Qu'en est-il pour quelqu'un qui crache en pleine prière? C'est une question imoprtante qui a sa raison d'être ici.
Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 01/03/2007 à 23h10
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
salam aleykoum
tres bonne question mody wague.
mais tu aurai pu y mettre le reponse.
bien a toi.
Et craignez ALLAH, alors ALLAH vous enseigne
Salam modi Wagué!
Tout dépend de la façon dont on a craché. On peut cracher, discretement, dans la paume de sa main sans aucun son (pas de prononciation de lettre) et ensuite le jeter. Ou encore sur le bout de son vêtement. Cela ne fait rien en la prière. Par contre cracher comme on le fait sur le trottoir cela invalide la prière, ce n'est pas du respect pour celle-ci. Wa-Allahou a'lam wa ahkam. fraternellement.
"Les paroles s'en vont, les écrits restent"! / verba volant, scripta manent!
http://www.soninkara.com/petitions.html
Salam 'alaykoum!
Q: Qu'en est-il de celui qui rit carrément en pleine prière ?
R: Sa prière est caduque, que cela soit volontaire ou involontaire. Car ne saurait rire, en pleine prière, que le fidèle distrait (et même très distrait).
Bien fraternellement.
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Tout à fait. Quand on est contraint de cracher au cours d'une prière à la suite d'un rhume, d'un jeûne, on doit le faire sans aucun son. On peut l'enlever par sa main ou par un morceau ou un mouchoir qui est dans votre poche ou avec un coin de votre boubou. Quoi qu'il en soit, cracher de la façon que l'on a l'habitude de voir dans la rue, annule la prière. Si on peut l'eviter, c'est d'ailleurs encore mieux.
Je me souviens encore une fois je me suis rendu avec mon père, au garage de Kaédi, pour réparer le pneu de notre charette chez un michelin. Il était vers 17h. Un groupe de gens priaient à côté de nous. Et celui qui dirigeait la prière a craché par terre. Et quand il a fini la prière mon père s'adressa à lui, en lui disant quelque chose. Et tout de suite, j'ai vu qu'ils reprenaient la prière. J'étais adolescent d'une douzaine d'années. J'ai fixé mon père comme pour lui dire de m'expliquer la chose. Et il a compris, il m'a dit qu'on ne crache pas quand on prie, on doit le faire de façon discréte. J'ai capté cette leçon jusqu'au jour où Allah a fait qu'il me donna un cours de théologie sur cette question. J'ai profité pendant ce cours pour lui dire que le même cas s'étatit présenté un jour au garage de Kaédi et qu'il m'avait expliqué les choses de cette façon, et cela, avant l'heure. Lui, avait déjà oublié, mais moi non. C'était juste une parenthèse heureuse, pour dire que tout ce qu'on dit à un enfant, il ne l'oublie presque jamais.
Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 02/03/2007 à 23h34
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Salam ma soeur!
La raison est que, dans la prière, le fait de souffler (avec la bouche bien sûr) est considéré comme parole. Et donc, au même titre que parler dans la prière on a recours au soudjoud al-ba'diy (deux prosternations après le salut final). Par contre si elle est volontaire cela invalide la prière. Wa-Allahou a'lam. fraternellement.
Dernière modification par Abdoulaye DIAGANA 02/03/2007 à 17h05
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