la CAN mais je n'ai trouvé aucune traces des "gens du désert" ;D
Il doit certainement y avoir une explication :rolleyes:
Tchooo
Quelle place dans l'avion.
Moi je suis citoyen de la république de Gajaaga depuis Dimanche.
Notre emblème c'est le serpent... Moi je suis devenu Serpent de Gajaaga et non brebis du Sénégal. Tu prends l'avion avec Fodyé et Cie parce que moi je suis dans la compétition de " Desert Soccer!!!!!! "
Dans le desert Soccer il n y a pas de place aux poussins car un serpent de Gajaga comme moi ne clignerait pas les sourcils pour en avaler par dizaine.
Gare à toi si jamais tu oses participer dans le DESERT SOCCER.
D'ailleurs Jade et toi + Cie ne devaient - ils pas faire des tests ADN pour jauger vos aptitudes Sonkinkées a entrer dans la république de Gajaga..
Il y a Mariremme qui te cherche pour te faire passer les tests.
Qu'est ce que t'appelles une victoire?
Un petit but marqué sur pénalty contre une équipe du Bénin ;D ? 1 pénalty, même moi, je pourrai marquer contre le gardien du Bénin recruté sur Internet.
Je trouve que l'arbitre avait été très généreux lollll !
Mais, c'est le seul but que vous avez marqué à la CAN (sur pénalty ;D).
Contre le Nigéria; vous avez fait 0 à 0, contre la Côte d'Ivoire, ;D !
Alors que les sénégalais, au moins, ont marqué des buts sur des actions bien construites. Et puis, il leur reste encore des chances dans cette CAN!
Peut être en tous cas on compte une victoire mais ou est donc LA victoire des lions :confused: ;D il ne suffit pas de marquer et de s'en prendre autaut oupccch que dis je s'en prendre plus lol faut tu sais dans les vestiaire faire hip hip hip hourra au moins une fois pas un bond de 3 métres lorsque vous marquez et se cacher sous son sali goudjia quand on s'en prends 3 dérriére ;D.
allé il vous reste un match sortait les dents de lait les lions :rolleyes:.
Pour rugir de plaisir au moins une fois.
Tchooo
Salam
Entre les brebis de la téranga et les poussins du Mali: Le Serpent de Gajaaga ( neutre ) va trancher...
Apres délibération , le brebis du Sénégal a gagné car :
Même s'il a pris des buts, il en a marqué aussi et jamais sur pénalty or le seul but marqué par les poussins du Mali était face au Bénin ( Joueurs recrutés sur le Net). Pire, le gardien contre qui le poussin Frederic Kanouté a marqué est le gardien de l'Amicale des Etudiants Béninois au Sénégal. Je vous assure, c'est vrai.
Face à ce gardien, même Guessere, Maryama, Jade ou Fatoulabiné auraient pu marqué.
A bora Malila, c'est fini wooo A bora malila...
A bora mi: Foy ... Hahaha
En tous cas le Mali a gagné contre les recrues Benninoise du net qu'en est il des joueurs Sénégalais qui on mordu le sable (oupch Badem pardon) la poussiére contre les Angolais tout droit venu du village qui joué en sandalettes.
Donc je serais toi le vers de terre j'irais me térrer bien au fond de mon trou dans les terres des souxougna du Gadjaga ;D.
Tchooo
Salam!!!
Tu es sur qu'il joue avec des sandales... Hummm Je te signales que l'Angola , même meurtri par Jonas Sabimbi était terre d'accueil de plusieurs maliens et sénégalais en quête de lendemain meilleur.
Juste pour de dire que ces joueurs angolais sont aussi pro que sénégalais et maliens.
Mais je crois pas que le béninois le sont. La preuve l'angola accueille la CAN 2010.Ils jouent la plupart au Portugal. Tu connais le football lisophone qu'â meme, c'est pas des joeurs recrutés que le net. rien à voir avec le Bénin.
C'est pas grave... Meme si tu n'as pu marqué qu'un seul but , ecnore sur pénalty face au gardien de l'amicale des etudiants béninois du Sénégal, tu as eu le merite d'être poussin.
je dirai à Badem de t'entériner ce surnom... hahahahaha
A bora mali la, Abora mali la ::: A sou garé hahahaahaha
Souré ndo bouta khayé...
