Décès de Demba Bathily de Jiida FM Dakar

[sumaarenkunda]

Denba baccili o da faatiyen mugu, alla gan na yanpa a maxa , a ga d'o saama kiite ke be harina a newondi ,na o da su taqen ña arjanna yi, n'a bada nsaqun newonde anmiina

[basa]

Bonjour,

Amine et qu'Allah ait pitié de lui et lui ouvre les portes du Paradis. C'est une vraie perte pour le sooninkaaxu et pour toute la communauté.

salam alleykoum fréres et soeur je présente mes condoléances à la famille du frére décedé Demba Bathily , qu'Allah l'accueil dans son paradis.

[diombanna]

paix a son ame et que la terre lui soit légère inchallah

[Fodyé Cissé]

Quand j'ai appris le décès de Demba Bathily, rédacteur en chef de Jiida FM Dakar, c'est comme si le ciel m'était tombé sur la tête. Quelle catastrophe! Au départ, je n'ai pas voulu y croire, en me disant non, ce n'est pas possible. ça ne pouvait pas être lui. C'est impossible. Un homme comme lui ne pouvait pas mourir de si tôt. Ce matin là (lundi 22 novembre 2010) à 11h (soit 12H à Paris), il assurait, comme d'habitude, sa revue de presse à la radio, et 3 heures après, il rendait l'âme, victime d'un accident de la circulation.

Au moment même où j'écris ces lignes, j'ai toujours du mal à croire que Demba n'est plus de ce monde. Un homme comme lui qui avait de l'ambition pour le Soninkaxu, qui se sacrifiat jour et nuit, matin, midi et soir pour la cause Soninké pouvait-il mourrir ? Non. Je me disais : peut-être que c'est une erreur, peut-être que je rêve.
Mais aujourd'hui, il faut bien que je me rende à l'évidence que cet évènement là n'était pas un mauvais rêve, que ce n'était pas un autre Demba Bathily qui est mort, mais bien le même, celui que tout le monde s'empressait d'écouter à 11h et à 19h, tous les jours, sur radio Jiida FM Dakar pour avoir la version Soninké de l'actualité.

Lorsqu'un ami m'appela ce lundi 22 novembre 2010 vers 21h pour me dire qu'apparemment, il se serait passé quelque chose de grave pour Demba. Je me suis dit non, ce n'est pas possible. Pas lui tout en ne voulant pas envisager tout de suite le pire. Je me suis empressé de contacter ses proches que je connaissais. C'est ainsi qu'aux alentours de 23h, j'eus finalement Abdoulaye Bomou, directeur de la radio Jiida FM Bakel qui me confirma la douloureuse nouvelle, celle que je ne voulais pas du tout imaginer: Oui, Demba Bathily est bien décédé aujourd'hui (lundi 22 novembre 2010) vers 14h20 des suites d'un accident de la circulation à Dakar. A ce moment là, je ne pouvais contenir mes larmes. Demba, mon ami est bien parti, à jamais.

Tout de suite, les images de Demba ont commencé à traverser ma mémoire. Je ne pouvais m'empêcher de penser à lui, à toutes les fois où on s'est vu, parlé.

Il y a juste une semaine seulement (lundi 15 novembre 2010) Demba et moi, communiquions sur Skype. Il me parla des journées culturelles que Jiida est entrain de préparer pour le mois de janvier 2011. Nous évoquions aussi d'autres sujets et projets planifiés pour être exécutés dans le futur, toujours en rapport avec la culture Soninké, avec la radio Jiida FM qui lui tenait tant à coeur.

Demba était cet infatigable pour la cause Soninké. Il ne ménageait jamais le moindre effort chaque fois qu'il savait que c'était pour la bonne cause, que c'était pour l'épanouissement de la langue et de la culture Soninké. Mais ce n'était pas sa seule qualité.

