barakalaoufik mariamou pour tes belles histoires.... machallah!!! ça fait reflechir
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barakalaoufik mariamou pour tes belles histoires.... machallah!!! ça fait reflechir
Merci beaucoup pour tes histoire mariam et si t'en a plein d'autre n'ésite pas car tes histoires son comme des reveils.(et je remerci les autre aussi)
Merci encore et que Dieu nous recompense tous.
Un jour viendra,
Où le monde, après t'avoir utilisé, te rejettera.
Un jour viendra, certainement,
Où ton âme et ton corps se sépareront:c'est la mort.
Un jour viendra,
A l'évocation de ton nom,
On s'empressera de dire"Paix à son âme".
Un jour viendra,certainement,
Où tes compagnons et ta progéniture
Seront des "hypocrites".
Ils t'abandonneront, couché, dans un périmètre misérable,
Loin de tes réalisations
Dans lesquelles,tu soutirais ton plaisir.
Tu te verras ensevelir et cloîtré
Entre quatre murs face à ton Seigneur.
L'heure des comptes commencera pour toi.
Au même moment, à ton domicile,
Ce sera l'heure du partage de tes biens.
Tous seront présents,
Même tes ennemis les plus acharnés
Réclameront leur part.
On descendra tes photos du mur
Pour un endroit isolé.
Ton très cher ami viendra demander
La main de ta belle épouse.
Pendant que ta progéniture comblera ton absence
Dans les passions de ce monde.
Tout deviendra comme si tu n'avais pas
Passé une seule minute sur terre;
Tu regarderas, avec amertume,
L'ingratitude de l'espèce humaine.
Tu te rendras compte alors,
Que la richesse de l'agrément des hommes
N'est que perdition et futilité.
Mais que servira ce regret?
En attendant ce jour,
Oublie les éloges et blâmes des hommes
Et consacre toi exclusivement,
Dans tous tes actes, toutes tes paroles et oeuvres,
A l'adoration de ton Créateur.
Alors,le jour où les hommes iront t'abandonner seul,
Ton Seigneur, Le Très Haut, te comblera
De Ses bienfaits incommensurables et
C'est cela la grande réussite!
Allah! Point de Dieu que Lui
Le Vivant, L'Absolu
salam!!
La réflextion
Pourquoi tu ne te poses pas des questions ?
As-tu peur de la réponse ?
Es-tu conscient ?
De posséder cette chance?
Ton atome d'acte tu le verras
Et ce jour là
Il sera trop tard
Mais aujourd'hui il n'est pas tard
Réfléchi bien, soit malin
Et ton destin, sera le bon chemin
Tu remarqueras que tes instants présents
Ne dureront qu'un petit moment
Sache alors
qu'un jour tu seras mort
Et que toutes tes richesses ici bas
Tu ne les gardera pas
Tu seras jugé
Tu ne pourras pas y échappé
Peut-être que tu sauras
Que la vérité t'était dévoilé ici-bas
Salam
Al Hamdoulillah
A l'adolescent qui se plaint de la vaisselle a faire,
ça veut dire qu'il est à la maison et non dans la rue...
Aux impôts que je paie,
ça veut dire que j'ai un emploi...
Au ménage à faire après un festin,
ça veut dire que j'étais entouré(e) d'ami(e)s...
A mes vêtements qui sont juste un peu trop serres,
ça veut dire que je mange à ma faim...
A mon ombre qui veille sur moi au travail,
ça veut dire que je suis en pleine lumière...
A la pelouse qui à besoin d'être tondue, aux fenêtres à nettoyer
et aux planchers à laver, ça veut dire que j'ai un toit...
Aux plaintes faites à nos gouvernements,
ça veut dire que nous avons la liberté d'expression...
Au dernier stationnement que j'ai trouvé au bout de la cour du magasin,
ça veut dire que je suis capable de marcher...
A ma grosse facture de chauffage,
ça veut dire que je suis au chaud...
A la personne derrière moi qui parle trop fort,
ça veut dire que j'entends....
A ma pile de linge sale à nettoyer et à repasser,
ça veut dire que j'ai des vêtements à porter...
A l'épuisement et à la douleur musculaire à la fin de la journée,
ça veut dire que je suis capable de travailler dur physiquement...
A la sonnerie de mon réveille-matin,
ça veut dire que je suis vivant(e)...
Hamdoulillah pour toutes ces belles choses qu'on ne remarque même plus avec le temps...
10 Euros...pour jouer avec toi.
Un homme arrive chez lui un soir fatigué
après une dure journée de travail,
pour trouver son petit garçon de 5 ans
assis sur les marches du perron.
"Papa, est-ce que je peux te poser une question?"
"Bien sûr!"
"Combien gagnes-tu de l'heure?"
"Mais ça ne te regarde pas fiston!"
"Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!"
"Bon, si tu veux absolument savoir, 10€ de l'heure".
Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :
"Papa, pourrais-tu me prêter 5 €?"
"Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.
Pour m'emprunter de l'argent!
Va dans ta chambre et couche-toi.
J'ai eu une journée éprouvante,
je suis fatigué et j'ai pas le goût de me faire achaler
avec des niaiseries semblables".
