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  • Esclavage en milieu soninké : Des pratiques qui ont la peau dure

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Discussion: Esclavage en milieu soninké : Des pratiques qui ont la peau dure

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  1. 22/08/2007, 23h35 #1
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    Par défaut Esclavage en milieu soninké : Des pratiques qui ont la peau dure

    La Presse: Esclavage en milieu soninké : Des pratiques qui ont la peau dure
    Posté le 22 August 2007 à 16:13:02 CEST
    Sujet: L'esclavage existe encore ! 22 août 2007 : Esclavage en milieu soninké : Des pratiques qui ont la peau dure
    Dans un document qui a fait beaucoup de remous dans le milieu soninké des intellectuels emboîtent le pas aux parlementaires qui avaient soulevé le problème récemment à l’assemblée et passent au peigne fin la pratique de l’esclavage au sein de cette communauté.

    Ce groupe de cadres se compose de : Dr Demba Marico, maître de conférences à l’Université de Nouakchott, Ladji Traoré, Secrétaire Général de l’APP, Dr Wolo Coulibali, Médecin au CHN, Adama Kanouté, Infirmier d’Etat, Boully Traoré, Moniteur de l’économie rurale, Tombo Mamadou Aly, Ingénieur de l’économie rurale et Adama Cissokho, Maître en chimie.

    Le document souligne d’emblée que l’existence de l’esclavage et des pratiques similaires en milieu négromauritanien n’est que très peu évoquée. Le sujet est sensible et alors presque tabou. Pourtant, ces sociétés sont extrêmement esclavagistes et profondément stratifiées. En milieu soninké du Guidimaka, les pratiques esclavagistes sont manifestes et se rencontrent dans le domaine social, économique, politique, religieux et même social.


    Ce document n’est pas exhaustif mais se veut une contribution à la connaissance de l’esclavage et des pratiques esclavagistes en milieu soninké. Dans la société soninké, les noms de famille sont un premier indicateur du statut social. Tous les noms de famille à consonance bambara comme Traoré, Diarra, Coulibaly, etc. sont assimilés à des esclaves ou des descendants d’esclaves, même si nombre de familles n’ont jamais connu la servitude.

    Par ailleurs, si aucun maître n’ose faire travailler son esclave sans son consentement au Fouta, ce dernier reste encore soumis, chez les Soninké, au service de son maître. A Agoueïnit, par exemple, un maître continue à faire travailler ses esclaves notamment dans les travaux agricoles en période d’hivernage jusqu’à la fin des années 90. Ces esclaves aujourd’hui libres, continuent pour certains d’entre eux à cultiver pour leurs anciens maîtres. Ainsi, le type de relation qui se rétablit entre maître et esclave est profondément enraciné et, très souvent, les personnes tenues en esclavage dans le passé et leurs descendants continuent à être victimes de discrimination dans tous les cas, l’esclave ou son descendant continue à vivre dans la marginalité sociale et politique. Il y a une véritable discrimination fondée sur le statut social.

    Au niveau social, ils ne sont jamais associés aux décisions du village et se contentent plutôt de les exécuter. Au niveau politique, les dernières élections municipales et législatives ont mis à nu le système social au Guidimakha. Le pouvoir politique se confond avec la chefferie traditionnelle. Ne peuvent être maires ou députés que les candidats issus de familles régnantes. Les descendants d’esclaves et les artisans sont exclus du jeu politique.

    Cette logique a engendré des situations conflictuelles dans plusieurs localités notamment à Sélibaby, Bouanze, Boully et Diadié Biné où des descendants d’esclaves et des artisans ont brigué les différents postes électifs. Le pouvoir politique, en l’occurrence celui de Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya, qui a toujours nié l’existence de l’esclavage, s’est fortement appuyé sur cette hiérarchie sociale esclavagiste pour promouvoir les cadres de la société soninké.

