-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Merci de faire partager les histoires qui vous en fait sourire, reflechir, pleurer, ... j'ouvre le bal avec celle ci :
Ses joues étaient creuses et flasques et elle avait la peau sur les os. Mais cela ne l'empêchait surtout pas de réciter le Coran.
Toujours à veiller dans la salle de prière que Papa avait aménagé pour elle. Se baissant, se prosternant et levant les bras dans la prière. Elle était toujours comme ça, de l'aube au crépuscule et vice versa, elle ne connaissait pas l'ennui.
Quant à moi, j'étais une fana des revues de mode et des romans. J'adorais tellement les vidéos que mes fréquents voyages au magasin de location étaient devenu mon signe de reconnaissance. Comme ils disent, quand quelque chose commence à devenir une habitude, ça te colle à la peau comme une étiquette. Je négligeais mes responsabilités et la paresse résumait mes prières.
Une nuit, je venais tout juste d'éteindre le magnétoscope après avoir passé trois heures d'affilé devant la télé que l'appel du Muaddhin transperçait la calme nuit. Je me suis tranquillement blottie sous la couverture. J'ai entendue sa voix qui venait de la salle de prière.
- " Oui Noorah, tu as besoin de quelque chose? " ai- je dit. Elle réduit à néant mes plans.
- " Tu ne te couche pas avant d'avoir prié Fajr ! " Ahh... il reste encore une heure avant Fajr, ce n'est que le premier Adhaan ! Elle m'a appelé auprès d'elle avec ses gentils pincements.
Elle était toujours comme ça, même avant que la terrible maladie ne vienne lui embrumer l'esprit et ne la cloue au lit.
- " Hanan viens t'asseoir près de moi. " Je ne pouvais rien lui refuser, elle était si pure et sincère.
- " Oui Noorah ? "
- " Assois-toi ici s'il te plaît. "
- " OK, je m'assoies. Qu'est-ce qu'il y a ? "
Avec la plus belle des voix monocordes, elle commença à réciter:
{ Toute âme goûtera la mort. Mais c'est seulement au Jour de la Résurrection que vous recevrez votre entière rétribution... } [Sourate 3 - Verset 185 ]
Elle s'arrêta pensive. Puis, elle demanda :
- " Est-ce que tu crois en la mort ? "
- " Bien sûr que j'y croie. "
- " Est-ce que tu crois que tu devras rendre compte du moindre de tes actes, peu importe leurs tailles ? "
- " Bien sûr, mais Allah est Pardonneur et Miséricordieux et j'ai une longue vie devant moi. "
- " Arrête Hanan ...N’as-tu pas peur de la mort et de son imprévisibilité ? Prends le cas de Hind. Elle était plus jeune que toi mais elle est morte dans un accident de voiture. La même chose pour un tel, et un tel. La mort n'a cure de l'âge et l'âge ne saurait être un indicateur de quand tu mourra. "
L'obscurité de la chambre me remplit de terreur.
- " J'ai peur du noir et maintenant tu me fais avoir peur de la mort, je ne pourrais plus dormir maintenant. Noorah, je pensais que tu avais promis de passer les prochaines vacances d'été avec nous. "
Impact. Sa voie s'est brisée et son cœur a frémi.
- " Il se peut que je fasse un long voyage cette année Hanan, mais autre part. Je dis bien peut-être. Nos vies à tous sont entre les mains d'Allah et c'est à Lui que nous appartenons. "
Mes yeux s'embuèrent et des larmes coulèrent sur mes joues. Je pensais à la terrible maladie de ma sœur et à comment les docteurs avaient annoncé en privé à mon père qu'il n'y avait que très peu d'espoir que Noorah survive à la maladie. Mais, à elle, on n'avait rien dit. Qui l'avait mise sur la voie ? Ou était-ce seulement qu'elle pouvait pressentir la vérité.
- "A quoi penses-tu Hanan ? " Sa voix était tranchante.
- "Penses-tu que je dis cela seulement parce que je suis malade ? Uh - uh. En fait, il se peut très bien que je vive plus longtemps que la plupart des gens qui ne sont pas malades. "
- "Et toi Hanan, combien de temps vas-tu vivre ? Vingt ans, peut-être ? Quarante ? Et ensuite ? " A travers l'obscurité elle chercha ma main et la serra doucement.
- "Il n'y a aucune différence entre nous; nous allons toutes quitter ce monde pour vivre au paradis ou agoniser en Enfer. Ecoutes les paroles d'Allah ":
{ ... Quiconque donc est écarté du Feu et introduit au paradis, a certes réussi. Et la vie présente n'est qu'un objet de jouissance trompeuse. } [ Sourate 3 - Verset 185 ]
Je quittais la chambre de ma sœur l'esprit embrumé, ses paroles sonnaient toujours dans ma tête :
- " Qu'Allah te guide Hanan - n'oublie pas tes prières. "
08h00 du matin. Des coups à ma porte. Je ne me réveille pas d'habitude à cette heure. Pleurs. Confusion. O Allah, que c'est-il passé ?
La condition de Noorah s'était aggravée après Fajr, ils l'ont immédiatement conduite à l'hôpital... Inna lillahi wa inna ilayhi raji'oun. Il n'y aura pas de voyage cet été.
C'était écrit que je passerais l'été à la maison. Après une éternité...
Il était une heure de l'après-midi. Maman appela l'hôpital.
- " Oui. Vous pouvez venir la voir maintenant. " La voix de papa avait changée, maman pouvait déceler que quelque chose de fatal était arrivé.
Nous sommes partis tout de suite. Où était passée cette avenue que j'avais l'habitude d'emprunter et que je trouvais si courte ? Pourquoi était elle si longue maintenant, si interminable. Où étaient passées cette chère foule et cette circulation qui me faisaient tourner de la tête à droite et à gauche. Tout le monde, éloignez-vous de notre chemin. Maman secouait la tête dans ses mains en pleurant et faisait des dua'a pour sa Noorah.