Une heure plus tard,
le père qui avait eu le temps de décompresser un peu
se demande s'il n'avait pas réagi trop fort à la demande de son fils.
Peut-être bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important.
Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.
"Dors-tu?"
"Non, papa!"
"Écoute, j'ai réfléchi et voici les 5 € que tu m'as demandé".
"Oh merci papa!"
Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort 5 € .
Le père en voyant l'argent devient encore plus irrité.
"Mais pourquoi tu voulais 5 €?
Tu en as 5 €! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?"
"C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant j'en ai juste assez.
Papa... est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps?
Demain soir, arrive à la maison plus tôt,
J'aimerais jouer avec toi
salam
Très belle histoire Tribal C.
;)
salam, c vrai tribal que ton histoire est trés trés belle machallah!!!
Merci mes soeurs,
Comme quoi il ne faut pas que nos ambitions professionnelles nous fassent oublier ce que l'on a de plus chere.
C'est trop mignon cette story... :-[
Et la morale l'est tout autant...
Et comme on dit la vie est une question de priorités... et a nous de définir les notres!!!
MAMAN
Le bébé : On m'a dit que tu vas m'envoyer sur terre mais comment vais-je vivre là-bas, alors que je suis si petit et sans défense ?
Une personne t'attend et elle prendra soin de toi.
Le bébé : Ici, je n'ai rien d'autre à faire que sourire et chanter pour être heureux. Que devrais-je faire sur terre ?
La personne, qui t'attend, chantera pour toi et sourira aussi pour toi toujours, tu ressentiras alors son amour et tu sera heureux.
Le bébé : Et comment serais-je capable de comprendre ce que l'on me dira, si je ne connais pas la langue ?
La personne t'apprendra les mots les plus beaux et les plus tendres que tu n'as jamais entendus et avec beaucoup de soin et de patience elle t'apprendra à parler.
Le bébé : Et que devrais-je faire pour parler à Dieu ?
La personne t'aidera à te prosterner et il t'apprendra à prier
Le bébé : Qui me protègera ?
La personne te protègera au péril de sa vie.
Le bébé : Mais je serai toujours triste...
La personne te parlera toujours de Dieu et il t'apprendra à revenir vers Dieu ainsi Il sera toujours près de toi.
A ce moment-là il y eut un grand silence et l'on pouvait entendre des voix venant de la Terre (les docteurs de la salle d'accouchement) et l'enfant pressé parce qu'il devait partir tout de suite posa une dernière question.
Le bébé : Si je dois partir maintenant, dis moi s'il te plaît le nom de cette personne ?
Tu l'appelleras simplement "maman".
;)
Machallah ton histoire Diana!
salam a toutes.
Vraiment Machallah pour cette belle histoire diana
Bonjour
Ton histoire est jolie! On attend avec impatience celle de warante aussi.
Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux deux
extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.
Cela dura deux ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne
livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la
jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
Au bout de deux ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
"Pourquoi ? De quoi as-tu honte" demanda le porteur d'eau. "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces deux ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts" , lui dit la jarre abîmée.
Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion répondit : "Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin" . Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau. Le porteur d'eau dit à la jarre. " T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ?C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton côté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant deux ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de Magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses. "
Morale de l'histoire :Nous avons tous des éclats, des blessures, des
défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes !
Vous devez prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien en eux.
et ben ... tres belle histoire!!!!
Bayou...
Je ne connais pas de belles histoires... ;D
Contente toi de celles de Tribal que je m'octroie par procuration... ;)
Ce que j'aime dans ces histoires c'est la morale... sincèrement ca nous ouvre les yeux sur beaucoup de choses et nous permettent de relativiser sur nos caprices et chichis de bonnes femmes ;D ;D ;D
C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années. De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman.
Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions?
Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah(si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions.
Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement.
Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté).
Jeune homme: J'ai 3 questions:
1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme.
2.Qu'est- ce que le takdir(destiné) ?
3. Si le shaitan(Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu.Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça rendu à ce moment là ?
Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme.
Jeune homme(douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi !?
Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions.
Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas.
Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ?
Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr.
Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe?
Jeune homme: Oui.
Savant: Montre moi la forme de la douleur !
Jeune homme: Je ne peux pas.
Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme.
Savant: La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ?
Jeune homme: Non.
Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ?
Jeune homme: Non.
Savant: C'est ce que le takdir(destiné).
Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé?
Jeune homme: Elle a été créé de peau.
Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé?
Jeune homme: De peau.
Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé?
Jeune homme: Douleureux.
Savant: Même si Shaitan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insh-Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan.
C'est 1 histoire que j'avais piqué sur l'ancien Forum et que je souhaite re diffuser pour ceux qui ne la connaisse pas.
Salam aleycoum
Il était 4 h du matin
Lorsque la mort frappa à la porte.
Qui est-ce ? S'écria l'homme hébété.
Je suis Izraël. Laisse-moi donc entrer!
Alors l'homme se mit à trembler,
Comme pris d'une fièvre subite.
Il cria à sa femme endormie :
Ne le laisse pas me prendre la vie !
S'il vous plaît, O Ange de la mort !
Laissez-moi, je ne suis pas encore prêt.
