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Discussion: Ecole publique / Ecole privée

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  1. 24/12/2008, 12h53 #1
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    Bonjour!

    Vous avez bien fait d'étendre le débat à l'Afrique.


    Citation Posté par daouda kambiya wague Voir le message
    Salam pour le cas du senegal que sa soit le prive ou le publque les niveaux des eleves est le meme sauf 2ou 3 ecoles sont au dessus du lots en plus la les plus parts des ecoles privees donnent des fausses pourcentages de reussites a les examens pour avoir une bonne images et en fins les ecoles de formaations poussent comme des chanpignons avecs des diplomes pas du tous coherant
    Effectivement, plein d'écoles privées (qu'elles soient du secondaire ou du supérieure) ne sont que des boutiques au Sénégal. L'inflation des établissements privés au Sénégal ne rime pas avec la qualité de l'enseignement dispensé. Je suis d'accord avec toi.

    Citation Posté par Lassana Bathily Voir le message
    Salam mon frere;je ne suis pas du tout d'accord avec toi quand tu dis qu'au senegal; les eleves du public et du privé ont le meme niveau.
    Et je voudrai que tu me dise les noms des deux ou trois ecoles qui sortent du lots.
    Au senegal il y'a de tres bonnes ecoles privées,le probleme avec certaines ecoles privées,c'est que la majorité des eleves renvoyés du public y trouvent refuge et qu'elles ne sont pas tres selectives dans le choix des eleves à accueilir.
    Lassana, en disant que les élèves renvoyés des écoles trouvent refuge dans les écoles privées au Sénégal (comme Mauritanie d'ailleurs), tu as tout dit. Je t'assure que j'ai connu des écoles privées en Mauritanie où le niveau est drastiquement faible par rapport à l'école publique, car tu paies et tu es en droit d'exiger ton passage en classe supérieure. Je suis à ce niveau bien d'accord avec Daouda Kambiya Wagué.

    Pour ajouter un autre aspect à la question, on voit depuis un certain temps, en Mauritanie, des professeurs qui donnent des cours de soutien en privé à leurs élèves venant des établissements publics. Si la chose en soi est bonne, il est entrain de tuer à petit feu l'école publique. Je dis cela parce que nombreux sont les enseignants du secondaire qui, par l'appât du gain, font la paresse en classe publique, en corrigeant que peu d'exercices en classes pour que leurs élèves aillent s'inscrire dans leurs cours privés. Il y a parmi les enseignants qui ne proposent lors des examens, que les exercices corrigés dans le cadre de leurs cours privés. Tout cela pour attirer les élèves vers leurs cours privés. Pour moi, toutes ces démarches sont malsaines et font drastiquement baisser le niveau des élèves et porte préjudice à la qualité de l'enseignement dispensé dans les deux établissements.

    Moi, je pense que l'état doit réglementer l'ouverture de toutes ces petites boutiques qui, hélas, sont entrain de sacrifier l'école, ce sanctuaire de la science.
    Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 25/12/2008 à 11h30
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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  2. 24/12/2008, 13h17 #2
    Lassana Bathily
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    Citation Posté par Cheikhna Mouhamed WAGUE Voir le message
    Bonjour!

    Vous avez bien fait d'étendre le débat à l'Afrique.




    Effectivement, plein d'écoles privées (qu'elles soient du secondaire ou du spérieur) ne sont que des boutiques au Sénégal. L'inflation des établissements privés au Sénégal ne rime pas avec la qualité de l'enseignement dispensé. Je suis d'accord avec toi.



    Lassana, en disant que les éleves renvoyés des écoles trouvent réfuge dans les écoles privées au Sénégal (comme Mauritanie d'aileurs), tu as tout dit. Je t'assure que j'ai connu des écoles privées en Mauritanie où le niveau est drastiquement faible par rapport à l'école publique, car tu paies et tu es en droit d'exiger ton passage en classe supérieure. Je suis à ce niveau bien d'accord avec Daouda Kambiya Wagué.