Nous sommes arrivés devant l'entrée principale de l'hôpital. Un homme était entrain de geindre, un autre avait fait un accident et l’œil d'un troisième était figé, impossible de dire s'il était vivant ou mort. Nous avons monté les escaliers qui menaient à la chambre de Noorah 4 à 4.
Elle était aux soins intensifs. L'infirmière s'est approchée de nous.
- " Laissez-moi vous emmener vers elle. " Alors que nous traversions le couloir, l'infirmière en a profité pour nous dire à quel point Noorah était gentille. Elle a quelque peu rassuré maman en lui disant que la condition de Noorah s'était améliorée par rapport au matin.
- " Désolée. Pas plus d'un visiteur à la fois. " On était à l'unité des soins intensifs.
A travers la petite fenêtre de la porte et derrière une foule de blouses blanches, je tombais enfin sur les yeux de ma soeur. Maman se tenait à ses côtés. Après deux minutes, maman est sortie incapable de retenir ses larmes.
- " Tu peux entrer et lui dire Salam à condition de ne pas lui parler trop longtemps, " m'ont-ils dit. " Deux minutes devraient suffire. "
- " Comment ça va Noorah ? Tu allais bien hier ma sœur, que s'est-il passé ? " Nous nous sommes tenues les mains, elle les serra faiblement.
- " Même maintenant, Alhamdulillah, je vais bien. "
- " Alhamdulillah...mais...tes mains sont tellement froides. " Je me suis assise à côté d'elle sur le lit et j'ai posé mes doigts sur ses genoux. Elle les repoussa.
- " Excuse-moi... est-ce que je t'ai fait mal ? "
- " Non, c'est juste que je pensais aux paroles d'Allah. "
{ et qu'il [l'agonisant] est convaincu que c'est la séparation (la mort), et que la jambe s'enlace à la jambe, c'est vers ton Seigneur, ce jour-là que tu seras conduit. } [ Sourate 75 - Versets 28 - 30 ]
- " Hanan, prie pour moi. Je vais très bientôt peut-être vivre mon premier jour dans l'au-delà. C'est un long voyage et je n'ai pas préparé assez de bonnes actions dans ma valise. "
A ces mots, une larme s'échappa de mon œil et perla sur ma joue. J'ai pleuré et elle aussi. La chambre avait disparu derrière la brume de nos larmes pour ne laisser place qu'à nous deux - deux sœurs en larmes. Des ruisseaux de larmes s'écoulèrent et s'écrasèrent sur la main de ma sœur que je tenais à deux mains.
Maintenant, papa s'inquiétait beaucoup plus pour moi. Je n'avais jamais autant pleuré de ma vie. A la maison et dans ma chambre, je contemplais le soleil cheminer en cette triste journée. Le silence s'était emparé des couloirs. Un cousin est entré dans ma chambre, un autre. Les visiteurs étaient nombreux et toutes les voix qui venaient d'en bas s'emmêlaient.
Seule une chose restait clairement perceptible... Noorah était morte ! J'ai arrêté de faire attention à qui venait et qui partait. Je ne pouvais me rappeler ce qu'ils avaient dit. O Allah, où étais-je ? Que se passait-il ? Je ne pouvais même plus pleurer.
Plus tard cette semaine, ils m'ont dit ce qui s'était passé. Papa avait prit ma main pour dire un dernier au revoir à ma sœur et j'avais embrassé Noorah sur la tête. Je ne me souviens pourtant que d'une seule chose, en la voyant ainsi étalée sur ce lit, ce même lit sur lequel elle allait mourir. Je me suis souvenue du verset qu'elle avait récité :
(et que la jambe s'enlace à la jambe )
et je ne savais que trop bien la vérité de ce verset :
{ Ce jour le retour sera vers vôtre Seigneur (Allah) ! }
Cette nuit-là, je me suis introduite dans sa salle de prière sur la pointe des pieds. Regardant les meubles immobiles et les miroirs muets, je chérissais celle qui avait partagé avec moi le ventre de ma mère.
Noorah était ma sœur jumelle. Je me souvenais de celle avec qui j'avais partagé des peines. Qui avait ensoleillé mes journées pluvieuses. Je me souvenais de celle qui priait pour ma guidée et qui avait versé tant de larmes pendant tant de longues nuits en me parlant de la mort et des comptes à rendre. Qu'Allah nous protège tous. Cette nuit est la première nuit que Noorah va passer dans sa tombe. Ô Allah, fait lui miséricorde et illumine sa tombe.
Ça c'était son Coran, ça son tapis de prière et ça c'était sa robe rose dont elle disait cacher jusqu'à son mariage, la robe qu'elle voulait garder juste pour son mari. Je me rappelais ma sœur et je pleurais toutes les journées que j'avais perdues. Je priais Allah de me faire miséricorde, d'accepter mes actions et de me pardonner. Je priais Allah de la garder constante dans sa tombe comme elle aimait souvent à le dire dans ses supplications.
A cet instant, je me suis arrêtée. Je me demandais : et si c'était moi qui étais morte ? Où est-ce que je serais ? La peur m'étreint et mes larmes reprirent de plus belle.
Allahu Akbar, Allahu Akbar... Le premier Adhaan s'éleva doucement de la mosquée, il était si beau cette fois-ci.
Je me sentais calme et sereine alors que je répétais l'appel du Muadhin. J'entourais mes épaules d'un châle et je me levais pour prier Fajr. J'ai prié comme si c'était ma dernière prière, une prière d'adieu, juste comme Noorah avait fait hier. Ça avait été son dernier Fajr. Maintenant et incha' Allah pour le restant de ma vie, si je me réveille au matin je n'espérerai pas être vivante le soir venu, et la nuit venue je n’espérerai pas être vivante le matin venu.
Nous ferons tous le même voyage que Noorah. Qu'avons- nous préparé pour cela ? ...
"allahouma a'ini 'ala dhikrika wa choukrika wa hosni 'ibadatika"
"O Allah ! aide-moi pour que je me souvienne de Toi et que je T'exprime ma reconnaissance pour que je t'adore de la meilleure des façon"
Médite bien sur ce récit et retire en ce qui pourra te servir pour cette vie d'ici-bas et surtout pour l'au-delà.