Ma famille vit à mes dépens,
De grâce, ton acte suspend .
Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa porte.
Ô mon ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé,
Prépare-toi, pour la tombe,
C'est pour maintenant.
Je te couvrirai d'or,
Mais épargne-moi la tombe sombre.
Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon le vœu d'Allah ?
Viens, souris-moi et ne t'attriste point,
Soit heureux de revenir vers Lui.
Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le temps de penser à Allah,
Du matin au soir, je faisais ma richesse sans pensée pour ce moment.
Aux ordres d'Allah, je n'ai point obéi,
Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n'ai prié.
Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan" passaient,
Mais toujours sans mon repentir.
Le Hajj fut déjà Faraz sur moi,
Mais de mon argent, je ne voulus point me départir.
La charité, j'ignorais,
Mais l'usure et l'intérêt, je m'en accaparais.
Mes engagements, j'oubliais.
L’administration, je craignais,
De ma foi, j'avais honte.
Le blâme des mécréants m’effrayait.
La détresse de mes frères m’ennuyait.
Les artifices de ce monde m'attiraient.
Les mécréants, j'imitais,
Le champagne et le vin, j'appréciais.
Les femmes m'attiraient.
Malheur sur moi!
Ô ange, accorde-moi donc un sursis.
J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier de ta vie .
Ne sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque âme ?
Tu as vécu dans ce monde et tes parents tu as négligé,
Tandis que le mendiant, affamé, tu repoussais.
Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits.
Tes fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi.
Au lieu de procréer des musulmans,
Tu as fait de tes enfants des mécréants.
Riches, mais si pauvres !
L'appel du muezzin, tu ignorais,
Tout comme le Coran t'est étranger.
Tes promesses ne furent jamais tenu,
Et ton arme favorite était la calomnie.
Tes employés, tu sous-payais,
Et le fruit de leur travail, tu récoltais,
Jamais partagé avec le pauvre ou l'orphelin.
Les malades tu fuyais la compagnie.
Ô ange de la mort,
Je sais, j'ai honte
Que n'ai-je reçu de ta part,
Des signes, quelques avertissements,
De cette mort si imminente !
Âme misérable, le Créateur y a pourvu.
Point donc ne L'insulte, Il est parfait.
Mais à Ses signes tu restais sourd et aveugle.
Tes cheveux blancs t'annonçaient le retour...
Ta vue faiblissante t'annonçait le retour...
Ta force qui s'étiole t'annonçait le retour..
Ton échine recourbée t'annonçait le retour...
Voilà des avertissements suffisants,
Pour des gens qui réfléchissent !
Mais ta préoccupation se confinait à ce monde.
Puisque le Coran tu as ignoré,
Sache au moins alors, qu'il y était écrit
Que ce monde n'est qu'un éclair devant l'éternité.
Mais les avertissements du Coran, tu as dédaigné!
Cesse de pleurnicher, O humain!
Vers ton Créateur sera ton retour,
Car ton âme je la prends maintenant.
Le répit m'est interdit.
Un cri de l'homme et sur le sol il s'affaissa.
Son corps immobile, son visage éteint.
Il semblait se reposer, du sommeil éternel.
Son corps ne pouvait simplement plus exprimer
La douleur alors toujours intense de l'âme qu'on arrache.
Qu'Allah nous épargne du châtiment de l'enfer. Amine.
Amine
Une petite histoire reconduite :
Il était une fois, un jeune homme allant rendre visite à sa future compagne, a trouvé le père de celle-ci pleurer à chaude voix.
Sans demander ce qu'il en était, le jeune homme retroussa furtivement et obstinément les manches de son boubou, histoire de donner correction à celui qui a fait tort à son futur beau-père en sanglots et se tenant le bras en disant woyi nkitéé, nkitéé kutiwoo!!!!!
Promptement, sa dulcinée se présenta et lui expliqua que son père venait de subir l'attaque d'un gnonnto (scorpion). Le jeune homme, ignorant ce qu'est un gnonnto, retroussa fort de belles manières les manches de son boubou, se bomba la poitrine et demanda qu'on lui présenta le fauteur de trouble!!! Gnonnto ke kha, na ayinkola kra wathia wathia!
L'élue de son cœur lui demanda de calmer ses ardeurs et que l'intrépide avait pris la tangente après son forfait mais, ne pouvant pas demeuré insensible aux cris woyi nkitéé, nkitéé kutiwoo, le jeune homme insista pour qu'on lui présenta le semeur de troubles dans l'intention de lui arranger le portrait!
Alors, la belle demoiselle lui donna rendez-vous aux champs d'arachides, le lendemain. Il s'en alla chez lui, bombant la poitrine en jurant de régler le compte à ce petit morveux!
Aux premiers chants du coq, le jeune homme gaillardement paré de ses armes, l'air très grave, se présenta chez sa princesse à qui il intima l'ordre de prendre la route pour les champs.
Arrivé aux champs de bataille, le couple se déchargea, mais notre ami, au pied de guerre, se mit à inspecter le terrain, en bon stratagème alors que sa tendre moitié s'en donnait allégrement au désherbage des mauvaises herbes se trouvant aux pieds des arachides.