    Au niveau religieux, un descendant d’esclave ou un artisan ne peut prétendre être imam ou simplement diriger une prière même s’il est un érudit. Par contre, un descendant de marabout même s’il est analphabète a le droit de diriger la prière. La ségrégation dans l’ espace villageois est flagrante. L’un des goulots d’étranglement en milieu soninké est l’existence dans tous les villages de quartiers pour nobles (au centre du village) et de quartiers pour esclaves (à la périphérie), de mosquées pour nobles et de mosquées pour esclaves et jusqu’à très récemment de cimetières pour nobles et cimetières pour esclaves.

    Comme on le voit, cette organisation spatiale des villages soninké perpétue les pratiques esclavagistes et permet le maintien de la structure sociale dans son état. Néanmoins, dans les nouveaux quartiers, cette organisation spatiale n’apparaît pas. En conclusion, les auteurs du document notent sans détour que la société soninké est sans doute la plus esclavagiste de Mauritanie. De ce fait, ils font des propositions en vue de l’éradication de l’esclavage et des pratiques esclavagistes. Pour eux, il faut d’abord lever les obstacles juridiques et religieux en ce sens que les ulémas soninkés maintiennent la confusion.

    Dans le domaine politique, l’Etat doit donner le bon exemple en posant les jalons de l’égalité de tous les citoyens devant la loi comme promulguée dans la constitution. Il doit promouvoir les cadres en fonction de leurs compétences à défaut d’une discrimination positive comme suggérée par certains.

    Au plan économique, les mesures suivantes sont indispensables à savoir des allocations financières pour les anciens esclaves, des activités génératrices de revenus, des sessions de formation à des métiers valorisants et des terres de culture pour les anciens esclaves. Au niveau spatial, la ségrégation a la peau dure note le document. Malheureusement, tant qu’il y aura des quartiers, des mosquées et des cimetières séparés, les pratiques esclavagistes vont perdurer en milieu soninké. L’Etat se doit dans le cadre de la décentralisation, de la modernisation de l’administration et de l’aménagement du territoire de trouver la solution la plus adéquate.

    Par exemple, attribuer des noms aux différents quartiers qui ne font pas référence au statut de ceux qui les habitent. Enfin, la sensibilisation s’avère nécessaire car elle demeure la cheville ouvrière de ce travail d’éradication. Elle est la responsabilité de tous : Etat, partis politiques, société civile, leaders locaux, ulémas, etc. car une loi fut-elle pertinente n’a de valeur que si elle est vulgarisée et connue de tous, conclut le document.


    Bakari Guèye
    Note: Info source : Nouakchott Info
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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  2. 23/08/2007, 00h30 #2
    Fodyé Cissé
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    Eh bin !
    Cet article parle de beaucoup de réalités, mais, un peu exagéré à mon goût. Dans beaucoup d'autres villages en milieu Soninké, le komaaxu et le horaaxu, ça n'a rien à avoir avec tout ce que dit cet article; c'est devenu comme du laadalenmaxu . Quand les Komo ont un mariage, ce sont les hooro qui vont faire la cuisine pour les Komo et vice-versa. Idem pour la récolte du mil, du riz, etc.

    De plus, dans le domaine politique, nous avons vu des descendants de komo occuper des postes de maires, conseillers municipaux, chefs de quartiers, etc. (toujours en milieu Soninké).

    De même, dans le milieu associatif, les compétences sont les premiers critères de choix des dirigeants dans beaucoup de villages Soninké comme Waoundé.

    Seul le pouvoir spirituel semble être plus fermé, mais, cela ne concerne pas seulement les Komo quand ils disent "Au niveau religieux, un descendant d’esclave ou un artisan ne peut prétendre être imam ou simplement diriger une prière même s’il est un érudit. Par contre, un descendant de marabout même s’il est analphabète a le droit de diriger la prière". Dans beaucoup de villages Soninké, quand on est ñaxamala, même si on esr un érudit en Islam, ils préfèreront que ce soit le petit fils de l'Imam qui dirige la prière, même s'il ne connaît que 3 sourates de tout le coran.