Qu'Allah déverse sur nous, ainsi que sur tous nos frères et sœurs, Sa miséricorde et nous accorde Ses bienfaits et Son pardon.
Amine
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Tribal Cam's ton histoire est magnifique. Ce genre de rappel fortifie notre foi et nous rappelle à chaque fois que nous ne sommes que de passage sur cette terre.
Merci pour ce rappel.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
salam Trimbal Cam's !
J'ai trouver que c'était une très belle histoire, et un très bon rappel car il ne faut pas que nous oublions que nous sommes nous ici dans ce bas monde juste pour un passage et que nous allons tous mourir quoi qui l'arrive.
En fait cette vie qu'on a tendance à dire "belle vie" ( si je peut me permettre de dire sa) est tout simplement une étape que nous devons passer et nous serons juger sur les actes que l'on aura fait.
Barakallaoukif pour ce rappel.
Qu'Allah nous guident dans le droit chemin inchallah afin qu'on puissent bénéficier de sa récompense c'est à dire le Paradis Inchallah!!
Amine
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Merci infiniment pour ce rappelle.
J'ai pleurer en lisant cette histoire, d'autant plus que ma soeur est aussi a l'hopital en reanimation et qu'elle ne peut pas prier depuis quatre mois.
Que dieu nous guide
Amine
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Je souhaite à ta soeur un trés bon rétablissement et que Dieu l'a garde parmit les siens.
Amine
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
ton histoire est plus que touchante, come les otre slon dit ça nous rapelle que personne ne controle sa vi il n'y a k dieu ki decide car il a tracé l cours de notre vie et ns devons la suivre tel kel . Lui seul nous donne et reprend. J'espère que tt celles et ceux qui liron cet histoire ouvrirons les yeux. Car seules la prière et l bonnes action font d ns de bonne personne.
C'est malheureu a dire mais parfois kan de tel evenement nous touche personnellement, c'est a c moment que nous nous remettons en question a savoir que la vie est trop courte et que personne ne sait si dm1 il sera parmi l sien.
je trouve cela vraiment mais pour certain personne égaré cela leur fait prendre conscience de la vie et de lexistance de dieu.
Que dieu nous benisse tous et aidons nos frère et soeur egaré a revenir sur l droit chemin celui d dieu
Bye et merci a toi tribal de nous avoir fait partager cet parti de ta vie personel et emouvante.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
C'est trés émouvant !! Quelques rappels ne peuvent nous faire que du bien.
Qu'Allah nous guide vers le droit chemin
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
en lisant cette histoire j'en ai les larmes aux yeux vraiment émouvante cette histoire
Qu'ALLAH pardonne nos péchés et nous guide vers le droit chemin (amine)
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Souhoubannallah, ce texte est véridique, nous ne savons pas quand notre vie se terminera, il y a des décès, et je pense que l'on a tendance à oublier, Allah nous a faciliter la vie, mais c'est nous qui la compliquons. Je pries Dieu, qu'il nous pardonnes nos pêchés, qu'il accepte nos prières, et qu'il nous laissent sur sa guidée
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Salam aleykoum, barakallah fik pour ce recit et rappel qui m'a mis la larme à l'oeil.
Que Dieu exausse vos doas, qu'il nous fasse des gens pieux, nous éloigne du mauvais chemin, et surtout qu'il soit satisfait de nous qui sommes ses serviteurs. AMINE.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Bonjour, Tribal Cam’s !
Ton histoire est très émouvante.
Elle nous fait prendre conscience que la vie ici bas, est éphémère et c’est aussi un rappel à l’ordre des devoirs et obligations que nous devons accomplir envers Dieu, pour entrer dans son Saint Paradis.
Qu’Allah nous guide sur le droit chemin !
Salam.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
bonjour TRIBAL CAM'S
ton histoire m a tellement touche se que je vous souhaite a toutes c est allah nous guide vers le droit chemin et qu il nous protege des mauvaise personnes amine
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
SALAM TRIBAL CAM'S
Ton histoire est tres touchante,mreci pour ce rappel.
Qu'Allah nous guide danc le bon chemin et nous ecarte du mauvais.
Amine.
SAdio.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
très belle histoire, car la vie n'est pas éternel et on vit dans un pays sans interdit et c'est en renforçant notre foi qu'on n'est plus fort contre toutes ces tentations merci tribal et que allah nous guide sur son chemin amine
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Salam,
Amine pour tous vos doua qu'Allah nous garde parmi les siens
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Je viens de lire ton histoire, magnifique rappel j"en n"avais les larmes au yeux
Qu"ALlah NOUS GUIDE SUR LE DROIT CHEMIN
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
slm alkm toute personne ayant un coeur a eu un pincement au coeur en lisant ton histoire tribal que dieu nous guide vers le droit chemin
amine
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Salam tous le monde,tribal cam's ton histoire viens de reveiller un lointain souvenir de ma vie. Quand j'étais au Mali,j'avais un amis avec qui j'ai étudié au lycée jusqu'en terminal.On étais dans la même classe assis à la même table la plupart du temp,on avait les même amis,on prenait le même chemin pour rentrer,et pour venir en cour,on discutait toujours ensemble dans la cour du lycée,en bref on étais inséparable.Un jour qu'on discuter il m'avait dit que ses parent l'avait obliger à se fiancé lui et son frere, je lui avait demandé pourquoi il m'avait repondu qu'ils voulaient les mettre sur le bon chemin en leurs trouvant des filles bien pour l'avenir futur de leurs famille,car ils ne voulait pas qu'ils deviennent des mauvais garçon qui courent apres les filles,ils voulaient qu'ils honorent leurs familles quand ils ne seront plus de se monde car ils étaient devenu vieux.Ils m'avaient dit aussi qu'ils avaient accepté pour ne pas les décevoirs et que cétait sa dernière année d'étude car après le Bac lis allaient arreté.Se jour la il m'avait fait pitié car je ne voulait pas etre a sa place et en même temp j'admirais son courage car sa famille n'étais pas riche mais ils fesait le maximum pour qu'ils étudient et que lui et son frère travaillaient apres les cours et pendant les vacances scolaires pendant que les autres se reposaient.Je me rappel qu'au lycée beaucoup d'élèves venaient en moto la plupart bien habillé de la tête au pied et que lui était habillé simplement et qu'il marcher de chez lui jusqu'au lycée tous les jours sans prendre les transport en commun malgrés le soleil qui ateigner parfois les 47°C.