Un "lion" métamorphosé en verre de terre qui fait l'éloge de ceux qui sont la cause du sénégal qui brule c'est ça qui est bien sur ce forum on voit vraiment de tout ;D;D;D.
en tous cas tu peux te tortiller l'esprit sur ton tchéb do banana pour le moment tu ne m'a toujours pas parlé de la victoire sur 3 matchs :rolleyes: des "chatons" oupch pardon des "roudous" du Gadjaga.
Tchooo
Attention... But de Didier Drogba...
Attention... But de Marc Zoro....
Attention... But de El maestro...
Attention Obi Mikel... But de Yakubu Ayegbeni...
Et les poussins sont éliminés de la CAN 2008.
Retour prévu le lendemain à Bamako... Capitale du Souré... Hahahahahaa
Salam
Encore les brebis de Fodyé...
Apres Avoir DecouchÉ En Plein Regroupement A Quelques Heures D’un Match DÉcisif El Hadj Diouf, Ousmane Ndoye Et Tony Silva Retrouvés Saouls Dans Un Bar à Koumasi
Il n’y a plus rien à ergoter sur le manque de respect, et de vergogne des Lions du Sénégal. En effet, loin d’être rongés par l’humiliation que leur ont fait subir les Angolais qui les ont laminés, lors de leur avant dernier match de poule, les coéquipiers de El Hadj Diouf se sont payés le triste luxe d’aller fréquenter un bar, afin de se remplir la panse avec leur boisson ô combien prisée : la bière et de jouer au billard. N’ayant rien à cirer de la souffrance du peuple qui étouffe de rage et de déception, suite à leurs multiples prestations, le capitaine de la tanière El Hadj Diouf, le portier Tony Silva, le milieu de terrain Ousmane Ndoye flanqués de Titi Camara, embarqués à bord d’un véhicule 4x4, ont pris d’assaut un bar (le Viana city), pour se taper une partie de plaisir. Mais mal leur en pris, car, de plain-pied dans leurs sarcasmes, ils ont été surpris par certains journalistes sénégalais dont l’un de nos envoyés spéciaux, Alioune Badara Coulibaly, notre confrère de l’Observateur, Alioune Badara Fall et son photographe, celui de la Rfm Boubacar Campbel Dieng, ainsi que le journaliste de Stades, Bacary Cissé. Mieux, le photographe de l’Observateur a immortalisé les moments durant lesquels nos joueurs, souls comme des Polonais surfaient dans un océan de bonheurs. Et, convaincus que les images filmées ne jouaient pas en leur faveur, Titi Camara a voulu l’en empêcher. El Hadj Diouf, l’insulte à la bouche, a abreuvé d’insanités le photographe tout en voulant confisquer l’appareil. C’est la tentative de trop, car, unis pour défendre leur profession, les journalistes présents sur les lieux, ont opposé une farouche résistance à l’inquiétante bande à El Hadj Diouf, avant de renvoyer dans les cordes les ivrognes. Qui, dans le feu des échanges de propos avec les membres de la presse, camouflaient par devers une bouteille de vin, pour, peut-être, fêter leurs piètres prestations synonymes d’élimination, dans cette Coupe d’Afrique.
Irresponsable : les lettres de noblesse de Lamine NdiayeMême si El Hadj Diouf et cie sont réputés être des fêtards sans scrupule, il n’en demeure pas moins que c’est le successeur d’Henri Kasperczack qui a gravement déçu les espérances placées en lui par les dirigeants de notre football. Certes son prédécesseur a montré ses limites objectives de coach (il paraît même qu’il a signé avec Saint Etienne pour occuper le poste de Directeur technique national), mais il a toujours quand même fait preuve de poigne vis-à-vis de ses protégés. Mieux, pour imprimer une marque de discipline dans le groupe des Lions de foule, qui rugissent partout sauf sur le rectangle vert, Kasperczack, qui roucoule présentement avec sa femme, avait même écarté de la sélection Souleymane Diawara. Motif invoqué par le triste Franco-Polonais : indiscipline. Toutes choses qui font que Lamine Ndiaye a fait preuve de légèreté et de manque de responsabilité, pendant que les plus optimistes scrutent encore la clémence de Dame Coupe, afin de faire revenir le Sénégal dans la compétition. Autre enseignement : certains ont beau démentir cette théorie, mais ils ont raison de ne pas faire confiance à certains entraîneurs locaux, qui font profil bas et s’inclinent en paltoquet devant les frasques des joueurs professionnels plus friqués qu’eux. Autant dire que Lamine Ndiaye n’inspire guère confiance et ses errements sont assez révélateurs qu’il n’est nullement la personne indiquée pour redonner vie et envie à une tanière en mal de crinière.