Demba était quelqu'un de bon, incontestablement. Et ça, je peux en témoigner. Je ne dis pas ça parce qu'il est décédé, mais parce que pour tout le temps que j'ai eu à le cotoyer, je voyais qu'il rendait toujours services à ses semblables sans rien demander en retour. Il faisait toujours attention de ne pas froisser les gens et ne leur manquait jamais de respect. Il restait toujours humble malgré toutes les qualités que tout le monde reconnaissait, unanimement, en lui. Demba faisait tous les jours des sacrifices pour le Soninkaxu. En exemple, quand il a appris que nous (Soninkara.com) préparions un thé-débat pour le samedi 4 décembre 2010, il m'a tout de suite contacté pour me faire la proposition suivante: "la radio est fermée entre 12h et 16h (13h et 17h, heure de Paris) ce jour là, mais exceptionnellement, je pourrai venir travailler au studio pour enregistrer votre débat et le faire passer un autre moment". Voilà comment il était, Demba: toujours prêt à sacrifier son temps, son argent pour rendre service à d'autres.

Demba dont la disparition est une énorme perte pour toute la communauté Soninké va laisser un grand vide, surtout à la radio Jiida où il était irremplaçable.

Son rappel à Dieu, de cette manière, ne peut être qu'une sentence divine. Prions Allah, l'Unique, le Miséricordieux pour qu'IL lui pardonne, le fasse entrer au Saint Paradis et l'elève au rang réservé aux plus vertueux. Amine.

Salut l'ami. Ta voix nous manque déjà.

[makalou]

Quand j'ai appris le décès de Demba Bathily, rédacteur en chef de Jiida FM Dakar, c'est comme si le ciel m'était tombé sur la tête. Quelle catastrophe! Au départ, je n'ai pas voulu y croire, en me disant non, ce n'est pas possible. ça ne pouvait pas être lui. C'est impossible. Un homme comme lui ne pouvait pas mourir de si tôt. Ce matin là (lundi 22 novembre 2010) à 11h (soit 12H à Paris), il assurait, comme d'habitude, sa revue de presse à la radio, et 3 heures après, il rendait l'âme, victime d'un accident de la circulation.

Au moment même où j'écris ces lignes, j'ai toujours du mal à croire que Demba n'est plus de ce monde. Un homme comme lui qui avait de l'ambition pour le Soninkaxu, qui se sacrifiat jour et nuit, matin, midi et soir pour la cause Soninké pouvait-il mourrir ? Non. Je me disais : peut-être que c'est une erreur, peut-être que je rêve.
Mais aujourd'hui, il faut bien que je me rende à l'évidence que cet évènement là n'était pas un mauvais rêve, que ce n'était pas un autre Demba Bathily qui est mort, mais bien le même, celui que tout le monde s'empressait d'écouter à 11h et à 19h, tous les jours, sur radio Jiida FM Dakar pour avoir la version Soninké de l'actualité.

Lorsqu'un ami m'appela ce lundi 22 novembre 2010 vers 21h pour me dire qu'apparemment, il se serait passé quelque chose de grave pour Demba. Je me suis dit non, ce n'est pas possible. Pas lui tout en ne voulant pas envisager tout de suite le pire. Je me suis empressé de contacter ses proches que je connaissais. C'est ainsi qu'aux alentours de 23h, j'eus finalement Abdoulaye Bomou, directeur de la radio Jiida FM Bakel qui me confirma la douloureuse nouvelle, celle que je ne voulais pas du tout imaginer: Oui, Demba Bathily est bien décédé aujourd'hui (lundi 22 novembre 2010) vers 14h20 des suites d'un accident de la circulation à Dakar. A ce moment là, je ne pouvais contenir mes larmes. Demba, mon ami est bien parti, à jamais.

Tout de suite, les images de Demba ont commencé à traverser ma mémoire. Je ne pouvais m'empêcher de penser à lui, à toutes les fois où on s'est vu, parlé.

Il y a juste une semaine seulement (lundi 15 novembre 2010) Demba et moi, communiquions sur Skype. Il me parla des journées culturelles que Jiida est entrain de préparer pour le mois de janvier 2011. Nous évoquions aussi d'autres sujets et projets planifiés pour être exécutés dans le futur, toujours en rapport avec la culture Soninké, avec la radio Jiida FM qui lui tenait tant à coeur.

Demba était cet infatigable pour la cause Soninké. Il ne ménageait jamais le moindre effort chaque fois qu'il savait que c'était pour la bonne cause, que c'était pour l'épanouissement de la langue et de la culture Soninké. Mais ce n'était pas sa seule qualité.