Ils étudié de son mieux avec courage et progresser parfois jusqu'a tous nous dépasser.Un jour il me demanda comment certain commerçant fesaient pour devenir très riche car il était sur qu'ils avaient un secret et moi qui a cet époque commencer un peu plus à m'interesser à la religion lui dit qu'un imam nous avait dit un jour dans la mosqué que certaine prières et invocation permétaient d'avoir tous se que l'on désir et qu'a mon avis se devait etre ça, il me demanda ceux que je connaissait et moi qui n'était pas très caler lui répondi que la prière la moins compliquer mais un peu dure a faire que l'imam m'avait enseigner étais l'istikhfar et qu'il m'avait aussi dit que cet prière effacer tous les péches(a l'exception des kabaïr) et que le prophète mahomet(pbs) avait conseiller au minimum de le faire une fois dans notre vie.Je lui avait expliquer comment faire et apres il est aller voir quelqu'un de bien instruit qui lui a bien appris.
quelque temp plutard ils venait en classe affaibli car il ne tenait presque pas sur sa chaise et ils sommnelaient on lui demandait si sa allait et il répondait oui,chaque jour il venait dans cet état il ne voulait pas s'absenter,jusqu'au jour ou il fut absent,on demanda de ces nouvelles et sa famille nous avez dit qu'il est tombé gravement malade et qu'il était a l'hopital mais qui allaient mieux.Un beau matin je commencer à 10h car en LV2 je fesait arabe, j'était arrivé dans la classe ils n'y avait plus personne je commencer a me réjouir car je penser que le prof était absent jusqu'a se que quelqu'un vienne nous dire que les cours sont annuler toute la journée car notre camarade était décédé.Je n'arrivait pas à le croire telement j'étais choquer,tout à coup c'était comme si il y avait eu un grand vide.La plupart des élèves sont rentrer chez eux sauf moi qui me suis assis sur un banc du lycée ou on n'avait l'habitude de discuter en pensant à lui.On a fait tous le lycée ensemble,on était assis à coté,on était de la même génération(même année de naissance),apres tous ces effort et a quelque mois de la fin de l'année il n'allait plus passer son BAC,li devait se marier,on se resemblait telement sauf qu'il était plus baraké que moi physiquement,sa aurait pu etre moi mais c'est tomber sur lui,il était telement courageux,telement sérieux,telement gentil surtout avec nous et toujours pret a aider.je me suis dit qu'il ne méritait pas ça non, pas lui,mais c'est Dieu qui décide et il sais se qu'on ne connais pas,il est notre créateur et nous sommes ces esclaves et il a mis un terme precis a chaque individu et des que se terme et arriver à sa fin pas 1seconde de plus ou de moins et c'est se qui venait d'arrivé à mon amis.
Ensuite on est tous parti presenter nos condoléance à sa famille. Le jour suivant c'est comme si il n'avait jamais exister dans la classe apart pour nous ses vraix amis qui ne l'oublieront jamais,d'ailleur ont a tous eu notre Bac comme dernière hommage à sa mémoire.
En conclusion je dirais la même chose que ton histoire tribal, fesont le plein de bagages de bonnes actions,vivont comme si c'étais notre dernier jour,chaque jour et ultilisons le rapel pour ne pas gaspiller notre vie.
PS:Quelque temp plutard je l'ai vu en rêve venir me serer la main comme pour me dire merci ou au revoir et il c'est éloigner et sa ma fait très plaisir.
Et j'ajoute aussi que ton histoire est tres touchante et merci encore pour le rappel Tribal Cam's
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
cette histoire est rès touchante aussi mais malheureusement beaucoup de nos frères et soeurs sont fatigués en afrique et partout dans le monde aussi.
aidons les le mieux possible et qu'ALLAH les aide et nous pardonne nos péchés à tous. (amin)
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Vos histoires sont fortes d'émotions la mort est une chose qui fait parti de notre vie tot ou tard elle viendra qu 'elle nous giude dans une bonne direction.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Trés touchante ton Histoire Ibrahim comme tu dis mettons en oeuvre de bonnes actions et eloignont nous des mauvaises que Dieu nous pardonne, ...
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Salam alors chers amis j'attends toujours vos histoires ... en attendant en voici une autres.
Un jour apparut un petit trou dans un cocon; un homme qui passait à tout hasard, s'arrêta de longues heures à observer le papillon qui s'éfforçait de sortir par ce petit trou.
Après un long moment, c'était comme si le papillon avait abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit. On aurait dit que le papillon avait fait tout ce qu'il pouvait et qu'il ne pouvait plus rien faire d'autre.
Alors, l'homme décida d'aider le papillon, il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdit; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L'homme continua à observer pensant que d'un moment à l'autre les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu'il prenne son envol.
Il n'en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler.
Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit de cocon était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler.
C'était le moule à travers lequel Dieu (Exalté Soit-Il) le faisait passer pour grandir et se développer. Parfois l'éffort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.
Si Dieu (Exalté Soit-Il) nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler ...
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Salam,
Tu regardes un clip de R’nb/Rap sur une chaîne musicale ou sur ton PC.
Imagines que t’es, depuis une heure ; en face de ton miroir dans tes pensées et dans tes rêveries ou avec un mascara dans une main et un flacon de parfum dans l’autre.
Soudain la sonnette de la porte retentit !!??
Tu cours vers la porte, tu regardes par l’œil de bœuf. Qui est cet homme inconnu au visage lumineux ???
« Qui est-ce ? »
« C’est moi, le Prophète d’ALLAH !! »
Avec une immense joie, tu tends ta main pour ouvrir la porte au Messager d’ALLAH et lui souhaiter la Bienvenue.