Soudain, elle sursauta et, notre chevalier ne se faisant pas prié, accouru et dit manni manni?!! L'indexant du doigt après s'être bien gardée de s'approcher du petit morveux, la jeune fille d'un air terrifié cria a fay, a fay, gnonnto fay!
Le bonhomme surpris par la petitesse de l'intrépide s'en saisi inconsciemment. A sa grande surprise, il receva une dose cinglante du venin du petit morveux de gnonnto qu'il s'empressa de lâcher et de bondir comme une gazelle poursuivie par une panthère!
La main tremblante, notre bonhomme en sueur, s'accorda quelques instants de silence à même par terre et d'une voix étouffante, tête baissée, la main entre les jambes dit à sa future dame, en fait ton pppééérrrre, ton père a aaa a fort bien raison de pleurer, il a raison de pleurer, il doit pleurer et pour solidariser avec lui, je ne m'en priverais pas!!! Et sans se faire prier, il se mit à crier woyi nkitéé, gnaagou woo, nkitéé kutiwoo, gnonnto magna woo, yagoudou lokhé gnaani!!!!!
C'est en ces termes que nous laissâmes notre jeune homme prendre connaissance avec l'étourdi de gnonnto. Ne sous-estimez jamais votre adversaire! ;D
Un garçon demande à sa mère:
"Pourquoi pleures tu?
-parce que je suis une femme, lui répond-elle
je ne comprend pas dit-il!!"
Sa mère l'étreint et lui dit:
"Et jamais tu ne réussiras à comprendre."
Plus tard le petit garçon demanda a son père:
"pourquoi maman pleure t-elle?
_je ne comprend pas ! toutes les femmes pleurent sans raison."
Ce fut tout ce que son père put lui dit.
Devenu adulte il demanda à un homme sage :
"Pourquoi les femmes pleurent elles?"
Le sage lui répondit:
"Quand la femme a été crée elle devait être spéciale.
Ses épaules ont était faites assez forte pour porter le poids du monde et assez douce pour être confortables.
Elle a la force de mettre au monde un enfant, et celle d'accepter le rejet qui vient souvent des enfants.
Elle à la force de continuer quand tout le monde abandonne.
Celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Elle à la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel même quand ces derniers l'ont blessé durement.
Elle a la force de supporter son mari dans ses défauts et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement elle a des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.
machallah ce texte, barakallah fik toxoma.
SLM MARYAMA
BELLE HISTOIRE ;)
Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant
bien haut un billet de 50 Euros.
Il demande aux gens :
"Qui aimerait avoir ce billet ?"
Les mains commencent à se lever, alors il dit :
"Je vais donner ce billet de 50 Euros à l'un d'entre vous mais
avant laissez-moi faire quelque chose avec."
Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :
"Est-ce que vous voulez toujours ce billet ?"
Les mains continuent à se lever.
"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."
Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus,
l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.
Ensuite il demande :
"Qui veut encore avoir ce billet ?"
Évidemment, les mains continuent de se lever !
"Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce
que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur
n'a pas changé, il vaut toujours 50 Euros."
"Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie
vous serez froissé, rejeté, souillé par les gens ou par les événements.
Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en
réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment!
La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou
pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs
car votre valeur intrinsèque est toujours intacte."
Bien vu l'histoire Diana j'éspere qu'elle va permettre de remettre certaines personnes d'aplomb.
Bonne journée
Bonjour !
Belle histoire à très bonne morale.
Salam.
Bonjour Maryama et Diana, entre autres!
Les philosophies ou les moralités de vos deux histoires sont incotestables. Donc nous avons à les intégrer dans nos façons de nous comporter. Merci à toutes les deux.
bonsoir
tres belle histoires les filles merci elles redonne la peche :-* :-* :-* :-*
salam ," ECCHO " les filles,quelles belles histoires !et quelles impulsions pour mieux démarrer l'année 2007, pour pouvoir bien méditer sur les philosophies et les morales des histoires . Merci pour ça les filles
salam aleykoum
une tres belle histoire et une tres grande morale.
si vs en avez d'autre, ns les attendons avec impatience
Si tu savais...
Les matins où l’on se lève avec au cœur la folie des Hommes. Leur soif de pouvoir, d’argent et l’univers sombre de toutes les apparences et de toutes les suffisances.
Et l’on cherche autour de soi, les consciences et les cœurs portés par l’amour, la conscience et la dignité.
Ces matins de solitude et de doute où les amis de nos combats nous inquiètent de tout oublier et de s’oublier entre deux rencontres, deux soirées, deux cafés, deux magazines de modes bientôt démodées... à parler, à lire, à se divertir.
Et tous les miroirs nous parlent de nos insuffisances, de nos lâchetés et de nos silences. Incapable d’avancer avec soi, avec qui donc faire la route ? Tu sais, n’est-ce pas, ces matins d’étouffement et de morales douleurs ?
Et puis lever la tête. Observer plus loin... les souffrances de tous les opprimés, les tortures des torturés, la mémoire humiliée de l’Afrique, la dignité des peuples. Lever la tête, réveiller son cœur, inviter sa foi... dialoguer avec sa force et son énergie.