    Je pense que fondamentalement, tout le problème vient du fait que la société Soninké est fortement hierarchisée, avec des castes mutuellement opposées. Chaque caste joue son rôle dans la société, mais les rôles ne sont pas égaux. Contrairement à d'autres ethnies, chez les Soninké, les komo font partie intégrante de la société Soninké tout comme les ñaxamala, les hooro. Ces rôles que l'on peut qualifier de rôles de servitude n'ont pas disparu dans nos villages avec le temps, mais, en faisant la petite comparaison ci-dessus, je n'ai aucun doute qu'en donnant du temps au temps, que tout cela va finir par changer.
    Dernière modification par Fodyé Cissé 23/08/2007 à 00h32
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    Sooninko, Soninkara.com est notre village "virtuel " Soninké où il y fait bon vivre, communiquer, échanger. L'Hospitalité, le respect et la solidarité sont nos valeurs. - Laisse parler les gens ... On s'en fout! - Les Chiens aboient .... la caravane passe toujours !

    http://www.waounde.com

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  3. 23/08/2007, 00h31 #3
    Lassana Bathily
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    Citation Posté par Cheikhna Mouhamed WAGUE Voir le message
    La Presse: Esclavage en milieu soninké : Des pratiques qui ont la peau dure
    Posté le 22 August 2007 à 16:13:02 CEST
    Sujet: L'esclavage existe encore ! 22 août 2007 : Esclavage en milieu soninké : Des pratiques qui ont la peau dure
    Dans un document qui a fait beaucoup de remous dans le milieu soninké des intellectuels emboîtent le pas aux parlementaires qui avaient soulevé le problème récemment à l’assemblée et passent au peigne fin la pratique de l’esclavage au sein de cette communauté.

    Ce groupe de cadres se compose de : Dr Demba Marico, maître de conférences à l’Université de Nouakchott, Ladji Traoré, Secrétaire Général de l’APP, Dr Wolo Coulibali, Médecin au CHN, Adama Kanouté, Infirmier d’Etat, Boully Traoré, Moniteur de l’économie rurale, Tombo Mamadou Aly, Ingénieur de l’économie rurale et Adama Cissokho, Maître en chimie.

    Le document souligne d’emblée que l’existence de l’esclavage et des pratiques similaires en milieu négromauritanien n’est que très peu évoquée. Le sujet est sensible et alors presque tabou. Pourtant, ces sociétés sont extrêmement esclavagistes et profondément stratifiées. En milieu soninké du Guidimaka, les pratiques esclavagistes sont manifestes et se rencontrent dans le domaine social, économique, politique, religieux et même social.


    Ce document n’est pas exhaustif mais se veut une contribution à la connaissance de l’esclavage et des pratiques esclavagistes en milieu soninké. Dans la société soninké, les noms de famille sont un premier indicateur du statut social. Tous les noms de famille à consonance bambara comme Traoré, Diarra, Coulibaly, etc. sont assimilés à des esclaves ou des descendants d’esclaves, même si nombre de familles n’ont jamais connu la servitude.

    Par ailleurs, si aucun maître n’ose faire travailler son esclave sans son consentement au Fouta, ce dernier reste encore soumis, chez les Soninké, au service de son maître. A Agoueïnit, par exemple, un maître continue à faire travailler ses esclaves notamment dans les travaux agricoles en période d’hivernage jusqu’à la fin des années 90. Ces esclaves aujourd’hui libres, continuent pour certains d’entre eux à cultiver pour leurs anciens maîtres. Ainsi, le type de relation qui se rétablit entre maître et esclave est profondément enraciné et, très souvent, les personnes tenues en esclavage dans le passé et leurs descendants continuent à être victimes de discrimination dans tous les cas, l’esclave ou son descendant continue à vivre dans la marginalité sociale et politique. Il y a une véritable discrimination fondée sur le statut social.