Mais...
« Ô mon Dieu ! Le clip ?! »
Tu cours pour éteindre la télé mais t’as appuyé sur le mauvais bouton, t’as rajouté le son.
Enfin tu trouve le bon bouton : « Ouf ! La télé est éteinte».
Tu cours pour ouvrir la porte….
« Les posters de chanteurs dans ma chambre !! »
Tu cours vers ta chambre pour les arracher du mur. La sonnette retentit pour la deuxième fois. Le Prophète d’ALLAH va partir. Tu paniques. Tu fais tomber un poster sur le bureau. Tu le ramasses et tu découvres les CD.
Tous ces CD que t’as écouter des centaines de fois ; ces chansons que tu connais par cœur plus que tu n’as lu ou appris des versets du Coran pendant toute ta vie.
Sans réfléchir, tu les ramasses tu les jettes dans la poubelle et tu remets le couvercle dessus pour éviter que le Prophète d’ALLAH ne les voit ; si t’arrive à temps pour lui ouvrir la porte et s’il rentre dans ta chambre !
La sonnette retentit encore une fois. Le Prophète d’ALLAh va partir.
Tu cours vers la porte pour l’ouvrir ; Mais…
« Ô mon Dieu ! J’ai teint mes cheveux hier chez le coiffeur !!?? »
Tu te dépêches pour chercher un foulard assez grand pour couvrir ta
tête. Enfin, tu l’as trouvé.
Tu passes devant un miroir en courant vers la porte. « Le maquillage !!!? »
Tu cours vers la salle-de-bain pour te laver le visage ; pas le temps de mettre un démaquillant !!
« Le parfum !? …Merci mon Dieu, le Prophète a sonné avant que je le mette »
« Enfin ! Je suis prête pour recevoir le Prophète d’ALLAH »
Mais non !!?? « Je ne vais pas le rencontrer en pantalon »
Tu te dépêches de dénicher une djellaba ou une grande pashmina. Tu la trouves et tu la mets en vitesse.
Enfin, te voilà prête pour ouvrir la porte.
Y a personne devant la porte. « J’ai laissé le Prophète d’ALLAh
attendre devant la porte ». Tu regardes vers les escaliers.
« Ouf ! Il est encore là. Prophète d’ALLAH ! J’ai ouvert la porte »
Il rebrousse son chemin et entre chez toi.
Soudain !!!!
Le portable sonne et joue la dernière chanson polyphonique que t’as téléchargé. Tu baisses la tête par honte devant le Prophète d’ALLAH. Le numéro s’affiche. Tu trembles. T’as du mal à respirer.
« Comment vais-je expliquer au Prophète d’ALLAH que l’appelant est un copain de classe ??! ».
Tu l’éteints avant d’être questionné
par le Prophète d’ALLAH.
Tu sens une odeur dans la maison. Le prophète d’ALLAH la sens aussi. « Ô mon Dieu ! J’ai oublié d’éteindre ma cigarette »
On entend le Adhane (appel à la prière). Comment vas-tu réagir ?
Vas-tu faire la prière comme tu l’as fais tous les jours ou vas-tu la faire par complaisance devant le prophète d’ALLAH ?
Que vas-tu répondre si Il te demande le dernière fois que t’as lu le Coran ? La dernière fois où t’as fait la prière du fajr ? S' il te questionne sur tes fréquentations, tes relations amoureuses, les chansons et ton non respect des parents ??
Sais-tu qu’est-ce qu’il va faire ?
Il ne va pas s’énerver contre toi. Il va pleurer.
« Est-ce pour toi que j’ai sacrifié ma vie, que j’ai subit tout ce que j’ai subit ?
Est-ce pour toi que les tombes de mes compagnons sont éparpillées dans plusieurs endroits ?
Est-ce toi qu va porter le flambeau de l’Islam ?
Comment vais-je intercéder pour toi au près d’ALLAH ?
Comment vais je te donner à boire de mon bassin (Kawther) alors que t’as abandonné ma Tradition (Sunna)? »
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
La naissance
Allah ta donné une place dans le ventre de ta mère
Il ta recouvert le visage d'un voile pour que tu n'ai pas peur, Il ta dirigé le visage vers le dos de ta mère pour que l'odeur des aliments ne te gêne pas.
Il ta mis un support à ta gauche pour te reposer, a ta droite le foie, à ta gauche la rate.
Il ta appris a te mettre debout et assis dans le ventre de ta mère.
Y a t-il quelqu'un au monde capable de faire de telles choses?
Quand ton terme est arrivé, Il envoie l'ange de la matrice pour t'acceuillir, il t'acceuille sur une plume de ses ailes. Tu n'as pas de dent pour manger, tu ne sais pas utiliser tes pieds.
Pour te nourrir Il t'a placé deux fines veines dans les seins de ta mère, du lait rien que pour toi. Frais pendant l'été et tiède pendant l'hiver.
Si tu ne dors pas, ta mère ne dors pas. Si tu ne manges pas, ta mère ne mange pas.
Après être devenu un homme fort tu commence à le renier et tu n'épprouve aucune gêne face à Lui.
Et malgrer ceci, si tu lui demande Il te donne et si tu l'invoques Il t'exause. Et si tu te repens, Il accepte ton repentir.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
C'est une très belle histoire mariamou, nous devons tout faire pour gagner le paradis, certains disent j'en ai marre de la vie, il m'arrive tjrs des crasses, mais sans épreuves dans notre vie, comment peut-on être sûr de notre foi, c'est par les épreuves que nous pourront résister et savoir que Dieu est présent, seul Dieu peut nous laisser sur son chemin si nous ne délaissons pas notre religion. Le prophète Mohamed (SWT) seul intercèdera en notre faveur, nous des musulmans qui n'aura pas connu, seul nos actions et surtout nos prières pourront nous sauver ce jour là. Alors chers frères et soeurs faisont tout notre possible pour suivre le chemin de l'islam et Inch Allah ce que tout le monde souhaite accèder aux portes du paradis
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Amine à tes doas fatoumata, très belle histoire que celle que tu a dite diana.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Amine aux doas formulés et merci pour le partage.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Après la vie, face à la mort, Accompagné de nos remords, Emporté par l'ange de la mort, Vers ce jour noir ou l'on s'ignore, Ce jour que beaucoup ont négligé, A cause d'un monde qui fait oublié, Déchiré et désenchanté, Ce jour que le monde va affronter, Ce sera la fin de tous les rêves, Le jour où le monde se lève, Plus de parole ce moment là, C'est le passer qui parleras.