Suivre sa route. Malgré les démissions, les trahisons, les soutiens frileux qui ne coûtent rien... combien luttent tant que cela ne coûte rien... Suivre sa route « comme un étranger, ou un passant », offrir, donner, aimer, et donner encore. Malgré tout.
Lever la tête, suivre sa route, offrir son cœur et l’amour. Libre, en passant. Et passer. Si tu savais... ce qui naît, ce qui reste, de ce réveil intérieur, de ces luttes de l’intimité, de ce jihâd du cœur.
Si tu savais. Lui parler enfin, sans mots, sans limites, sans gêne. Avec force, avec pudeur. S’isoler dans Sa Présence, chercher Sa Lumière. Etre seul pour ne plus être seul. Lui dire, Lui confier, appeler Sa Lumière et se protéger de Lui, en Lui, loin de toutes les obscurités... les tiennes et celles de l’Humanité.
Si tu savais, si tu te rappelais ce qui peut naître de l’alchimie de ces souffrances, dans Sa proximité... dans la fulgurance, dans l’instant, ce qui peut naître de liberté.
Un matin, l’aube. Si tu savais... la force de cette liberté.
TA PAUVRE MERE
Mon fils cette lettre est de ta pauvre mère. Je l' ai écrite avec pudeur après une longue hésitation. J' ai pris plusieurs fois le stylo mais mes larmes l' ont emprisonné. J' ai retenu mes larmes plusieurs fois, mais les blessures du cœur ont surgi.
Mon fils après cette longue vie, je te regarde en tant qu' homme parfait, raisonnable et plein d'émotion .
Je considère qu' il est de mon droit que tu prennes le temps de lire ces quelques pages.
Après cela, déchire les comme tu as déchiré mon cœur.
Mon fils il y a vingt cinq ans c' était un grand jour dans ma vie, quand le médecin m' a affirmé ma grossesse !
Les mères, mon fils, connaissent bien le sens de ces mots !
C'est un mélange de joie et de bonheur et le début de souffrances causées par les changements biologiques et physiques . après cette bonne nouvelle, je t' ai porté pendant neuf mois.
J' ai porté la joie dans mon ventre, je me levais avec difficulté, je dormais avec difficulté, mais tout cela n' a rien changé à l' amour que je porte pour toi.
Au contraire l' amour s' est renforcé de plus en plus avec le temps et l' envie de te voir encore plus.
Je t' ai porté jour après jour, souffrance après souffrance et peine après peine.
Ma joie était grande à chaque mouvement, à chaque prise de poids et tout cela était lourd à supporter.
Une longue période de souffrance éclairée par une lueur de joie en cette nuit où je n' ai pas dormi, ou la douleur, la peur, l' émotion que je n' arrive pas à décrire ni à exprimer m'ont envahi.
L' extrême douleur m' a empêchée de pleurer en regardant la mort de près plusieurs fois.
Enfin venant au monde, tes cris enlevant toute peine et douleur, accompagnaient mes larmes de joie.
Je me suis penchée difficilement pour t' embrasser avant que tu ne sois touché par une simple goutte d'eau.
Mon fils les années sont passées et je t' ai toujours eu dans mon cœur, je t' ai lavé de mes propres mains, mes jambes et mes bras étaient ton berceau quand je veillais pour que tu puisses dormir.
Je me suis fatiguée et je me suis surpassée pour que tu sois heureux ; ma seule joie était de te voir sourire.
Et ma joie de tout instant était que tu puisses me demander un service, c' était mon bonheur.
Les soirées sont passées ainsi que les jours et moi toujours à tes services, une mère infatigable et ouvrière sans répit priant Dieu toujours pour toi qu' Il te comble de bonheur et de prospérité.
Je t' ai observé jour après jour jusqu' à ce que tu sois devenu un jeune homme, prenant par la suite la carrure d'un homme, soudain je me retrouve à te chercher à droite et à gauche la femme que tu as demandée.
Le jour de ton mariage est arrivé où le cœur serré, j' ai caché mes larmes de joie pour ta nouvelle vie ainsi que ma grande tristesse suite à notre séparation.
Les heures pesantes sont passées, les moments s' écoulaient doucement, soudain j' ai découvert que tu n'étais plus le fils que j' ai connu.
Le sourire a disparu, ta voix a disparu, tu es devenu distant, tu m' as oubliée et ignorée.
J' ai attendu ton retour ; espérant entendre au moins ta voix, mais ton absence a duré et les jours identiques se succédaient.
J' ai observé longuement la porte mais tu n' es pas venu. J' ai couru comme une folle après chaque coup de téléphone .
Les nuits sont devenues de plus en plus sombres... Les journées s' allongeaient de plus en plus, sans te voir ni t' entendre.
Ainsi tu as ignoré et méprisé celle qui s' est occupée de toi durant tout ce temps.
Mon fils, je ne demande que peu de choses, considères moi comme l' un de tes amis ou du moins comme les moins estimés de tes amis.
Ajoutes moi dans ta liste mensuelle : une visite par mois.