    Au niveau social, ils ne sont jamais associés aux décisions du village et se contentent plutôt de les exécuter. Au niveau politique, les dernières élections municipales et législatives ont mis à nu le système social au Guidimakha. Le pouvoir politique se confond avec la chefferie traditionnelle. Ne peuvent être maires ou députés que les candidats issus de familles régnantes. Les descendants d’esclaves et les artisans sont exclus du jeu politique.

    Cette logique a engendré des situations conflictuelles dans plusieurs localités notamment à Sélibaby, Bouanze, Boully et Diadié Biné où des descendants d’esclaves et des artisans ont brigué les différents postes électifs. Le pouvoir politique, en l’occurrence celui de Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya, qui a toujours nié l’existence de l’esclavage, s’est fortement appuyé sur cette hiérarchie sociale esclavagiste pour promouvoir les cadres de la société soninké.

    Au niveau religieux, un descendant d’esclave ou un artisan ne peut prétendre être imam ou simplement diriger une prière même s’il est un érudit. Par contre, un descendant de marabout même s’il est analphabète a le droit de diriger la prière. La ségrégation dans l’ espace villageois est flagrante. L’un des goulots d’étranglement en milieu soninké est l’existence dans tous les villages de quartiers pour nobles (au centre du village) et de quartiers pour esclaves (à la périphérie), de mosquées pour nobles et de mosquées pour esclaves et jusqu’à très récemment de cimetières pour nobles et cimetières pour esclaves.

    Comme on le voit, cette organisation spatiale des villages soninké perpétue les pratiques esclavagistes et permet le maintien de la structure sociale dans son état. Néanmoins, dans les nouveaux quartiers, cette organisation spatiale n’apparaît pas. En conclusion, les auteurs du document notent sans détour que la société soninké est sans doute la plus esclavagiste de Mauritanie. De ce fait, ils font des propositions en vue de l’éradication de l’esclavage et des pratiques esclavagistes. Pour eux, il faut d’abord lever les obstacles juridiques et religieux en ce sens que les ulémas soninkés maintiennent la confusion.

    Dans le domaine politique, l’Etat doit donner le bon exemple en posant les jalons de l’égalité de tous les citoyens devant la loi comme promulguée dans la constitution. Il doit promouvoir les cadres en fonction de leurs compétences à défaut d’une discrimination positive comme suggérée par certains.

    Au plan économique, les mesures suivantes sont indispensables à savoir des allocations financières pour les anciens esclaves, des activités génératrices de revenus, des sessions de formation à des métiers valorisants et des terres de culture pour les anciens esclaves. Au niveau spatial, la ségrégation a la peau dure note le document. Malheureusement, tant qu’il y aura des quartiers, des mosquées et des cimetières séparés, les pratiques esclavagistes vont perdurer en milieu soninké. L’Etat se doit dans le cadre de la décentralisation, de la modernisation de l’administration et de l’aménagement du territoire de trouver la solution la plus adéquate.

    Par exemple, attribuer des noms aux différents quartiers qui ne font pas référence au statut de ceux qui les habitent. Enfin, la sensibilisation s’avère nécessaire car elle demeure la cheville ouvrière de ce travail d’éradication. Elle est la responsabilité de tous : Etat, partis politiques, société civile, leaders locaux, ulémas, etc. car une loi fut-elle pertinente n’a de valeur que si elle est vulgarisée et connue de tous, conclut le document.

