Je ne sais pas s'il aurait dit la même chose si c'était les églises qui étaient remplies à craquer au point que les fidèles prient dans les rues ?
- Ils ne veulent pas que l'Etat contribue à la construction des lieux de cultes comme les mosquées sous prétexte que la loi sur la laïcité l'interdit.
- Ils ne veulent pas voir les mosquées et leurs minarets pulluler dans leurs villes pour des raisons esthétiques.
- Ils ne veulent pas voir non plus de fidèles musulmans prier sur les trottoirs lorsque les mosquées de fortune qui devaient les accueillir sont pleines à craquer.
- Pendant ce temps là, les églises, elles, petites ou énormes, sont désertes. Certaines sont devenues des monuments que les touristes visitent.
Tout esprit cartésien devrait se poser, là, une question.
Mais, de toute façon, comme j'ai eu à le dire précédemment, toutes ces petites phrases, les mots qui les composent, même les ponctuations sont minutieusement choisies pour des raisons de politique politicienne, pour des raisons électoralistes.