Mon fils mon dos s' est courbé, mes membres commencent à trembler, les maladies m' ont encombrée, les handicaps m'ont visitée de très près car je bouge difficilement. J' ai du mal à m' assoire et malgré tout cela mon coeur ne cesse de battre pour toi.
Je pense que si un jour quelqu' un te rendait service, tu l' aurai remercié !
Mais ta mère l' a fait pendant des années. Alors où sont la récompense et la fidélité envers ta mère !!!
Mon fils tu ne peux pas savoir ma joie quand j' entends dire que tu es heureux .Je suis émerveillée car tu es mon invention.
Qu' ai-je fais pour devenir ton ennemie ??
Ai-je commis une erreur envers toi ou ai-je refusé de t' aider un jour ??
Considères moi comme une femme de ménage avec un salaire.
Offre moi une part de ta bonté car Dieu aime les bienfaiteurs.
M on fils j' espère te revoir, je ne veux que cela. Laisse moi voir ton visage même dans les moments les plus terribles.
Mon fils mon cœur est brisé, mes larmes ont coulé et toi tu vis ta vie en m' ignorant. Les gens témoignent encore de ta bonne éducation et de ta bonté.
Mon fils, n' est-il pas temps pour que ton cœur réagisse face à cette mère affaiblie et pleine d' espoir de te revoir, attristée, renfermée et abandonnée loin des siens.
Mon fils, frappes à la porte du paradis avec le sourire et pardonnes ! Pour l' amour de Dieu comme dit le hadith (Le père est la porte du milieu du paradis, à toi de choisir de la garder ou de la perdre)
Je te connais depuis si longtemps, tu aimes les bons gestes et tu es toujours à la recherche des bonnes ouvres, mais aujourd' hui tu as oublié le hadith (qu' il soit humilié, humilié, humilié celui qui dont le père et la mère, ou l' un d'eux, atteint la vieillesse auprès de lui et il ne mérite pas d'entrer au paradis.)
Où sont les bons gestes ? Mon fils je ne lèverai pas le ton de plainte afin qu' elle n'arrive pas aux cieux et que la colère de Dieu puisse tomber sur toi comme la foudre. Non je ne le ferai pas car tu es toujours mon fils.
Ma raison d' être dans la vie. Réveilles toi, les cheveux blancs commencent à couvrir ta tête bientôt tu seras vieux et tes enfants te récompenseront de la même manière et tu écriras avec des larmes ces lettres que je suis entrain d' écrire maintenant.
Et devant Dieu nous nous retrouverons un jour ! Mon fils aies crainte de Dieu.
Le paradis se trouve aux pieds de ta mère.
Fais un geste envers ta mère afin de la rendre heureuse sinon déchire cette lettre et rappelles toi qu' un bon geste est en ta faveur et qu' un mauvais geste te retombera dessus et tu en subira les conséquences.
Ta mère, Qui t'aime
En route!!
Un jour, un homme proposa à sa famille (sa femme et sa fille) d'aller faire une virée en voiture dans le sud du pays. Sa famille, excitée par l'idée, accepta naturellement!
Cet homme s'installa au volant, sa femme à ses cotés et la fille à l'arrière!
Après quelques kilomètres sur la route, il vit un homme au milieu de la route qui lui fit signe de s'arréter.
Il s'arrêta et s'adressa à l'auto-stoppeur :
- "Êtes-vous stupide monsieur? Vous allez finir par vous tuer à rester au milieu de la route!
- L'homme lui répondit tranquillement : je veux faire le voyage avec vous!
- Il s'étonna et lui dit : "mais il n'y a pas assez de place ici mais d'abord qui es tu ?"
- Et l'homme lui a répondu : "je suis la richesse!"
Il comprit rapidement qu'il ne fallait pas rater cette occasion et accepta sa compagnie en demandant à sa femme de s'installer à l'arrière avec sa fille pour laisser la place à son nouvel ami. La femme mécontente mais obéissante laissa sa place à cette richesse
Après plusieurs kilomètres, Il vit une deuxième personne au milieu de la route.
En freinant avec beaucoup de peine la voiture, il réussit à s'arréter à hauteur de l'inconnu et lui demanda tout en lui criant dessus:
- "Qui es-tu l'ami? Tu as faillis tous nous tuer!".
- L'homme lui répondit paisiblement : je veux voyager avec vous!
- Il se dit que peut-être il lui apporterait beaucoup comme son nouvel ami la richesse : "Et qui es-tu l'ami?"
- Et l'homme lui répondit : "je suis la chance"
Sans hésiter, il dit à sa femme de laisser une place à ce monsieur! Désolé, la femme dû prendre sa fille sur ses genoux car il prenait énormément de place!
Heureux comme un petit bébé, il reprit la route avec un grand sourire sans même se préoccuper de sa femme et de sa fille trés mal installées. On peut le comprendre non? A présent, il a la richesse et la chance de son coté! Une vie magnifique l'attend!
A peine quelques kilomètres plus loin, un vieil homme coupa la route et fit signe avec sa canne d'arrêter la voiture.
Obligé de s'arréter il lui dit : "je n'ai pas de place pour toi vieillard!"
Le vieil homme qui paraissait fatigué lui dit : "j'ai faim, froid et je suis épuisé, pourrais-tu me ramener avec toi, je pourrais te servir tu sais!"