Demba était quelqu'un de bon, incontestablement. Et ça, je peux en témoigner. Je ne dis pas ça parce qu'il est décédé, mais parce que pour tout le temps que j'ai eu à le cotoyer, je voyais qu'il rendait toujours services à ses semblables sans rien demander en retour. Il faisait toujours attention de ne pas froisser les gens et ne leur manquait jamais de respect. Il restait toujours humble malgré toutes les qualités que tout le monde reconnaissait, unanimement, en lui. Demba faisait tous les jours des sacrifices pour le Soninkaxu. En exemple, quand il a appris que nous (Soninkara.com) préparions un thé-débat pour le samedi 4 décembre 2010, il m'a tout de suite contacté pour me faire la proposition suivante: "la radio est fermée entre 12h et 16h (13h et 17h, heure de Paris) ce jour là, mais exceptionnellement, je pourrai venir travailler au studio pour enregistrer votre débat et le faire passer un autre moment". Voilà comment il était, Demba: toujours prêt à sacrifier son temps, son argent pour rendre service à d'autres.

Demba dont la disparition est une énorme perte pour toute la communauté Soninké va laisser un grand vide, surtout à la radio Jiida où il était irremplaçable.

Son rappel à Dieu, de cette manière, ne peut être qu'une sentence divine. Prions Allah, l'Unique, le Miséricordieux pour qu'IL lui pardonne, le fasse entrer au Saint Paradis et l'elève au rang réservé aux plus vertueux. Amine.

Salut l'ami. Ta voix nous manque déjà.

Salam,
J'imagine ta douleur. Y a des décès qui marquent. Moi, même je ne cesse de voir ses images défilées. En effet, Jeune on l'appelait nous " Touré " à travers ses productions théâtrales pour éveiller les consciences face à l'immigration clandestine, les faux marabouts, les coxeurs...

A Dieu, nous appartenons, à Dieu nous retournerons ! Qu'Allah lui accorde le paradis !

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Quand j'ai appris le décès de Demba Bathily, rédacteur en chef de Jiida FM Dakar, c'est comme si le ciel m'était tombé sur la tête. Quelle catastrophe! Au départ, je n'ai pas voulu y croire, en me disant non, ce n'est pas possible. ça ne pouvait pas être lui. C'est impossible. Un homme comme lui ne pouvait pas mourir de si tôt. Ce matin là (lundi 22 novembre 2010) à 11h (soit 12H à Paris), il assurait, comme d'habitude, sa revue de presse à la radio, et 3 heures après, il rendait l'âme, victime d'un accident de la circulation.

Au moment même où j'écris ces lignes, j'ai toujours du mal à croire que Demba n'est plus de ce monde. Un homme comme lui qui avait de l'ambition pour le Soninkaxu, qui se sacrifiat jour et nuit, matin, midi et soir pour la cause Soninké pouvait-il mourrir ? Non. Je me disais : peut-être que c'est une erreur, peut-être que je rêve.
Mais aujourd'hui, il faut bien que je me rende à l'évidence que cet évènement là n'était pas un mauvais rêve, que ce n'était pas un autre Demba Bathily qui est mort, mais bien le même, celui que tout le monde s'empressait d'écouter à 11h et à 19h, tous les jours, sur radio Jiida FM Dakar pour avoir la version Soninké de l'actualité.

Lorsqu'un ami m'appela ce lundi 22 novembre 2010 vers 21h pour me dire qu'apparemment, il se serait passé quelque chose de grave pour Demba. Je me suis dit non, ce n'est pas possible. Pas lui tout en ne voulant pas envisager tout de suite le pire. Je me suis empressé de contacter ses proches que je connaissais. C'est ainsi qu'aux alentours de 23h, j'eus finalement Abdoulaye Bomou, directeur de la radio Jiida FM Bakel qui me confirma la douloureuse nouvelle, celle que je ne voulais pas du tout imaginer: Oui, Demba Bathily est bien décédé aujourd'hui (lundi 22 novembre 2010) vers 14h20 des suites d'un accident de la circulation à Dakar. A ce moment là, je ne pouvais contenir mes larmes. Demba, mon ami est bien parti, à jamais.