Les chances de qualification de ces alcooliques sont très minces.
En fait, je viens d'apprendre que selon les règles de la FIFA, même si le Sénégal bat l'Afrique du Sud 10 buts à 0 et qu'en même temps, la Tunisie bat l'Angola par exemple par 1 but à 0, eh bien, le Sénégal sera toujours éliminé :rolleyes:!
Salam
Pauvres brebis!!! L'Angola a supplanté tout un pays...
Ndeysanne... Fodyé ... Tes brebis sont plus que ridicules.
Il est ou ? A bora Malila... Dis moi tu l' as pas vu dans les parages.
L'ami des cou..cou..couper - Dé.. dé... décaler...
Ivoiriens ni guéri léminé kébé kofé lo botkha biné nokho...
Salam
Les faux marabouts au chevet des faux lions pardon brebis de Fodyé...
Il y en 1 qui sera content. A votre avis ? C'est qui ... hihihihih
JOURNÉE DE LA DERNIèRE CHANCE POUR LES LIONS : Des « marabouts » viennent en renfort
http://www.seneweb.com/news/artimage...S-PRIERE_1.gifLes marabouts sont venus en nombre assister les Lions. Ceux-ci jouent leur dernière chance aujourd'hui. Une chance minime. Les charlatans vont-ils faire des miracles.
Pour leur dernier galop d’entraînement avant la rencontre face à l’Afrique du Sud, les Lions ont choisi le terrain de Kwame NKrumah University. Une séance bien particulière car survenant au lendemain d’un incident grave qui a secoué le Sénégal et qui est lié aux sorties de Diouf, Tony Sylva entre autres, alors qu’ils étaient supposés être au vert.
Mais que cela ne s’est pas ressenti. Comme s’ils narguaient ce peuple de la Presse qui la veille avait découvert et révélé le pot aux roses aux Sénégalais (et qui hier encore était là en veille), ils ont chanté sur le terrain, ils ont dansé, ils ont chahuté pour mieux « décompresser ». Fortement dopés par on ne sait quelle sauce, ils donnaient plutôt l’air d’une équipe qui avait déjà fini de se qualifier pour le second tour depuis belle lurette. En atelier comme d’habitude ils ont tenté le petit jeu, la dextérité devant les buts, ils se sont étirés et ont regagné leur bus. Mais cette séance qui pourrait être la dernière à Kumasi a eu hier des spectateurs particuliers. Sur les gradins de l’Université de Kumasi, près d’une dizaine d’individus dont une femme qui sont présentés comme des « marabouts » à la rescousse de Diouf et compagnie. Ils étaient là, lunettes noires fumées bien cadrées, chapelets pour certains à la main ou tapis de prière bien visibles à suivre pas à pas les Lions. Ces marabouts qui étaient là hier à Kumasi (dont ont dit que l’un d’entre eux est celui de Niarry Tally qui a remporté 4 trophées cette année) sont venus en renforts à ceux qui étaient déjà à Tamalé depuis le début et qui n’ont rien pu faire, pour faire gagner les Lions au moins une fois.
Pourront-ils cette fois-ci, renverser deux tendances en faisant gagner les Lions très largement face aux Bafana–Bafana et en faisant perdre les Tunisiens face à l’Angola ? On saura cet après-midi de quoi ils sont capables
Ca me rappelle une chanson de Mokobé. Un certain marabout Diaby qui dit qu'en 2002 le Senegal a gagné grâce à lui. ;D
Affaire à suivre ...
Salam
Un texte qui merite d'être lu.