Ce dernier jour et sans retour, Toutes ces années qui sont passés, C'était comme une seule journée, Jugez vous avant d'être jugé, Ce jour là plus de lumière, Plus d'espoir et plus de prière, Dans la solitude devant Dieu, Personne n'osera lever les yeux.
Chacun verra les souvenirs, De cette vie qui est passé, Pouvait-on prendre un autre chemin ? Pouvait-on maîtriser son destin ? C'est à l'homme de se juger, C'est à lui de se regarder, Avant qu'il ne soit éprouvé, Car Dieu seul lira au fond des cœurs.
Ce moment où tu seras seul, Dans le noir, dans ton linceul, C'est une autre réalité, La conscience de l'éternité, Chacun voudras revenir, Sur les pas de la vérité, C'est comme un autre réveille, Sortir d'un second sommeil, Mais au milieu de ces ténèbres, Il faut trouver au fond de ton être, Quelque chose contre la peur, La sincérité de ton coeur.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
salam, Tribal ton histoire vécu ma prit dans ds les tripes non seulement par son contenu et de sa foçon redactionnelle j'avais l'impression d'être dedans.franchemement merci merci beaucoup. A faire lire d'urgence.
Que Dieu nous gardes parmi les siens...
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Amine,
Ce n'est pas une histoire vécue c'est une histoire que l'on m'a conté et que j'ai souhaitais partager.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
salam aleykoum
en lisant ce passage tu as l'impression que tu y es déjà mais justement ce texte sert à nous réveiller avant qu'il ne soit trop tard
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Il m'arrive souvent de penser que pour moi tout va s'arréter, que toutes les choses que j'ai aimé n'auront aucune utilité. Par les actions que je ferais pourrais-tu tout me pardonner? Y a que toi qui peux me donner l'espoir de pouvoir accéder vers tes demeures pleine de beauté là où tout âme est apaisée, là où on ne peut qu'apprecier les anges venant te saluer.
Apprendre à aimer Allah, l'adorer par reconnaissance. Y a tant de choses à découvrir à travers toute sa création. Laissons la vie d'ici-bas, consacrons nous à l'au-delà. Se dire chaque jour qu'après la mort commencera un long voyage. Il y a tant d'étapes à franchir avant de rencontrer Allah, seul nos actes et nos intentions seront pour nous d'un grand secour!
j'irai au bout de mes espoir j'aurais voulu te rencontrer, espérant un jour pouvoir goûter à toutes tes faveurs. Vers toi est ma vrai demeure, ton amour me donne joie de vivre.
Allah donne moi la force de t'adorer jusqu'à ma mort!
Chaque instant pour nous est compté dans les ténèbres du jour dernier. Nos oeuvres seront révéler lorsque tout sera pesé. Ma vie sera divulguée, Allah jugera la vérité. Seigneur pardonne mes péchers qui me font souvent oublier que la vie n'est que beauté car elle ne cesse de m'attirer. Parce que mon âme est trop tenter, alors donne moi la piété.
Ce n'est pas mon invention, c'est un chant islamique (le silence des mosquées). Quand tu écoute ces paroles tu as envie de pleurer et tu oublies tes malheurs et surtout tu arrêtes de te plaindre pour un oui ou pour un non!
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Salam, à méditer:
Un jour dans une gare pas très loin d'ici alors que le train s'apprêter à partir après que tous les voyageurs eu gagnés leurs places, un Veil homme réussi au dernier moment a monté. Juste avant la fermeture des portes.
Sur son visage éclatant apparaissait une grande sagesse et une bonté infinie bordé de clémence et de tendresse.
Ce vieil homme heureux d'avoir pu rattrapé le train cherché maintenant une place pour s'asseoir.
Dans la première cabine il trouva des jeunes enfants qui certes été très heureux de le voir car il avait une bonne tête comme ils disent, mais quand il leur demanda s'il pouvait s'asseoir avec eux, ils lui répondirent: "
nous serions heureux de vous accueillir parmi nous mais vous savez nous sommes des enfants et nous pensons qu'à jouer et s'amuser, on craint que nos cries et nos rires ne vous dérange, mais aller à la prochaine cabine nous sommes sur que vous trouverez une bonne compagnie ".
Alors le vieil homme suivie le conseil des enfants et alla à la prochaine cabine.
Où il trouva trois jeunes hommes, sûrement des étudiants entrain de préparer leurs examens.
Car ils ne parlent que de fonctions et de graphes tout on tenant leurs calculatrices dernier crie dans la main.
Il les salua et leur demanda la permission de prendre le siège vide.
Les jeunes été très contant de le voir car il leur rappelait leurs grand-père et comme ils disent il avait l'air d'être cool et sympathique mais ils répondirent " Oh, veille homme nous aurions été heureux de partager avec toi notre cabine mais comme vous le voyiez nous sommes en pleine révision et nous crénions que nos longues discutions de math et de physique ne vous ennuies, allez plutôt voir à la prochaine cabine nous sommes sur que vous y trouverez une bonne place."
De ce pas le vieil homme alla à la prochaine cabine.
Il trouva un jeune couple ce tenant par la main et s'échangeant des regards complice.
Le vieil homme les salua et leur demanda s'il pouvait prendre l'un des deux sièges libre de leur cabine, ils lui répondirent " Oh, vieil homme nous aurions été ravi de faire le voyage avec vous mais comme vous le voyez nous sommes un jeune couple qui vient de se marier et nous sommes en lune de miel et nous préférons restez tranquille, mais je suis sur que vous trouverez une bonne place dans la cabine suivante"
Le vieil homme continua donc son périple jusqu'à la prochaine cabine ou il trouva un groupe d'hommes d'une trentaine d'années : téléphone à la main et ordinateur portable sur les genoux échangent entre eux les dernières cotations boursières.