    Bakari Guèye
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    Je ne suis pas tres bien placé pour repondre à ce message car je n'ai jamais vecu en mauritanie,mais si cet article est fiable ce serait une aberration de voir mosquée pour nobles,mosquée pour esclaves, cimetiere pour nobles,cimetiere pour esclaves..........
    On sait que l'esclavage a existé dans tout soninkara par le passé mais de nos jours elle n'existe que de nom en tout cas pour ce qui est de mon village.
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    les ames les plus sensibles aux fleurs sont egalement celles les plus sensibles aux epines
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  4. 23/08/2007, 00h44 #4
    Fodyé Cissé
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    Citation Posté par Lassana Bathily Voir le message
    Je ne suis pas tres bien placé pour repondre à ce message car je n'ai jamais vecu en mauritanie,mais si cet article est fiable ce serait une aberration de voir mosquée pour nobles,mosquée pour esclaves, cimetiere pour nobles,cimetiere pour esclaves..........
    On sait que l'esclavage a existé dans tout soninkara par le passé mais de nos jours elle n'existe que de nom en tout cas pour ce qui est de mon village.
    Oui, et surtout que ces villages-là n'ont pas attendu la promulgation d'une quelconque loi pour changer.
    A mon avis, on devrait faire plus de sensibilisation pour résoudre ce problème et promulguer des lois pour des cas plus graves où des individus sont séquestrés et utilisés comme esclaves dans le vrai sens du terme.
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    Sooninko, Soninkara.com est notre village "virtuel " Soninké où il y fait bon vivre, communiquer, échanger. L'Hospitalité, le respect et la solidarité sont nos valeurs. - Laisse parler les gens ... On s'en fout! - Les Chiens aboient .... la caravane passe toujours !

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  5. 23/08/2007, 07h06 #5
    Ibrahim Soukouna
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    Salam,
    En effet le Guidimaka fait parti des région hyper traditionnaliste du monde soninké de nos jours.
    Un jour en regardant la télévision Mauritanienne avec mes oncles,ils étaient épaté en voyant des rites traditionel de leurs enfance qui ont presque disparu chez nous,toujours d'actualité labas.

    Et j'avais déjà entendu parler que chez eux(même à l'étranger) la hiérarchie était toujours stricte,être dirigeant ne se mérite pas(comme de nos jours) il s'hérite(comme dans le passé)

    Mais c'est presque la même chose chez nous car notre région ne vaut pas mieux qu' eux.

    Exemple quand les blancs venaient cherché des hommes pour faire la guerre beaucoup(attention je n'ai pas généralisé) mais beaucoup ont donné leurs komo à leurs places

    Et pour l'instruction c'est pareil les gens avait peur de donné leurs enfants au blanc pour aller faire l'école,à la place ils donnaient les enfants de leurs komo,mais maintenant beaucoup de ses enfants on pris le deçu sur les leurs en atteignant des poste élevé et en étant haut placé.
    Le dirigeant dirigé,qui est le vrai dirigeant

    Pour ma part tous ceci n'a plus aucun sens
    L'origine de l'esclavage c'est la querelle et tu peux dire par exemple que tu es hooré et prendre tes grands airs mais n'oublie pas que pendant les guerre que tes ancêtre ont mené dans le passé,même si ils ont fait plusieurs conquête en capturant certains esclave à tu pensé que leurs frères sont aussi tombé au mains de leurs énnemie??
    Eh oui pourquoi remarque tu et comment explique tu que beaucoup de noms de famille et notamment le tiens son noble chez toi mais komé ailleurs


    Tous ceci n'a plus aucun sens.
    Dernière modification par Ibrahim Soukouna 23/08/2007 à 16h36
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    Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
    http://www.hisnulmuslim.com/index-pa...6-lang-fr.html
    Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
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  6. 23/08/2007, 09h04 #6
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    Bonjour les soninkaranautes !

    Je trouve aussi l’argumentaire développé à travers cet article exagéré, passéiste et même irréaliste par moment. S’il est vrai que d’un point de vue matrimonial et religieux les choses n’ont réellement pas bougé, il n’en demeure pas moins qu’il est faux et inexact de dire que la société soninkée est la plus esclavagiste du pays. Rien n’est plus faux qu’un tel argument. J’étais stupéfait de voir un sujet aussi brillant que le géographe Demba Marico valider un tel tableau fantoche et faux de la société soninkée.