[ Chronqiue] Retour de ballon
Souleymane Jules Diop Jeudi 31 Jan 2008
« Le privilège du succès est, dans l’ordrePardonnez-moi de jouer les oiseaux de mauvais augure, mais nous avons mérité cette humiliante défaite face à l’Angola. Ce n’est pas une leçon de football qui nous est ainsi administrée, c’est une leçon de vie. Quand nous avons fait le match nul contre la Tunisie, nous avons tous pensé que nous passerions sur l’Angola comme sur un ferry boat. Mais au football comme à la guerre, il ne faut jamais s’avouer vainqueur. Vous avez beau avoir la meilleure préparation, les meilleures munitions, quand les hommes sur le terrain refusent de combattre, vous allez à la déroute. Quand vous visiterez l’Angola, sortie de plusieurs décennies de guerre civile, après une indépendance tardivement arrachée au colon portugais, vous comprendrez pourquoi ce pays est voué à un grand destin. Il y a chez chacun de ces frères lusophones une âme de soldat et un sens du devoir qui est la marque de fabrique des grands peuples. Cet engagement ne se remarque pas seulement dans le football. Il se retrouve aussi dans le basket ball, avec des gifles systématiques qu’ils nous administrent à chaque fois que nous avons la malchance de nous mettre sur leur chemin en Coupe d’Afrique. Il y a une raison à cela : nous avons toujours eu de bons effectifs, mais nous n’avons jamais eu une bonne équipe. Ce qui fait une équipe, ce n’est pas la somme de ses individualités. C’est, comme je dirai en politique, un commun vouloir de victoire commune. Les talents individuels comptent beaucoup, mais ils ne font pas l’essentiel. Il faut de l’engagement, et une bonne dose de patriotisme qui nous manque malheureusement souvent. Les joueurs n’ont jamais compris le sens symbolique du drapeau qu’ils reçoivent des mains du chef de l’Etat, à chaque expédition continentale ou mondiale. Ils vont au palais en pantalon tailleur comme des top models, habillés par « Nous Deux » ou par « Amy Boutique ». Ils ne comprennent pas hélas, qu’en prenant ce référent collectif, ils prennent en main le destin de tout un pays, toute une nation qui, il faut l’avouer, leur a tout donné : son cœur, son âme, et sa poche ! Dans l’imaginaire collectif, le ballon a remplacé depuis très longtemps le canon. Si El Hadj Diouf et Tony Sylva l’avaient compris ainsi, ils ne seraient pas dans une discothèque en train de deviser avec des filles de nuit pendant que le pays entier a l’espoir accroché à leurs crampons.
du temps, une marque de vérité »
C. MAURRAS
Je connais la furie de nos Lions. Partout où ils sont passés depuis 2002, il y a eu rupture de stock de préservatifs. Ils ont fait un passage mémorable au Japon que l’on raconte encore dans les salons de Tokyo avec une stupéfaction mêlée de curiosité. Ils avaient, ce soir-là, causé une rupture de stock, cette fois-ci de prostituées, dans les rues de la capitale du Japon. Mais ils ne sont pas les seuls à blâmer.
Ce n’est pas non plus la faute à Henri Kasperczac. Nous sommes les derniers de la planète à comprendre que les entraîneurs européens, comme les mercenaires des premières années d’indépendance, sont motivés par la kagne, pas la gagne. Cet esbroufé arrivé au pays avec un petit sac et deux pantalons n’a jamais cru en cette équipe. Il l’a drivée comme s’il était tout le temps dans un canot de sauvetage, obligé de se sauver avant de sauver les autres. Voyez comme il s’est tiré de la barque, au moment où le bateau faisait naufrage ! Mais après l’avoir bien affligé, nous devons tourner notre regard condescendant vers nous-mêmes. Nous avons toujours traité nos autres frères africains comme des moins que rien, et c’est ce qui nous a perdu. S’il était digne, Mbaye Ndoye serait le premier à démissionner dans ce groupe. Il ne peut pas déclarer publiquement que le Sénégal gagnerait largement contre l’Angola, perdre ce match décisif et attendre qu’on lui demande de partir. Ce douanier n’a d’autre expérience que le champ de tir de Dakar-Bango. Toute sa crédibilité, il l’a bâtie sur la force de la sorcellerie. Dans les vestiaires, les préparateurs mystiques ont remplacé par dizaines les préparateurs physiques. On parle aux jeunes recrues de « xondiom » avant de leur parler de « diom ». C’est aussi notre prétendue supériorité sur tous les autres. Nous pensons que dans ce domaine aussi, nous sommes les meilleurs au monde. Pardi ! Nous entretenons le même mythe dans tous les domaines. La plupart des pays de la sous-région ont réalisé l’alternance avant nous, et même plusieurs fois pour des voisins comme le Bénin ou le Ghana. Mais nous continuons à nous autoproclamer « vitrine de la démocratie en Afrique ». Quand vous entendez le président de la République du Sénégal parler de son pays à l’extérieur, vous êtes impressionné. Allez à Ouagadougou, à Bamako, à Abidjan, pour ne pas vous imposer un long voyage. Vous reviendrez avec un peu plus d’humilité.
