Barack Obama
John McCain
Independant
Obama president, Obama president !!!![]()
moi aussi je suis pour obama parceque le programme de mc cain c est tout ce que je desteste la violence
Moi je voterais pour Obama
Mc Cain pour moi c'est un deuxième Bush, les américains en ont marre de ces guerres, des innocents tués à tord et à travers , des familles en pleurs, et la famine.
Quant a Obama il prône la paix , la bonne entente , l'aide aux pays défavorisé ou en developpement , et surtout c'est un grand pacifiste
et en ce qui me concerne un président noir ne ferait pas de mal pour une fois!!![]()
"Lorsque tu vins au monde, tout le monde était content et toi tu pleurais.-Vis de telle sorte que lorsque tu mouras, tous pleureront et tu seras heureux."
Malcom x +Martin luther king =OBAMA
Les français ont bien votés Sarkozy donc ça m'étonnerai pas si McCain arrive au pouvoir.
Personellement je voterais Obama, juste pour voir un black au pouvoir. Et aussi parcequ'il porte l’espoir pour tous les jeunes américains et pour la paix dans le monde.
VIVE OBAMA ! obama for president!
Dernière modification par ROUMBALOVE 06/09/2008 à 11h44
Si tu veux savoir quelle place tu occupes auprès de Dieu...
regarde quelle place Dieu prend dans ton coeur
salam sans hesiter Obama
jve pas etre le favoris des dingues ni celui des baltringues que dieu men soit temoin jve etre celui des gens biens
pour moi ce sera OBAMA aussi juste parce qu'il est noir .ET OUI !!!! je veux voir ce que ça fait de voir un noir au pouvoir aux ETATS UNIS d'amérique
Comme Obama est très largement en avance sur les sondages à moins d'un mois des élections, le camp de Mc Cain sort sa dernière carte, un plan digne de Machiavel, en essayant de faire ce qu'on appelle de la démagogie, de la politique sale.
Lisez ceci. C'est consternant. Je crois que si Obama n'était pas un métis, il n'y aurait pas eu un tel dénigrement de sa personne. On met en avant ses origines pour inciter les américains à ne pas voter pour lui, on l'assimile à Ossama.
John McCain (hier, dans le Wisconsin) a déclaré vouloir faire du scrutin présidentiel « un référendum sur la personnalité d'Obama». Crédits photo : AP
En mettant en cause le patriotisme et «l'altérité» du candidat démocrate, le camp républicain redoute d'être accusé de racisme.
John McCain se demande jusqu'où aller dans ses attaques personnelles contre Barack Obama. Jeudi, ses conseillers ont soupesé la question lors d'une conférence téléphonique. Certains commencent à s'inquiéter des répercussions de leur assaut contre la personnalité du candidat démocrate.
La stratégie consistant à mettre en cause le patriotisme, les origines et les fréquentations d'Obama avait été décidée vendredi dernier lors d'une réunion de son état-major de campagne à Phoenix (Arizona). Depuis, McCain et ses alliés passent leur temps à distiller la peur sur le sénateur de l'Illinois. «Qui est-il vraiment ?», martèle le sénateur de l'Arizona sur les podiums, pointant du doigt ses relations «avec un vieux terroriste dépassé» du nom de Bill Ayers, ancien activiste violent devenu quasi-notable de Chicago. «Il ne voit pas l'Amérique comme vous et moi», renchérit sa colistière, Sarah Palin. «Imaginez ce que vous ressentirez si vous vous réveillez le 5 novembre avec Barack Hussein Obama comme président élu des États-Unis», a lancé Bill Platt, président local du Parti républicain, mercredi à Bethleem (Pennsylvanie).
Les réactions du public conservateur dépassent les attentes du ticket républicain. «Qu'on lui coupe la tête !», s'est écrié un homme au meeting de Bethleem. La veille, un supporteur de McCain portait un T-Shirt représentant Obama sous le masque de Satan. En Ohio, une pancarte affichait : «Obama = Oussama», en référence à Ben Laden. Dans un documentaire diffusé sur Fox News, un activiste de droite, Andy Martin, décrit le travail d'«organisateur de communauté» effectué par Obama dans sa jeunesse comme «un entraînement extrémiste pour renverser le gouvernement.»
«Seule la guerre des cultures peut nous faire gagner»
D'après son conseiller Mark Salter, John McCain est «très content» du tour pris par sa campagne. Lundi, il avait déclaré au New York Times vouloir faire du scrutin «un référendum sur la personnalité d'Obama». Dans le Los Angeles Times, Timothy Garton Ash, professeur à Stanford (Californie), analyse ainsi la stratégie républicaine : «Seule la guerre des cultures peut nous faire gagner. Sur l'Irak, on perd. Sur l'économie, on perd. Mais en caricaturant “l'altérité” d'un candidat nommé Barack Obama, on a une chance d'arracher la victoire.» Dans le Washington Post, Dan Balz «décode» le message : «Il y a quelque chose de sinistre à propos d'Obama.» Les démocrates ne se font pas d'illusion sur le sens profond de ces attaques : «Il y a mille raisons de voter pour Obama et une raison de voter contre, la race», estime l'élu de Pennsylvanie Thimothy Letson. Dans les sondages, 83 % des Américains assurent que la couleur de peau ne joue aucun rôle dans leur choix. Mais une étude de l'université de Stanford évalue l'écart potentiel entre les déclarations des sondés et leur vote à 6 % des voix, pratiquement l'avance actuelle d'Obama. C'est «l'effet Bradley», du nom d'un candidat noir au poste de gouverneur de Californie en 1982, qui avait perdu de justesse alors que les sondages le donnaient gagnant. Dans le cas d'Obama, s'y ajoute une complication : 46 % des Américains sont incapables d'identifier sa religion et 13 % pensent qu'il est musulman.
McCain compte sur ces facteurs pour remonter le courant. Mais il prend garde de ne pas trop se découvrir. Jeudi, le candidat républicain a maintenu la «ligne rouge» tracée devant le nom de Jeremiah Wright, l'ancien pasteur d'Obama dont les diatribes «antiaméricaines» avaient fait polémique durant les primaires. Pressé par certains de l'inclure dans ses attaques, comme l'a déjà fait Sarah Palin, il s'y refuse au nom «du respect de la foi ». « Ce n'est pas à cause de la race», assure un de ses conseillers. L'inquiétude commence pourtant à percer sur les limites de sa stratégie : «J'aimerais que John ait un discours positif sur la résolution des problèmes de l'Amérique», dit son ami sénateur Lindsey Graham. D'autant que le matraquage tarde à porter ses fruits : le démocrate reste compétitif dans des États comme la Virginie et la Caroline du Sud, où la ségrégation était encore en vigueur il y a un demi-siècle. Et les attaques personnelles ont déclenché une riposte du même tonneau. En critiquant la réaction «erratique» de John McCain à la crise économique, Barack Obama rappelle implicitement à l'opinion le principal point faible du septuagénaire : son âge.
Source: Le Figaro
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Obama a l'avantage de tirer les enseignements de la politique locale alors Mccain essaie de draguer la classe conservatrice du aprtie
je pense étant temoin des dernieres elections au usa ou nous avions vu john kerry perd a cause des rumeurs sur son patriotisme ou heroisme
nous devons garder raison et souffle jusqua la derniere munite car l'amerique c'est pas l'europe et les priorites ne sont les mêmes
Les Humains naissent innocents; grandissent ignorances et meureunt amers de savoir