Il les salua et demanda si il pouvait se joindre à eux mais ils lui répondirent « nous serions heureux de profiter de ta compagnie et de ta sagesse mais nous sommes trop occupé à gérer nos actions et nos projets et parfois nos voix s'élèvent et nous voudrions pas vous dérangez allez plutôt voir la cabine d'à coté ils nous semble avoir vu des gens sympathique tout comme vous ».
Alors le vieil homme alla vers cette cabine et là effectivement il vit une famille fort sympathique composé du papa, de la maman et de leurs deux enfants il les salua et leur demanda s'il pouvait faire le reste du voyage avec eux et là ils lui répondirent « quelle honneur et quel chance nous avons de pouvoir partager notre cabine avec un sage comme vous, bien sur venez vous s'asseoir prêt de nous, nous sommes sur que vous avez plein de chose à nous apprendre».
Et là le père demanda au petit Ahmed « lève toi mon fils s'il te plait et va sur les genoux de ta chère maman et toi ma petite Wafa viens sur mes genoux pour laissé la place à ce brave homme ».
Et là le vieil homme pu enfin s'asseoir et partager un agréable moment avec cette famille.
Cette famille profita donc de la précieuse compagnie de ce vieil homme et de ces connaissances pour lui demander de les aider à comprendre les choses de la vie et répondre à toutes leurs interrogations sur leur appartenance et sur leur destinée.
Ainsi que toutes les questions existentielles que peut se posé un être humain aujourd'hui
Grâce à sa grande sagesse il pu apporté une réponse convaincante à chacune de leur interrogation et les rassurés sur leur avenir et l'avenir de leurs enfants on leur garantissant que si ils suivaient tous ses conseils, il serait à jamais une famille comblée et heureuse.
Le train arriva à l'heure à son terminus.
Et la gare été noire de monde avec des décorations partout et des gardes en uniforme dans tous les coins, le sol été tapissé jusqu'à l'horizon de tapis d'une valeur inestimable et les murs recouverts de pierre précieuse et tissus de grande valeur.
Les voyageurs n'en revenait pas ils croyaient rêver mais c'était bien la réalité.
A ce moment là un des officiers monta à bort du train et ordonna à tout le monde de ne pas bouger.
Il se mit à chercher dans toutes les cabines le vieil homme et bien sur il le trouva dans celle de la famille qu'il l'avait si bien accueilli.
Et l'officier dit « au vieil homme, le Maître m'envoi te chercher pour te ramener prêt de lui ».
Les passagers restés ébahi par ce qu'il voyait ils se demandaient tous ça pour ce vieil homme ?? Mais qui est t'il donc ?
Et le vieil homme répondit « comme promis le voyage est fini et je te suis avec plaisir mais à condition que cette famille qui m'a accepté viennent avec nous » et le l'officier répondit « oui, de grande récompense vous attendes vous et tous ceux qui vous on suivi ».
Et la le vieil homme et la famille ce levèrent et descendirent du train pour monter dans une voiture luxueuse qui les emmena vers un avenir prometteur.
Alors que les passagers qui avaient refusé la compagnie du vieil homme se mordaient les doigts on disant pourquoi n'avons-nous pas accepté cette homme pourquoi avons-nous été si égoïste.
Malheureusement il été trop tard. Les comptes été fait.
Vous l'avez sans doute compris le vieil homme n'été on réalité que la religion de Dieu qu'il a envoyé pour faire le voyage de la vie avec nous.
Il ne tient cas nous de l'accepter durant notre voyage afin qu'elle soit notre salut le jour ou notre voyage sur terre se terminera.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Une autre:
C'est une belle journée ensoleillée.
Je saute de mon lit avec joie, songeant déjà aux belles perspectives de la journée qui m'attend.
J'avale avec empressement et appétit mon petit déjeuner,
feuilletant négligemment mon journal, comme chaque matin.
Quelques minutes après ma douche, je suis prêt :
aujourd'hui j'ai mis une cravate bleue foncée pour aller avec
mon pantalon bleu nuit et trancher sur ma chemise rose.
J'embrasse mon petit "bout de chou" de 9 mois qui gazouille et m'esquisse un sourire.
Ma femme est déjà partie tôt ce matin au marché, où elle fait ses provision pour la semaine.
Je donne quelques conseils à notre nouvelle employée de maison, puis je me dirige vers l'autre pièce pour sortir.
Après avoir claqué la porte de la pièce derrière moi, tout à coup un trou noir je m'arrête, au seuil de ma maison, stupéfait : je ne suis pas "dehors" ! Je suis de "l'autre côté de la pièce",
dans une autre pièce, sombre. Je ne peux plus, malgré tous mes efforts, rentrer chez moi et fuir.
Cette pièce là, sombre et froide, se caractérise par un mur. Ce mur est recouvert, du sol au plafond,
de petits casiers - tiroirs à rangement pour fiches. Un peu comme dans les bonne vieilles bibliothèques avec leurs lots de tiroirs et de fiches écornées, le tout classé par titre, par auteur, et par ordre alphabétique.
Mais ici, ces casiers qui s'étendent à perte de vue dans toutes les directions ont des titres bien différents.
Et m'approchant du mur, le premier casier était étiqueté distinctement "les personnes que j'ai aimées".
Je l'ouvre et commence à parcourir les cartes. Et je le referme prestement avec un geste de recul, apeuré, choqué en réalisant que je connais chacun des noms inscrits sur ces cartes !
Sans autre explication, je commence à comprendre ou je suis. Exactement où je suis.
Cette pièce, sans vie, avec ses petits casiers est un catalogue exhaustif et sans complaisance, de ma vie. Ici sont inscrites les actions de chaque moment de ma vie, petites et grandes,
avec un luxe de détail que ma mémoire ne pourrait jamais soutenir.
Une sensation d'émerveillement et de curiosité, couplée à une crainte réelle, m'envahit quand je commence à explorer, ici et là, le contenu des casiers.