Quand nos Lions sont allés en finale, je dis bien en finale de Coupe d’Afrique des Nations en 2002, Abdoulaye Wade les a traînés comme des trophées partout dans le monde. Je me rappelle encore de cette grande rencontre de Durban, en 2002, où il s’est mis à genou pour supplier ses joueurs de venir à cette grande rencontre africaine. Et dans une salle où il n’y avait que des chefs d’Etat et leurs épouses, Wade s’est présenté à chaque chef d’Etat, avec chaque joueur, pour vanter ses qualités techniques et athlétiques. Evidemment, les plus enchantées, ce jour-là, étaient les épouses de chefs d’Etat. Une d’elles, Mme Bongo, s’est sentie blessée quand Amdi Faye a refusé de lui serrer la main. La plupart des chefs d’Etat qui étaient là avaient déjà gagné la Coupe d’Afrique, parfois plusieurs fois. Mais c’était comme si El Hadj Diouf et sa bande revenaient d’une autre planète, pour tomber dans un paradis du football qui s’appelle le Sénégal. La nuit, Me Wade, toujours dans ses œuvres, avait réuni Obasanjo et El Hadj Diouf, pour demander à l’enfant de Balakoss de leur présenter ses vues sur le Nepad ! Nous sommes le seul pays au monde à avoir ce que nous appelons les anciennes gloires du football, alors que nous n’avons jamais rien gagné depuis le trophée symbolique des jeux de l’Amitié, en 1962.
La victoire, chers compatriotes, va à ceux qui la veulent le plus. L’exigence de résultat commence d’abord par l’exigence dans le choix des hommes qui doivent diriger notre football. Ce que nous appelons le staff technique des Lions est une bande d’instituteurs, dirigés par un douanier, pendant que de grands spécialistes du football, ceux qui connaissent le jeu et les joueurs, sont envoyés à la retraite forcée. Quand Abdoulaye Sarr et Amara Traoré ont pris cette équipe, ils étaient restés près d’un an sans être payés. Le polonais a gagné 15 fois plus, avec un parachute financier confortable, sans absolument rien nous apporter.
La présidence de la République a innové cette année, en nous apportant comme partenaire « marketing », un ancien trafiquant de drogue qui n’a aucun passé, aucune expérience. Un douanier et un ancien trafiquant de drogue dans une même équipe ! Nous payons pour toutes ces incohérences. C’est ce qu’on appelle un retour de bâton. De ballon dans ce cas-ci !
Depuis l’expédition de 2002 en Coupe du monde, le football a généré énormément d’argent. L’idée de départ, très généreuse, était de réinvestir ces sommes dans les infrastructures sans lesquelles nous ne pourrons jamais réaliser quelque chose de durable dans le sport. La solidarité générationnelle, qui doit s’appliquer dans le sport plus qu’ailleurs, eut voulu que nous pensions aux générations à venir, en leur laissant des infrastructures pour leur épanouissement. Mais tout cet argent est allé dans les poches de quelques dirigeants du football restés jusqu’ici impunis. Nous ne nous sommes jamais demandés pourquoi nous ne faisons rien dans le domaine de la petite catégorie, dans lequel excellent les camerounais et les ghanéens. C’est parce que nous avons un football qui marche sur la tête. Nous attendons que la vague de joueurs émigrés fasse des écumes pour, disons-nous, « constituer une équipe ». Ce n’est pas possible. Nous ne pouvons pas tout demander au football, sans avoir jamais rien donné au football. La seule infrastructure footballistique de taille dont nous disposons nous a été donnée par la Chine. Après avoir monnayé le retour de ce pays, nous lui demandons encore de nous faire des stades régionaux, comme si nous n’étions capables de rien. Dans le basket ball, nous n’avons jamais fait mieux que le stadium Marius Ndiaye. C’est cela le paradoxe sénégalais. Nous construisons dans ce pays plus de mosquées que d’écoles. Nous piochons à coups de milliards, mais nous oublions ce qui fait le ciment d’une nation, son éducation, qu’elle soit sportive ou intellectuelle.