- "Et qui es-tu?"
Le vieil homme lui répondit : "je suis la foi"
- "Ecoute vieillard! Je n'ai pas de place, je repasserais te prendre plus tard"
- "Attend jeune homme! Si tu n'as pas de place, alors laisse moi monter dans le coffre, je ne te gênerai pas, je te jure!
- "J'ai dis pas de place, au revoir!"
Et il laissa le vieil homme au bord de la route.
Quelques heures plus tard, Il s'approcha de sa destination et aperçu un homme au bord de la route! Etrangement la voiture tomba en panne au niveau de cet inconnu!
Par crainte il dit :"si toi aussi tu veux monter, je peux te faire de la place."
Le grand homme lui dit : "Je ne voyage pas! Je suis simplement venue te chercher"
Effrayé, il lui dit : "mais qui es tu ?"
Le grand homme lui dit : " je suis l'ange de la mort et ton temps est terminé"
Il commença à essayer de négocier avec lui en lui proposant ses amis : la richesse et la chance. Sans succès!
Il le supplia de lui laisser un petit délai mais en vain!
L'ange de la mort lui demanda : As-tu "la foi" avec toi?
- "Non, je n'ai jamais entendu parlé de lui"
La richesse et la chance s'empressèrent de le corriger : "Si! Il a refusé de le faire monter dans la voiture, nous sommes témoins"
Comment pouvaient-ils le trahir? C'était pourtant ses amis!?
- "Si la foi n'est pas avec toi, je te ramènerai seul et je peux te dire que sans la foi, un dur chatiment t'attend!
L'ange de la mort l'emmena avec lui sans remords...
La morale:
Spiritualité ou matérialisme?
salam aleykoum
tres belles histoires.
une autre, une autre, une autre :) :) :)
Un employé d'une grande entreprise prend le téléphone et dit :
"EH, MA POULE !!! PREND TON JOLI PETIT C.. ET MONTE-MOI UN CAFÉ ET
UN CROISSANT, ET PLUS VITE QUE CA MA BELLE !!!"
De l'autre coté du téléphone une voix très masculine répond :
"ESPÈCE DE C.. , TU T'ES TROMPE DE NUMÉRO. SAIS-TU A QUI TU PARLES?!?
AVEC LE DIRECTEUR-GENERAL, ESPÈCE D'IMBÉCILE !!!"
Et l'autre lui dit :
"ET TOI, C........., TU SAIS A QUI TU PARLES ???"
Le directeur rétorque :
"NON...!!"
Et l'employé répond :
"OUF !!!"
Et il raccroche...
salam aleykoum
Un professeur de philo athee evok a sa classe la contradiction que la science porte envers l existence d'un Dieu tt puissant.
Il demande a un de ses nouveaux élèves Musulman:
PROF:"tu es musulman, n est ce pas jeune homme?"
ELEVE: "oui Monsieur!"
P:"donc tu crois en Dieu?"
E:"Absolument, Monsieur!"
P:"est ce ke Dieu est bon?"
E:"Biensur!"
P:"est ce ke Dieu est tt puissant?"
E:"Oui!"
P:"Mon frere est mort d un cancer alors k il priait Dieu de le guérir.Nimporte ki parmi nous aiderait un malade.Or Dieu ne l a pas fait. Comment peut Il donc etre bon? hein?!"
(l eleve est silencieux)
P:"tu ne peux pas y repondre, n est ce pas! Bon recommencons jeune homme. est ce ke Dieu est bon?"
E:"Oui!"
P:"est ce ke satan est bon?"
E:"Non!"
P:"ki a créé satan?"
E:" heuuu.... Dieu!"
P:"exactement! di moi, y a t il du Mal ds ce monde?"
E:"oui!"
P:"le Mal est partout, n est ce pas? et Dieu est le Créateur supreme, ai je rézon?"
E:"oui!"
P:"donc ki a créé le Mal?"
(l eleve ne repond pas)
P:" y a t-il de la maladie? de l immoralité? de la haine? de la mocheté? ttes ces choses horribles existent ds ce monde n est ce pas?!"
E:"Oui monsieur!"
P:"Donc ki les a créées?"
(l eleve reste silencieux)
P:" la science admet ke l on a 5 sens pour identifier et observer le monde autour de nous. Dis moi jeune homme, as tu deja vu ton Dieu?"
E:"Non monsieur"
P:" As tu deja entendu ton Dieu?"
E:"Non monsieur"
P:"as tu deja touché ton Dieu? as tu deja gouté ton Dieu? as tu deja senti ton Dieu? as tu deja u une perception sensorielle de ton Dieu?"
E:" non monsieur, jamais"
P:" mais pourtant tu y crois toujours?"
E:" absolument"
P:"Selon le protocole scientifik, il est ainsi démontré ke Dieu n existe pas. ke dis tu de cela?"
E:" rien, je n ai ke ma Foi!"
P:" oui, la Foi, et c est justement le probleme ke la science a!"
E:"Monsieur, existe t il une chose telle ke la chaleur?"
P:"oui"
E:"et existe t il une chose telle ke le froid?"
