Et pourtant c’est une triste réalité, beaucoup d’enfants arrivent en 6ème sans savoir lire ou écrire convenablement.
La sonnette d’alarme la plupart du temps tirée en milieu secondaire, par les professeurs qui s’en aperçoivent lors des réunions des professeurs et des délégués de classe, au cour desquelles chaque professeur d’une matière émet un avis sur le travail scolaire de chaque élève, autrement dit le conseil de classe.
C’est là qu’ils s’accordent à reconnaître des difficultés d’apprentissages qui résultent d’un problème de lecture qui se répercutent sur les autres matières.
Un élève peut en effet savoir lire mais avoir des lacunes au niveau de la compréhension : d’un texte, d’un énoncé etc… Certes ils existent d’autres facteurs qui expliquent les lacunes…J’ai cité l’exemple de la lecture car c’est le plus courant.
- Comment se fait-il que les enseignants du primaire ne parviennent pas à déceler les difficultés de lecture de certains élèves ?
- Le savent-ils (enseignants du primaire) dès le départ ?
- Bon mettons qu’ils le savent pourquoi un tel laxisme qui fini par porter préjudice dans la vie future de l’élève ?
- Pourquoi ne se penchent- ils pas de plus près sur le problème durant toute le cycle en primaire ?
- Les méthodes d'apprentissages préconisées, sont-elles les bonnes ?
C'est tout le système éducatif de la maternelle au collège, qui est à revoir si l'on en juge par ce qui est écrit dans l'article concernant ce rapport qui a été établie.
Salam.