    Les gens parlent comme si nous étions au 17e siècle. S'agissant de l’imamat, les gens doivent aussi se dire que ce n’est en réalité pas une façon de les écarter. Cela est dû au fait que la société a toujours assigné à chaque catégorie un rôle social qu’elle assumait. Fodyé le dit très bien dans son post. C’est pourquoi, les hooro sont presque toujours les seuls à avoir voix au chapitre dans ce domaine. Les nâxamalo et les descendants des anciens komo, eux aussi, ont un rôle social non négligeable dans la société : la médiation entre les familles, etc…

    Les gens sont encore plus irréalistes quand ils disent qu’à défaut d’une discrimination positive en leur faveur, ils veulent que l’Etat soit juste entre tous les citoyens. Si le dernier point est légitime, il est absolument irréaliste de parler de discrimination positive, quand on sait que nous avons tous fréquenté les mêmes établissements et que tout le monde travaille pour son propre compte. Je pense qu’à ce niveau, les gens cherchent, de façon malhonnête et injuste, une ascension sociale, politique et professionnelle. C’est une injustice qu’ils demandent à la justice de leur accorder. Quel irréalisme !

    En plus, ils occultent, dans ce document, des réalités sociologiques contemporaines qu’ils ne sont pas sans connaître. En aucun moment, ils ne parlent de l’exploitation des hooro par les komo. Je m’explique : nombreux sont ceux qui contestent leur komaaxu par-ci et par-là qui n’hésiteront pas à porter le manteau de ce même komaaxu lors des circonstances sociales heureuses (fêtes, mariages, dation des prénoms) ou malheureuses (décès, etc.), question d’avoir droit aux cadeaux en jeu. J’appelle cela, sans langue de bois, de l’exploitation malhonnête des hooro et de l'hypocrisie sociale. Et pourtant, les auteurs de ce document connaissent bien cette réalité mais n’en parlent pas. Quand on veut s'attaquer à une question la moindre des choses, c'est d'être audacieux et de dire tout. Mais ils se mettent en position d'eternelles victimes, en occultant ce qui ne les arrange pas. Et ben, c'est intellectuellement et socialement malhonnête.

    Quoi qu’il en soit, j’attends le document, dans son intégralité, et je compte, s'il plaît à Allah, y répondre point par point. J’enverrai la réponse au pays pour qu’elle soit publiée dans les colonnes du même journal. Enfin, je tiens à dire que je ne défends aucune tendance, mais la vérité toute nue. Bien à tout le monde.
    __________________
    Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 19/11/2007 à 13h44
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  7. 23/08/2007, 09h37 #7
    Ibrahim Soukouna
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    Citation Posté par Ibrahim Soukouna Voir le message
    Salam,
    En effet le Guidimaka fait parti des région hyper traditionnaliste du monde soninké de nos jours.
    Un jour en regardant la télévision Mauritanienne avec mes oncles,ils étaient épaté en voyant des rites traditionel de leurs enfance qui ont presque disparu chez nous,toujours d'actualité labas.

    Et j'avais déjà entendu parler que chez eux(même à l'étranger) la hiérarchie était toujours stricte,être dirigeant ne se mérite pas(comme de nos jours) il s'hérite(comme dans le passé)

    Mais c'est presque la même chose chez nous car notre région ne vaut pas mieux qu' eux.

    Exemple quand les blancs venaient cherché des hommes pour faire la guerre beaucoup(attention je n'ai pas généralisé) mais beaucoup ont donné leurs komo à leurs places

    Et pour l'instruction c'est pareil les gens avait peur de donné leurs enfants au blanc pour aller faire l'école,à la place ils donnaient les enfants de leurs komo,mais maintenant beaucoup de ses enfants on pris le deçu sur les leurs en atteignant des poste élevé et en étant haut placé.
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    Pour ma part tous ceci n'a plus aucun sens
    L'origine de l'esclavage c'est la querelle et tu peux dire par exemple que tu es komé et prendre tes grands airs mais n'oublie pas que pendant les guerre que tes ancêtre ont mené dans le passé,même si ils ont fait plusieurs conquête en capturant certains esclave à tu pensé que leurs frères sont aussi tombé au mains de leurs énnemie??
    Eh oui pourquoi remarque tu et comment explique tu que beaucoup de noms de famille et notamment le tiens son noble chez toi mais komé ailleurs


    Tous ceci n'a plus aucun sens.