Tout de suite, les images de Demba ont commencé à traverser ma mémoire. Je ne pouvais m'empêcher de penser à lui, à toutes les fois où on s'est vu, parlé.

Il y a juste une semaine seulement (lundi 15 novembre 2010) Demba et moi, communiquions sur Skype. Il me parla des journées culturelles que Jiida est entrain de préparer pour le mois de janvier 2011. Nous évoquions aussi d'autres sujets et projets planifiés pour être exécutés dans le futur, toujours en rapport avec la culture Soninké, avec la radio Jiida FM qui lui tenait tant à coeur.

Demba était cet infatigable pour la cause Soninké. Il ne ménageait jamais le moindre effort chaque fois qu'il savait que c'était pour la bonne cause, que c'était pour l'épanouissement de la langue et de la culture Soninké. Mais ce n'était pas sa seule qualité.

Demba était quelqu'un de bon, incontestablement. Et ça, je peux en témoigner. Je ne dis pas ça parce qu'il est décédé, mais parce que pour tout le temps que j'ai eu à le cotoyer, je voyais qu'il rendait toujours services à ses semblables sans rien demander en retour. Il faisait toujours attention de ne pas froisser les gens et ne leur manquait jamais de respect. Il restait toujours humble malgré toutes les qualités que tout le monde reconnaissait, unanimement, en lui. Demba faisait tous les jours des sacrifices pour le Soninkaxu. En exemple, quand il a appris que nous (Soninkara.com) préparions un thé-débat pour le samedi 4 décembre 2010, il m'a tout de suite contacté pour me faire la proposition suivante: "la radio est fermée entre 12h et 16h (13h et 17h, heure de Paris) ce jour là, mais exceptionnellement, je pourrai venir travailler au studio pour enregistrer votre débat et le faire passer un autre moment". Voilà comment il était, Demba: toujours prêt à sacrifier son temps, son argent pour rendre service à d'autres.

Demba dont la disparition est une énorme perte pour toute la communauté Soninké va laisser un grand vide, surtout à la radio Jiida où il était irremplaçable.

Son rappel à Dieu, de cette manière, ne peut être qu'une sentence divine. Prions Allah, l'Unique, le Miséricordieux pour qu'IL lui pardonne, le fasse entrer au Saint Paradis et l'elève au rang réservé aux plus vertueux. Amine.

Salut l'ami. Ta voix nous manque déjà.

Fodyé, merci d'avoir apporté ce témoignage au sujet du soldat infatigable qu'était Demba Bathily. Tous les témoignages faits à hue et à dia à son sujet disent la même chose : L'homme était bon, courtois, agréable, travailleur et profondément engagé pour la cause du sooninkaaxu. D'ailleurs, un autre homme engagé comme toi et lui, à savoir Ousmane Bocar Diagana ne s'est pas fait faute de louer les qualités de feu Demba.

Quelle grande perte pour la communauté soninkée de gajaaga, de gidinme, de jaahunu et des quatre coins du monde soninkée.

Outre le rôle éminemment culturel, pédagogique, éducatif, social que jouait feu Demba BATHILY qui nous quitte à la fleur de l'âge, sans crier gare (telle est la volonté d'ALLAH, et c'était écrit que son dernier acte devait être au service de ce à quoi il a toujours cru: la promotion et le développement de la langue et de la culture soninkée; cela rappelle étrangement un certain Yakhouba DIAGANA décédé dans les locaux de l'APS en 1990 au service de SOONINKAAXU); Demba BATHILY était un humaniste, un altruiste, un être sans problème. J'ai eu l'insigne honneur de le rencontrer à Dakar, dans les locaux de JIIDA FM, lorsqu'au nom de l'APS et de SOONINKAAXU, j'avais été invité à participer à une émission consacrée à feu Ousmane Moussa DIAGANA dit Dembo, qu'ALLAH, dans Sa grande miséricorde leur ouvre à eux tous et à tous nos morts les portes de Son paradis éternel, amine. Il m'a mis tellement à l'aise que je n'ai pas vu le temps passer alors que j'appréhendais cette émission et avais un trac fou. Thiondy MANGASSOUBA qui devait coordonner cette émission n'a pas pu y assister, empêché hélas par un décès dans sa famille qui l'avait obligé immédiatement à aller à Boki DIAWE.

