D'après 'Alî Ibn 'Abî Tâlib (que Dieu l'agrée), lors de l'expédition de Khaybar, l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a interdit le mariage temporaire ainsi que la consommation des ânes domestiques.
Muslim
D'après 'Alî Ibn 'Abî Tâlib (que Dieu l'agrée), lors de l'expédition de Khaybar, l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a interdit le mariage temporaire ainsi que la consommation des ânes domestiques.
Muslim
Selon 'Omar Ibn Al Khattàb, le Messager de Dieu صلى الله عليه و سلم a dit: «Ne vous habillez pas de soie, car celui qui la porte dans ce bas-monde ne la portera pas dans l'autre».
(Unanimement reconnu authentique)
73. Abou Oumama Al Bâhilî a dit : « J’ai entendu le Messager de Dieu (saws) dire dans son sermon du pèlerinage d’adieu : « Craignez pieusement Dieu, faites vos cinq prières quotidiennes, observez le jeûne de votre mois (Ramadhân), acquittez l’aumône légale de vos biens et obéissez à vos chefs et vous serez alors dans le Paradis de votre Seigneur ».
(Rapporté par Tirmidhi)
Les devoirs envers les personnes agéesSelon 'Amr Ibn Chou'ayb, selon son père, selon son grand-père (رضي الله عنهم), le Messager de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Ne fait pas partie de notre communauté celui qui ne se montre pas clément avec notre petit et ne reconnaît pas l'honneur de notre grand".
(At-Tirmidhi)
D'après Abou Sa'îd Al-Khoudri (que Dieu l'agrée), le Prophète(paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Gardez-vous de vous asseoir sur les voies publiques". "Mais, lui répondit-on, nous ne pouvons faire autrement; nous n'avons pas d'autre endroit pour nous réunir et causer". - "Si, reprit l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui), vous refusez de vous asseoir (ailleurs), alors observez les exigences qu'impose la voie publique". - "Et quelles sont ces exigences?", lui demanda-t-on. - "Elles consistent, répliqua-t-il,à baisser le regard, à s'abstenir de nuire, à rendre le salut, à recommander le louable et à interdire le blâmable".
Muslim
Sa'd (que Dieu l'agrée) a dit : 'Umar demanda un jour la permission d'enter au Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui),alors que ce dernier avait auprès de lui des femmes Qoraychites qui,avec des éclats de voix, l'entretenaient d'une augmentation de leurs parts dans les dons. Lorsque 'Umar demanda la permission d'entrer,elles se levèrent et s'empressèrent de se dérober aux regards. 'Umar,ayant reçu la permission d'entrer de l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui), trouva l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) en train de rire. 'Umar lui dit : "Que Dieu fasse épanouir le rire sur tes dents, ô Envoyé de Dieu!". Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) lui répondit : "C'est que j'ai été amusé de voir ces femmes, qui étaient chez moi,s'empresser au son de ta voix de se dérober aux regards".- "Et pourtant toi, Envoyé de Dieu, répondit 'Umar, tu es plus digne(que moi) de leur imposer la vénération"; et (s'adressant aux femmes)'Umar ajouta : "Ennemies de vos âmes, vous me vénérez au lieu de vénérer l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui)!".- "Oui, répondirent-elles, toi tu es plus roide et plus rude que l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui)!".- "Par Celui qui tient mon âme entre Ses mains, dit alors le Prophète(paix et bénédiction de Dieu sur lui), le diable ne t'a jamais rencontré sur une route sans prendre aussitôt une autre route que la tienne".
Muslim
Allah 'Aza wa Djal a dit : " Dis : " Rien ne nous atteindra, en dehors de ce que Allah a prescrit pour nous. Il est notre Protecteur. C'est en Allah que les croyants doivent mettre leur confiance".
Sourate 9 At-Tawbah "Le repentir" v51
Aboû Saîd El Khodrî(رَِضَي ا لله عَنْه ُ), a dit qu' il a entendu l’Envoyé d’Allah (صلى الله عليه و سلم) dire :
Si l' un d' entre vous voit ce qui déplaît à Dieu, qu'il le combatte de ses mains; si cela ne lui est pas possible, que ce soit par la langue, et si cela encore ne lui est pas possible, que ce soit avec son cœur, c'est là le minimum imposé par la foi.
Rapporté par Tirmidhi, Ahmad
Les honorer par rapport aux plus jeunesSelon Ibn 'Omar (رضي الله عنهما), le Prophète (صلى الله عليه و سلم) a dit : "Je me vois en rêve me curant les dents avec un bâton d'arac. Deux hommes vinrent vers moi dont l'un était plus âgé que l'autre. Je donnai le bâton d'arac au plus jeune. On me dit alors : "Commence par le plus âgé" et je l'ai donné au plus âgé".