    C'est vrai qu'en réfléchissant à tous ce que vous avez dit et en relisant bien, ça a l'air un peu louche tous ça.
    Je pense que les responsable de ses informations ont des explication à nous donné!
    surtout sur cette parite:
    En conclusion, les auteurs du document notent sans détour que la société soninké est sans doute la plus esclavagiste de Mauritanie
    C'est impossible, tous le monde connait les vraix esclavagistes en Mauritannie.
    Dernière modification par Ibrahim Soukouna 23/08/2007 à 09h48
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    Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
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    Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
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  8. 23/08/2007, 12h21 #8
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    Citation Posté par Ibrahim Soukouna Voir le message
    En conclusion, les auteurs du document notent sans détour que la société soninké est sans doute la plus esclavagiste de Mauritanie
    C'est impossible, tous le monde connait les vraix esclavagistes en Mauritannie.
    En tout cas, les maures qui pratiquent l'esclavage au vrai sens du terme ne pouvaient pas espérer mieux que cette phrase dans les colonnes d'un grand journal quotidien de la place.
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  9. 23/08/2007, 14h47 #9
    mousscool
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    Asalam,
    on avait déjà débattu de sujets de ces genres.
    Pour ma part je les encourage dans leurs démarchent d'égalité entre HOORE et KOOMO,car heureusement qu'ils sont pas tous des komés.
    A chaque fois que je lis de post similaires on entend toujours les OUI MAIS..., soyons réalistes que même dans les baptêmes ou autres cérémonies où il y a lieu de récompenses,ces KOME sont rabaissés car ils vont même pas s'habiller pour fêter mais ils sont là au services de leurs hooro;s'ils ne viennent pas à cette cérémonie c'est
    encore pire car ils vont être sous leur pression directe ou indirecte, .....
    Donnez moi une liste de cadeaux des komé ou la +grande récompense d'un komé dans votre vie.; je peux parier sur tout ce que vous voulez mais on trouvera jamais des cadeaux tels ceux des Griots (diaaru) où on trouve des voitures,maison,diamant,..........comparés aux intestins des animaux,calebasses,pagne,noix de cola,bombons.............;
    Imaginez un jour,des années ou même des decenies de travail au services de quelqu'un et c'n'est pas à cause de Dieu (FISSABILLI'LLAH)....si ce n'est pas de l'exploitation donnez moi une définition svp.
    Cette révolte vient des gens qui le vivent ou qui l'ont vécus et ne peut venir des gens qui ont instaurés cette forme d'injustice.
    OUI il faut du temps mais entretemps ça fait des victimes qui n'ont autre choix que d'obeïr;il nous reste qu'à AGIR.
    RELIGIEUSEMENT :c'est la honte dans nos villages aujourd'8 on dirait qu'on lit pas le même Coran d'Allah (JWJ) ou les même Hadiths du Prophète(S.A.W).Sommes nous une secte en suivant nos passions ? Tout sauf Sunnâ.
    car les conditions pour être imam sont connues de tout musulman.
    Asalam aleykoum.
    Dernière modification par mousscool 23/08/2007 à 21h13
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    Les humains ne sont supérieurs les uns aux autres que par leur pièté et Seul Allah connait le plus pieux d'entre vous.Qu' à ne pas à vous mettre tous égaux ?
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  10. 23/08/2007, 14h58 #10
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    Citation Posté par mousscool Voir le message
    Asalam,
    on avait déjà débattu de sujets de ces genres.
    Pour ma part je les encourage dans leurs démarchent d'égalité entre HOORE et KOOMO,car heureusement qu'ils sont pas tous des komés.
    A chaque fois que je lis de post similaires on entend toujours les OUI MAIS..., soyons réalistes que même dans les baptêmes ou autres cérémonies où il y a lieu de récompenses,ces KOME sont rabaissés car ils vont même pas s'habiller pour fêter mais ils sont là au services de leurs hooro;s'ils ne viennent pas à cette cérémonie c'est
    encore pire car ils vont être sous leur pression directe ou indirecte, .....
    Donnez moi une liste de cadeaux des komé ou la +grande récompense d'un komé dans votre vie.; je peux parier sur tout ce que vous voulez mais on trouvera jamais des cadeaux tels ceux des Griots (diaaru) où on trouve des voitures,maison,diamant,..........comparés aux intestins des animaux,calebasses,pagne,noix de cola,bombons.............;
    Imaginez un jour,des années ou même des decenies de travail au services de quelqu'un et c'n'est pas à cause de Dieu (FISSALI'LLAH)....si ce n'est pas de l'exploitation donnez moi une définition svp.
    Cette révolte vient des gens qui le vivent ou qui l'ont vécus et ne peut venir des gens qui ont instaurés cette forme d'injustice.
    OUI il faut du temps mais entretemps ça fait des victimes qui n'ont autre choix que d'obeïr;il nous reste qu'à AGIR.
    RELIGIEUSEMENT :c'est la honte dans nos villages aujourd'8 on dirait qu'on lit pas le même Coran d'Allah (JWJ) ou les même Hadiths du Prophète(S.A.W).Sommes nous une secte en suivant nos passions ? Tout sauf Sunnâ.
    car les conditions pour être imam sont connues de tout musulman.
    Asalam aleykoum.
    Bonjour!