Quand nos joueurs sont arrivés à Tamalé, même grands bringueurs devant l’éternel, ils sont allés prier le vendredi. En quittant la mosquée, ils y ont laissé quelques millions de francs Cfa contre, disait le dévoué imam, une place en finale de la Coupe d’Afrique. Ce sont des miettes, à côté des primes qu’ils reçoivent du contribuable sénégalais. Mais s’ils avaient laissé ce montant à une petite école de football, comme il y en a à Rufisque et à Saint-Louis, ils auraient fait, qui sait, les champions de demain.
"Je connais la furie de nos Lions. Partout où ils sont passés depuis 2002, il y a eu rupture de stock de préservatifs. Ils ont fait un passage mémorable au Japon que l’on raconte encore dans les salons de Tokyo avec une stupéfaction mêlée de curiosité. Ils avaient, ce soir-là, causé une rupture de stock, cette fois-ci de prostituées, dans les rues de la capitale du Japon."
krkrkrkr j ai tro rit kan j ai lu ça!!;D;D
Sinon blague à part il resume tres tres bien le probleme de fond de cette equipe et du pays meme...
J ai jamais apprecié El Hadji Diouf! Le garder dans l equipe et lui donner en + le brassard c est vraiment etre inconscient ou etre aveugle!! Son etat d esprit pourri deteint sur toute l equipe! Qu ils nettoient l equipe de ce genre de mecs et l equipe tournera mieu. (je sais je suis dur mais je l aime vraiment pas...)
Salam
Tu sais quant je l'ai aboyé contre la Tunisie, je me suis dit: "tiens , on dirait qu'il a changé. Il est devenu plus poli.
Mais hier , grande fut ma surprise quand j'ai vu qu'il était en boite la nuit. Je me suis dit: " C'est fini, il changera jamais jusqu'à sa mort".
J'aurai été le coach, je vais pas les faire jouer( Diouf, Tony et n'doye). Et apres la Can, on les convoque plus ces irresponsables.
Salam
Dernières minutes :
DIOUF, TONY SYLVA et N'DOYE sur le banc de touche !!!
LeQuotidien :
INDISCIPLINE - Coupables de virée nocturne : Diouf, Tony et Ousmane Ndoye zappés, Coundoul dans les buts
Le premier signal vient d’être donné par Lamine Ndiaye. Les fêtards El Hadj Diouf, Tony Sylva et Ousmane Ndoye ne seront pas de la partie cet après-midi. A défaut d’être carrément renvoyés du groupe. Et attendant le lavage à grande eau.
http://www.seneweb.com/news/artimage...ye_lions_1.jpgUn beau jugement à la Salomon. Voilà ce qu’a fait Lamine Ndiaye, le nouvel entraîneur de l’Equipe nationale du Sénégal, suite à la démission du franco-polonais Henryk Kasperczak. En effet, au lendemain de la virée nocturne de El Hadj Diouf et Tony Sylva au Vienna City mardi dernier, une réunion de crise a eu lieu hier matin entre les fédéraux et le staff technique. Du côté, des responsables administratifs, après avoir voulu à un moment donné essayer de nier toute cette histoire, l’heure était à la radicalisation. Ces fêtards de la Tanière devaient être tout simplement être renvoyés du groupe. Il n’était pas question qu’il reste une journée de plus à Kumasi. Mais le président de la Fédération sénégalaise de football (Fsf), Mbaye Ndoye, le coordonnateur de la délégation sénégalaise Adama Thiam et le financier, Diabakhaté se sont vus opposer un niet catégorique de Lamine Ndiaye. Qui pour cette réunion, avait à ses côtés son nouvel adjoint, Jules François Bocandé.
Finalement, les différents responsables administratifs vont battre en retraite face à la détermination du nouveau coach.