Ainsi va la vie. Qu'ALLAH lui accorde une place de choix dans Son paradis parmi Ses illustres fidèles, que son âme repose en paix, que la terre lui soit légère. Nos condoléances à toute sa famille, à Thiondi MANGASSOUBA, à toute l'équipe de JIIDA FM Daker et Bakel, et à toute la communauté soninkée des quetre coins du monde.

Ar na xafari a da na a xabuburun noore, na a abadan saqun newondi, a sadaxan labo, a sadaxan mondo, ar na a dallandi o kittun di, ar na a do i kaman naxan gemundi, a ga da o saama kiite be, ar na a newondi a da, ar na à jaatigi na faaren wa, na a tuuma ka na alijanna ya. Ar na barke ro toxohoonun di.

Inna lillaahi wa inna ilayhi raajioun,

O dune ti alla gollun wa.

Ousmane Bocar DIAGANA
Montmagny en région parisienne

[ROUMBALOVE]

Fodyé ton témoignage est vraiment touchant

Mes sincères condoléances à la famille! Que Dieu puisse l'accueillir dans son vaste paradis. Amine

[Hadiya WAGUE]

Fodyé Merci pour ce vibrant témoignage car sa voix raisonne jusqu’à présent au fond de mes pensées. Je ne cesse de penser à notre dernière rencontre du 07 Octobre 2010 avec Bakary Diakhité qui restera gravée pour toujours dans ma mémoire. Malgré son programme chargé, la veille de mon départ, il a aménagé son temps avec Bakary afin que nous puissions discuter du partenariat avec Soninkara.com et même au delà puisse que l’Homme ne souhaitait que l’émergence du Soninkaaxu. Comme à son habitude disponible pour tout ce qui relève des Soninkés. Il souhaitait une synergie de l’ensemble des acteurs ….Quelle triste nouvelle en ce début de semaine. Depuis 2003 après après avoir invité Soninkara.com sur les ondes de sa radio en direct de Dakar, l’Homme nous a toujours apporté son soutien et sa disponibilité.

Ke koota lagare be o ga da me wari o ga duwa me da ŋa « ALLAH ga nta yaxu haramu me ! » jaxa Allah kiiti ke ya Demba daga a lemnaxu. Maren sire, menja sire, sere sewonte, sere sire, Nuxurin xulle, Abada a ga fanxene do Soninkaaxu.

O wa duwana a yaxe da
O wa duwana a renmu da
O wa duwana a marenmu su da
O wa duwana a xabilla su da
O wa duwana Jiida Kafo su da
O wa duwana n faba Condi Mangasuba da
O wa duwana Bakari jaxite di kafo su da
O wa duwana Soninko su da

Allah ga na nema
Na a di kama naxa liŋondi
Na a jatigi ňa faare
Na Alijanna ňa a tuuman ka

A ga da renmu ku be toxo Allah ga ni xorondi
Allah ga na barke ri di
Allah ga ni tanga.

Amina ya râbi n kama !

[makalou]

Salam,
Par ailleurs, pour tous ceux qui veulent présenter les condoléances à sa famille. Son village ( Aroundou ) organise la présentation des condoléances au Foyer Romainville, sis Métro Télégraphe sur la Ligne 11. C'est prévu ce Samedi, après la prière de " Salifana ".

[makalou]

Nécrologie : Demba Bathily s’est éteint accidentellement, lundi
Demba Bathily, journaliste de formation et coordonnateur de la Radio communautaire Jiida Fm est décédé lundi dernier suite à un accident de circulation sur la Vdn, à Dakar.


Après sa formation en journalisme politique à Educatel, Demba Bathily a fait son stage à la radio Oxy-jeunes de Pikine avant d’atterrir à 7 Fm comme reporter. Après la fermeture de cette radio « suite à une brouille » entre les promoteurs, il va donner un coup de main au personnel de Jiida Fm qui venait de démarrer ses programmes avant d’en être nommé coordonnateur, fonction qu’il a occupée jusqu’à son rappel à Dieu, lundi dernier, après avoir présenté le journal de 11 h 45 mn.

Ferloo