P:"oui!"
E:"non Monsieur, il n y a rien de tel"
(le professeur en demeure silencieux)
E:"monsieur, on a la chaleur, encore plus de chaleur, la super chaleur, la mega chaleur, tres peu de chaleur ou pas du tt de chaleur. mais on a rien de tel ke le froid. on peut atteindre 458 degrés en dessous de zero, ce ki est absence de chaleur, mais on ne peut pas aller plus loin. il n y a rien de tel ke le froid. "froid" est juste un terme ke lon emploi pr designer l absence de chaleur. on ne peut pas mesurer le froid. la chaleur est une forme d energie.le froid n est pas l opposé de chaleur, mais tt simplement l absence de chaleur."
(un silence règne ds tte la classe)
E:"et alors l obscurité, monsieur? existe t il une chose telle ke l obscurité?
P:"oui, bien entendu... qu est ce qu est la nuit s il n y a point d obscurité?"
E:" vous avez encore tort monsieur! l obscurité est l absence de kke chose. on a la lumiere faible, la lumiere normale, la lumiere brillante, la lumiere étincellante... mais qd il ny a pas de lumiere, il n y a rien, et on appelle ca obscurité, n est ce pas? en réalité, l obscurité n existe pas. si el existait, on aurait un degré d obscurité... on pourait rendre l obscurité plus obscure..."
P:"et alors kel est le rapport jeune homme?"
E:"monsieur, le rapport est ke, votre principe philosofik est imparfait"
P:"imparfait? comment ca?"
E:" monsieur vous rézonez selon le principe de la dualité. vs discutez le fait k il y ait la vie, puis la mort, un Bon Dieu et un mauvais Dieu. vs percevez le concept de Dieu comme kke chose de fini, kkchose de mesurable. Monsieur, la science ne peut pas justifier une pensée.elle utilise l electricité et le magnétisme mais n a jamais vu ni completement compris ces phénomenes.percevoir la mort comme etant l opposé de la vie, c est etre ignorant du fait ke la mort ne peut exister en tant ke chose substantielle.la mort n est pas opposé de vie, elle est tt simplement l absence de vie. maintenant, dites moi monsieur... enseignez vous a vos eleves kil son l evolution du singe?"
P:"si tu fais allusion au processus de l evolution naturelle, oui biensur, je leur enseigne cela!"
E:"avez vous vu cette evolution de vos propres yeux, monsieur?"
(le professeur remue la tete, souriant, en se rendant compte de la remark de l eleve)
E:" puiske personne na observé le processus de l evolution fonctionner, et ne peu pa non plu prouver l existence de ce dernier, n etes vs pas en train de transmettre votre opinion personnelle a vos eleves, monsieur?cela ne fait il pa de vous non pas un scientifik mais un precheur?"
(la classe toujours silencieuse)
E:" est ce ke kk1 ds cette classe a deja vu le cervo du professeur?"
(la classe eclate de rire)
E:" est ce ke kk1 a deja entendu le cervo du professeur?? ou l a deja gouté,touché, ou senti? personne ne semble avoir fé de la sorte.donc pardonnez moi monsieur, mais selon votre meme protocole scientifik, il est demontré ke vs n avez pas de cervo! avec tt le respect ke je vous doi monsieur, comment peut on donc croire en vos cours?"
(la classe est silencieuse, et le professeur fixe l eleve du regard)
P:" et bien, je reconnais ke vs devé me faire confiance. en d autres termes avoir foi en moi"
E:"exactement monsieur, le lien entre l Homme et Dieu est la Foi! la FOI, monsieur! voila la solution a votre question!"
mariamou sacko tes histoires m'ont trop ému!! surtout la première
Le texte qui suit parlant de l'amitié, m'a éte envoyé par des amis. Je me permets de le partager avec vous en espérant qu'il contribuera à renforcer les liens d'amitié qui se sont forgés par l'entremise de soninkara.com, un espace aménagé de dialogue, du donner et du recevoir!
Mes amis ...
J'espère que vous aussi avez des amis...
Alors......c'est pour vous ci dessous
Bien à vous
Amitiés
Une très belle histoire et en plus, elle n'est pas
longue : C'est l'histoire de deux amis qui marchaient
dans le désert. A un moment, ils se disputèrent et
l'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier,
endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :
Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donne une gifle. Ils
continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans
lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui
avait été giflé manqua de se noyer et son ami le
sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une
pierre : Aujourd'hui mon meilleur ami m'a
sauve la vie.
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami
lui demanda : "Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le
sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre.
Pourquoi ?" L'autre ami répondit: "Quand quelqu'un
nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où
les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand
quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous
devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut
l'effacer Apprends à écrire tes blessures dans le
sable et à graver tes joies dans la pierre.
Envoie cette phrase aux gens que tu n'oublies pas. Si
tu n'envoies cette phrase à personne, cela signifie
que tu es pressé et que tu en as oublié tes amis.
Prends-toi du temps pour vivre !!!
Alors a vous tous, NON, A NOUS TOUS, que Dieu nous
bénisse
Bonne lecture!
Trés jolie texte, belle preuve d'amitié.