Mais après le galop d’entraînement des Lions, Lamine Ndiaye a changé d’approcher «soit revenu à de meilleurs sentiments, soit il avait bien caché son jeu dans la matinée», confie notre interlocuteur, très au fait de ce qui se passe dans la Tanière. C’est ainsi qu’il renseigne que face à l’Afrique du Sud, cet après-midi, El hadj Diouf et Tony Sylva ne seront pas de la partie. Une mesure disciplinaire qui va concerner également Ousmane Ndoye, cité à plusieurs reprises comme faisant partie de l’escapade nocturne. «Il ne s’est pas porté en faux par rapport à ces accusations jusqu’à présent, c’est donc parce qu’il a quelque chose à se reprocher», confie la source. Ainsi, s’il est opposé à leur renvoi du groupe, Lamine Ndiaye a néanmoins pris l’option de les sanctionner en ne les prévoyant pas dans son schéma face à l’Afrique du Sud. Du coup avec l’absence de ces trois «cadres», on va vers une recomposition du onze de départ. Avec dans les buts Bouna Coundoul, l’«Américain» qui profite de la blessure au pied de Cheikh Tidiane Ndiaye. En défense, si l’axe central ne change pas, par contre on devrait enregistrer les rentrées de Lamine Diatta à droite et de Ibou Faye à gauche. Ces derniers suppléent Habib Bèye et Guirane Ndaw trop fébriles contre les Angolais. Au milieu pas de changement avec la reconduction de la paire de récupérateurs Bayal Sall et Pape Bouba Diop. Enfin, en attaque avec l’absence du capitaine Diouf, c’est le quatuor Diomansy Kamara-Niang-Henri-Babacar Guèye.
ça c est une compo ki me convient mieux d ailleurs Sylva etait rincé avec ses sorties hasardeuses. ;D
Niaw!!!
J'espère que ça leur servira de leçons à ces tocards, alcooliques qui ne sont pas dignes de représenter le Sénégal. Ils nous ont foutu la honte. Je ne sais même pas pourquoi ils ont sélectionné ce vaurien de Diouf.
Il vaut mieux perdre et être éliminé dans la dignité que d'être humilié de la sorte.
Moi aussi ça me convient !
D'ailleurs je vais rentrer chez moi plus tôt pour voir le match.
J'ai pas eu le temps de lire toute les discussions mais je voulais juste dire que l'Angola a quand même participé à la dernière coupe du monde.
Quant au Mali, il n'ont pas à rougir de cette élimination car la Côte d'Ivoire, c'est du costaud et avec le Ghana, c'est le grand favori.
Completement triste,je suis meme en train de pleurer.
Le Senegal n'a meme pas pu se qualifier pour le second tour,quelle honte!!! Avec ces joueurs qui sont toujours entrain de faire la fete(une majorite),leurs adversaires leur feront aussi la fete sur le terrain:mad::mad::mad:
Alcooliques, soulards, tocards, ambianceurs, rentrez chez vous! vous nous avez trop foutu la honte. Vous ne représentez pas le Sénégal. Vous n'êtes pas dignes d'être sénégalais.
Jamais une équipe du Sénégal n'a fait une aussi piètre performance depuis 1986. Mais, je crois que les joueurs sur le terrain ne sont pas les seuls responsables de cet échec. Les 1ers responsables sont les responsables politiques qui ont décidé de confié les rennes du football national à toute cette bande d'incapables. Les responsables sont ces compléxés qui pensent qu'il suffit d'avoir un entraîneur européen pour atteindre la finale de la CAN.
En tout cas, Kasperzack les a bien eus, car apparemment, avant le début de la CAN, il avait demandé à ce qu'on lui verse toutes ses indemnités des mois restants dans son contrat. Ce que les pouvoirs publics firent, bêtes qu'ils sont. Donc, la démission de Kasperzack était vraiment préméditée dans le cas où ça tournerait mal. Lui, il en a rien à foutre maintenant du sort de l'équipe, car tout ce qui l'intéressait, c'était l'argent. Et il l'a eu, car, il part avec près de 400 millions de Francs CFA après avoir été logé, nourri, blanchi et véhiculé gratuitement. Il rentre à Paris sans même faire escale à Dakar.
Quand il s'est cassé, on a tous dit :"bon débarras!", espérant que son adjoint va opter pour un autre choix tactique et technique que celui adopté jusque là par Kaspi. Mais, que nenni! La seule bonne décision que Lamine N'diaye a prise a été d'avoir écarté El Hadji Diouf le soulard et Tony Silva le tocard de l'équipe qui allait affronter les bafana bafana. Durant toutes les 90 minutes, les sénégalais n'ont cessé de répéter les mêmes erreurs commises contre l'Angola. L'entraineur angolais avait même expliqué comment il les avait battu, mais, ça ne les a pas suffit pour changer de tactique.