Certains m'apportent de la joie, m'entraînent vers des doux souvenirs, d'autres vers de grandes hontes. Et je regarde derrière moi pour m'assurer instinctivement que personne d'autres ne les voient.
Près d'un casier libellé "Amis" est accolé un autre marqué "Amis que j'ai trahis".
Les titres allaient ainsi du plus banal au plus bizarre
"Livres que j'ai lus",
"Mensonges que j'ai dits",
"Réconfort que j'ai donné", etc...
certains sont tellement exacts que j'en sourie :
"Grossièretés hurlées à mes frères".
d'autres me font moins sourire :
"Choses faites dans ma colère",
"Choses dites à voix basse envers mes parents",
"Salaates faits par ostentation",
"charités faites par ostentation",
"Engagements non tenus".
C'est incroyable, les contenus ne cessent de me surprendre.
Souvent il y a plus de cartes que je ne pensais. Quelques fois, moins que je ne l'espérais...
Mais le souci de l'exactitude des détails m'impressionne. Je suis débordé, écrasé par l'énorme volume de ma vie.
Comment a t-il été possible que j'ai pu avoir le temps, durant mes 40 années,
pour écrire chacune de ces milliers, voire, millions de cartes ?
Car chaque carte me confirme cette vérité.... Chacune est écrite de ma main, avec mon écriture.......
Chacune est dûment signée de ma main..
Alors que j'ouvre le tiroir marqué, "Chansons que j'ai écoutées",
je réalise que la profondeur des casiers diffèrent en fonction de leur contenu respectif. Ce casier-là est rempli de cartes, comme à l'étroit. Après l'avoir ouvert sur plus d'un mètre, je ne vois toujours pas le fond du tiroir. Je le referme alors brusquement, honteux, non pas tant de la qualité de la musique,
mais à cause de l'énorme quantité de temps que représente ce tiroir.....
Je vois plus loin un casier intitulé "Pensée lubriques", j'ai tout un coup un frisson dans le dos.
J'ouvre à peine le tiroir, voulant ignorer sa profondeur, puis j'en retire une carte. En découvrant son contenue détaillé, je me sens défaillir. Le sol semble fuir sous mes pieds.
Une sensation de dégoût et de honte me submerge au fur et à mesure que s'impose l'idée que de tels moments aient été notés. Alors une rage bestiale s'empare de moi.
Une pensée domine le tout :
"Nul ne doit voir ces cartes! Nul ne doit pénétrer dans cette pièce !
C'est à moi !
C'est mon intimité, mes gestes et pensées secrètes qui sont ici exposés !
Je vais tout détruire, tout brûler !"
Et avec frénésie, j'ouvre grand le tiroir. Sa taille m'importe peu maintenant : je vais le vider et tout brûler. Mais en essayant de pencher le tiroir vers le sol, je n'arrive pas à déloger une seule carte.
D'un geste désespéré je prends une carte comme pour la lire, et en essayant de la déchirer de toute mes forces, je m'aperçois que c'est aussi solide que l'acier..
Décu et totalement désemparé je referme le tiroir. Ma tête penché sur mon bras, en appui sur le mur, tout en sueur, je pousse un long souffle d'épuisement et de lassitude. Le regard hagard...Et je vois...
Le titre, fier, est "Les gens que j'ai instruits sur Allah".
La poignée brillait beaucoup plus que les autres, comme plus neuf, moins utilisée. Je tire sur la poignée frénétiquement, mais tiroir s'ouvre à peine.... Les cartes qu'il contient se comptent sur les doigts d'une seule main...
J'éclate je n’en peux plus, je tombe sur mes genoux et je pleure. A travers mes yeux pleins de larmes, les tiroirs semblent danser autour de moi. Je pleure de honte et de regret, en répétant fort :
"Personne ne doit savoir l'existence de cette pièce". "Personne ne...."
Une main mouillée me secoue l'épaule.
"Réveille-toi" me dit ma femme.
"Je faisais ma douche et je t'ai entendu crier.
De quelle pièce parlais-tu ?"
Je la regarde longuement et lui dit :
"rien, ce n'est rien, j'ai fait un mauvais rêve...un cauchemar...certainement...".
Allah, dans le Saint Coran nous dit (S 18 v 45/49)
45. Et propose-leur l'exemple de la vie ici-bas. Elle est semblable à une eau que Nous faisons descendre du ciel; la végétation de la terre se mélange à elle. Puis elle devient de l'herbe desséchée que les vents dispersent. Allah est certes Puissant en toutes choses!
46. Les biens et les enfants sont l'ornement de la vie de ce monde. Cependant, les bonnes oeuvres qui persistent ont auprès de ton Seigneur une meilleure récompense et [suscitent] une belle espérance.
47. Le jour où Nous ferons marcher les montagnes et où tu verras la terre nivelée (comme une plaine) et Nous les rassemblerons sans en omettre un seul.
48. Et ils seront présentés en rangs devant ton Seigneur. ‹Vous voilà venus à Nous comme Nous vous avons créés la première fois. Pourtant vous prétendiez que Nous ne remplirions pas Nos promesses›.
49. Et on déposera le livre (de chacun). Alors tu verras les criminels, effrayés à cause de ce qu'il y a dedans, dire: ‹Malheur à nous, qu'a donc ce livre à n'omettre de mentionner ni pêché véniel ni pêché capital?› Et ils trouveront devant eux tout ce qu'ils ont oeuvré.
Et ton Seigneur ne fait du tort à personne.
Je sais pas pour vous mais en lisan cette histoire des larmes on coulé, et des frissons mon coupé le souffle .
Ya Allah ne laisse pas dévier nos coeurs fait de nous de pieux musulman.
Ya Allah sans toi je suis perdu !
Ya Allah fait que mes frères et soeurs de ce forum ainsi que nos familles et tout les musulmans marche ensemble sur le même chemin qui méne à Toi.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
Salam Mariamou,
Amine,
trés trés belles histoires.
-
Et si on partageait quelques belles histoires ...
mashallah mariamou que de belles histoires!! ;)