    Tu sais personne n'est contre qu'ils revendiquent l'égalité. Mais qu'ils soient au moins réalistes et justes dans leurs révendications, qu'ils n'aillent pas dire des choses pareilles juste pour plaire aux Maures, dans l'espoir d'être promus professionnellement. Ce n'est pas de cette façon qu'ils obtiendront gain de cause. Je m'en vais te reveler un secret : tous les signataires de ce document sont presque des gens qui ont galéré depuis le temps de Maouya et maintenant qu'ils ont vu un tant soit peu de changements dans le pays, ils n'ont trouvé d'autres solutions, d'autres astuces que de s'en prendre indûment aux hooro pour avoir des postes. C'est tout. Je les connais tous. Si le document était réaliste, moi je l'aurais signé sans hésiter. Mais là, que nenni!

    Sinon pourquoi parler d'une discrimination positive alors que tous les noirs mauritaniens n'ont pas droit à tout ce qu'ils ont droit en Mauritanie, alors qu'ils travaillent pour eux-mêmes et étudient dans les mêmes établissements que nous tous. Ils ont simplement assombri le tableau de la société soninkée pour espérer une main forte des Maures blancs, les plus grands esclavagistes du monde (Convergence Républicaine pour l'Instauration de la DEmocratie en Mauritanie - L'esclavage maure est trés agressif. ) Ils se trompent.

    Au sujet des cadeaux, je note et signe que nombreux sont les komo qui ne sont komo que pendant les mariages, les impositions des prénoms etc, aprés ils se liguent contre la même pratique. Personne ne les y oblige. Ils s'y obtempérent parce qu'on leur donne des cadeaux en argent et en nature (pagnes, viandes, plats, etc..). S'ils ne portent pas leurs plus beaux habits, c'est parce qu'ils savent qu'ils y gagnent quelque chose. Que les gens arrêtent de se mettre tout le temps en situation de victime. Voilà.
    Ce texte n'a été fait que par opportunisme égoiste. C'est tout. Sans rancune du tout!
    Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 20/01/2008 à 15h49
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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