Les sénégalais n'ont cessé de balancer des passes longues qui ont été pour, je dirais, 95% des cas récupérés par l'équipe adverse. Depuis le milieu du terrain comme depuis la Défense, les centres fusaient de toute part, et l'équipe adverse les récupérait à chaque fois. Concernant les milieux récupérateurs, on dirait même qu'ils jouaient pour l'équipe adverse tant les ballons qu'ils avaient en possession étaient tous récupérés par les bafana bafana. s'ajoute à cela une défense poreuse qui se mélangeait sans cesse les pinceaux et qui avait incessamment des problèmes de positionnement. N'eussent été la vigilance du gardien Coundoul et la malchance des bafana bafana, les sénégalais auraient encaissé au moins 3 autres buts. Bref, quelle piètre performance de ces "lions", pardons, "brebis"!
Comme on dit, à toute chose, malheur est bon. Donc, j'ose espèrer que cette humiliation du Sénégal puisse servir de leçons aux pouvoirs publlics qui prennent les décisions et aux futurs entraineurs. Comment peut on laisser des joueurs qui participent à une phase finale de coupe d'Afrique, aller se saouler la gueule au soir d'une défaite, au lieu de rester dans leur chambre pour récupérer ? Comment peut-on donner tant de millions à un entraîneur qui a montré ses limites avec d'autres équipes ?
Salam
Bonne analyse Mr CISSE. Tu as tout dit.
Au mois toi tes brebis ont marqué des buts et on eu 2 points mais certains poussins n'ont eu qu' un seul point et un but par penalty.
Un but marqué face au gardien de l'equipe de l'amicale des etudiants béninois.
C'est quoi aui a remporté la coupe can de Soninkara.com
Tu as battu Mr Poussin.
Enfin le Mali a fini avec 4 points.
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Au-delà de l'aspect sportif, ce qui est très genant c'est l'attitude des différents acteurs.
J'ai rarement vu un entraineur quitter son équipe pendant une telle compétition, sauf s'il se fait limoger ou qu'il ne peut correctement exécuter ses fonctions. Henry Kasperzack n'était dans aucun de ces cas et j'ai presque envie de dire que c'est une faute professionnel. Il n'a même pas été capable de respecter ses engagements, d'assumer ses erreurs et de parachever son oeuvre si decevante soit elle.
El Hadj Diouf, Tony Sylva et le troisième luron ont méprisé l'équipe national. El Hadj Diouf qui avait annoncé arrêter la sélection avant de se rétracter, qu'il s'en aille. Les deux autres qu'ont les sanctionnent lourdement ou qu'ont les radient.
Pour ce dernier tour de poule, la logique a été respectée.
Même si j'aurais aimé qu'ils terminent sur une victoire, je peux concevoir que ce soit dur pour les joueurs de disputer un dernier match décisif dans un tel contexte. Après, je suis d'accord avec Fodyé sur le fait qu'il aurait pu faire un effort sur le plan du jeu, surtout qu'ils en ont les qualités.
Pour espérer aller loin dans une telle compétition, il faut avoir fait une bonne préparation et quand on voit le Sénégal jouer, on a l'impression qu'il n'y a eu aucune préparation.
Enfin, j'ai aimé la prestation global du gardien de but Coudoul (je crois que c'est comme ça).
Je viens d'apprendre que certains joueurs avaient même réservé leurs billets d'avion retour vers Paris, et cela, bien avant le match contre l'Afrique du Sud. Or, le Sénégal avait bien des chances, même si elles étaient minimes, de passer en quart de finale.
Décidemment, ces gens là qui étaient allés nous représenter ne sont vraiment que des vauriens qui n'ont aucun patriotisme. Je ne comprenais pas pourquoi les sénégalais, dans le match, ne se précipitaient pas pour aller tirer les corners ou pour sortir lorsqu'ils étaient remplacés. Je me disais : mais, comment ça se fait que le tireur du corner marche pour aller tirer le corner, sachant qu'on doit marquer beaucoup de buts pour rester dans la course. Mais, en fait, je viens de comprendre! :mad:
Salam
Moi j'aurai voulu qu'on les embarque tous au Sénégal et que les jeunes les tabassent car je crois meme que les policiers les laisseront faire car ils le meritent trop. Ces kharamalémous ont fait honte à toute une nation.
Il y a un seul qui sort du lot , Diagne Faye sinon tous des vauriens.
Le maillot du Sénégal c'est pour s'enrichir et avoir un nom. C'est honteux.
Quant à Diouf, Tony et N'doye ... J'espère ça sera la dernière fois , ils mettront le maillot du SénégaL.
Mais Fodyé... decolère contre tes brebis toi ossi lollllllllll