(Mouslim et Al-Boukhâri)
'Aïcha (que Dieu soit satisfait d'elle) a dit : Onze femmes se réunirent et décidèrent de s'imposer l'obligation de ne rien cacher les unes aux autres des faits et gestes de leurs maris. La première prit la parole et dit : "Mon mari est de la chair de chameau maigre placée sur le sommet d'une montagne. Il n'a pas de plaine qu'on puisse gravir, ni de graisse qu'on puisse emporter". (elle fait allusion à sa vanité et à son mauvais caractère).- "Je ne dirai rien sur mon mari, dit la seconde, car je craindrai dene pas arriver jusqu'au bout, si je fais mention de ses défauts aussi visibles qu'invisibles".- "Mon grand diable de mari, dit la troisième, si j'en parle, je serai répudiée et si je me tais, je serai délaissée ni épouse ni divorcée".- "Mon mari, dit la quatrième, est comme la nuit du Tihâma, ni chaud,ni froid. Il ne m'inspire ni crainte, ni dégoût". (Elle fait ainsi allusion à son bon caractère et à son bonheur avec lui).- "Quand, dit la cinquième, mon mari entre à la maison, il est comme un guépard, mais lorsqu'il sort, c'est un lion, il ne s'inquiète pas de ce qui s'était passé (à la maison)".- "Mon mari, dit la sixième, mélange (tout) quand il mange et boit tout quand il boit. S'il se couche, il s'emmitoufle et n'introduit pas la main pour connaître mes soucis (littéralement : le chagrin)". (Elleveut dire qu'il ne couche presque pas avec elle).- "Mon mari, dit la septième, est dans les illusions à outrance- ou suivant une variante- dans la paresse à outrance; il est plat, ne vaut rien et a tous les vices possibles, il vous fend le crâne (pour plaisanter) ou vous blesse (pour punir), ou même vous fait l'une et l'autre de ces deux choses".- "Les attouchements de mon mari, dit la huitième, sont doux comme ceux du lièvre et son parfum est celui du zerneb". (Elle veut exprimer son bonheur auprès de lui à cause de son caractère généreux).- "Mon mari, dit la neuvième, est noble et généreux; il est de haute stature; et est très hospitalier; sa maison est pour ainsi dire près de tout homme qui l'appelle (mot à mot)".- "Mon mari, dit la dixième, est un Mâlik et comme il est bon Mâlik!Personne n'est égale à lui. Il possède des nombreux chameaux que l'on fait souvent agenouiller (pour les traire et donner du lait aux hôtes), mais qu'on n'envoie que rarement au pâturage (afin de le savoir sous la main pour les égorger s'il arrive un hôte). Quand ces chameaux entendent le bruit des cithares (pour accueillir cérémonieusement les visiteurs), ils sont certains qu'ils n'ont plus longtemps à vivre".- "Mon mari, dit la onzième, c'est Abou Zar'. Ah! quel homme que AbouZar'! Il a comblé mes oreilles de bijoux et donné de l'embonpoint à mes biceps. Il m'a donné la joie et je suis heureuse auprès de lui. Il m'a trouvée chez des gens n'ayant que quelques moutons, dans un hameau et m'a emmenée chez des gens ayant chevaux, chameaux dépiquant des grains et épluchant leurs légumes. Quand je lui parle, il ne me critique pas. Je me couche et dors jusqu'au matin. Je bois à ma soif. La mère de Abou Zar'! Ah! quelle mère que celle de Abou Zar'! Ses approvisionnements sont abondants et sa maison est vaste. Et le fils de Abou Zar'! Ah! quel fils que celui de Abou Zar'! Sa couche est pareille à une lame dégainée, une épaule de chevreau suffit à le rassasier. Et la fille de Abou Zar'! Ah! quelle fille que celle de Abou Zar'! Elle obéit à son père; elle obéit à sa mère; elle remplit bien ses vêtements et elle excite l'envie de ses voisines. Et la servante de Abou Zar'! Ah! quelle servante que celle de Abou Zar'!Elle ne répand pas au dehors les propos que nous tenons entre nous;elle ne gaspille pas nos provisions; elle ne remplit pas notre maison d'ordures, au contraire, elle en prit soin. Abou Zar', mon mari, étant sorti pendant que les outres étaient agitées pour faire le beurre,rencontra une femme ayant avec elle deux enfants pareils à deux guépards qui jouaient avec deux grenades (Il s'agit de seins fortement développés) qu'ils faisaient passer sous sa taille (alors qu'elle était couchée). Il me répudia et épousa cette femme. Alors j'épousai un homme généreux et de bonne naissance. Il monta sur un cheval agile,prit une lance de khat et le soir il revint vers moi avec un nombreux troupeau. Il me donna une paire de chacun des animaux qu'il avait ramenés en me disant : Mange, ô 'Umm Zar', et approvisionne ta famille. Eh bien! j'aurais réuni tout ce qu'il m'avait donné, que cela n'eût pas suffi à remplir le plus petit des chaudrons de Abou Zar'".- "Et, ajouta 'Aïcha, l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) me dit : J'ai été pour toi comme Abou Zar' pour 'Umm Zar'".