    Pour ajouter un autre aspect à la question, on voit depuis un certain temps, en Mauritanie, des professeurs qui donnent des cours de soutien en privé à leurs éléves. Si la chose en soi est bonne, il est entrain de tuer à petit feu l'école publique. Je dis cela parce que nombreux sont les enseignants du secondaire qui, par l'appât du gain, font la paresse en classe publique, en corrigeant que peu d'exercice en classes pour que les éléves s'inscrivent dans leurs cours privés. Il y a parmi les enseignants qui ne proposent lors, des examens, que les exercices corrigés dans le cadre de leurs cours privés. Tout cela pour attirer les éléves vers leurs cours privés. Pour moi, toutes ces démarches sont malsaines et font drastiquement baisser le niveau des éléves et porte préjudice à la qualtité de l'enseignement dispensé dans les deux établissements.

    Moi, je pense que l'état doit réglementer l'ouverture de toutes ces petites boutiques qui, hélas, sont entrain de sacrifier l'école, ce sanctuaire de la science.
    Tout à fait vrai;en plus toutes ces pseudo ecoles privées qui pilulent à dakar surtout dans la banlieue appartiennent à des professeurs du public et d'ailleurs ce sont eux meme qui indiquent ces ecoles aux eleves qui echouent dand le public
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    les ames les plus sensibles aux fleurs sont egalement celles les plus sensibles aux epines
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  3. 24/12/2008, 13h39 #3
    Tribal Cams
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    Citation Posté par Cheikhna Mouhamed WAGUE Voir le message
    Bonjour!

    Vous avez bien fait d'étendre le débat à l'Afrique.
    .
    Et yougo tu commences qui t'as dit que l'Afrique n'etait pas concerné même moi le franssi noir là j'ai pas dit ça dè .

    En tous cas c'est interessant d'avoir les cas africains car ça permet de comparait les systémes éducatifs privée / public afrique / occident.

    Tchooo
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    La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
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  4. 24/12/2008, 13h50 #4
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    Citation Posté par Tribal Cams Voir le message
    Et yougo tu commences qui t'as dit que l'Afrique n'etait pas concerné même moi le franssi noir là j'ai pas dit ça dè .

    En tous cas c'est interessant d'avoir les cas africains car ça permet de comparait les systémes éducatifs privée / public afrique / occident.

    Tchooo
    Te connaissant, je savais que tu ne peux nullement occulter le cas africain. Tu ne peux pas oublier tes blédards que nous sommes. Mais les raisonnements tardaient à s'orienter vers l'Afrique, d'où ma phrase. Oui le cas africain permet d'avoir un regard comparatiste sur le couple école privée/école publique.
    Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 24/12/2008 à 14h09
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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  5. 24/12/2008, 16h58 #5
    DJILA DIAGUILINKE
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    C'est un sujet trés interessant.
    Pendant longtemps,l'école privée était considérée comme le lieu d'accueil des recalés du public.
    Hormis quelques trés grandes écoles privées qui recevraient la progéniture en âge d'être scolarisée du personnel diplomatique ou des expatriés,la quasi majorité des nationaux envoyait les siens à l'école publique.
    A cette époque nostalgique,le public garantissait et dispensait un enseignement de qualité.
    Nos enseignants,à l'époque,choisissaient la craie par vocation et non pas par necessité comme c'est le cas aujourd'hui.
    L'un des coups de Jarnac contre cet enseignement de qualité a été,au Sénégal,l'introduction du système des "classes à double flux" à partir de la fin des années 80.
    Dans le plan d'ajustement structurel imposé par les institutions monétaires au régime Sénégalais,la construction d'école n'étant pas jugée comme un investissement productif et rentable à court terme,son financement dépendait des populations locales et le gouvernement se chargeait de fournir et prendre à sa charge le personnel enseignement.
    Dans les quartiers ou cités nouvellement construits,comme dans celles surnommées cités dortoirs ou populaires,la demande de scolarisation des enfants était souvent très importante.
    Face à des effectifs pléthoriques difficiles à satisfaire à cause du manque d'insfrastructures,l'état a introduit le système des classes à double flux qui consistait à diviser le nombre d'élèves par deux,et envoyait le premier groupe à l'école le matin,et le second prenait le relais l'aprés-midi.
    Des volontaires de l'enseignement,souvent mal formés ou alors au niveau d'étude douteux pour exercer cette noble profession,ont été recrutés pour aller initier aux rudiments de la langue française des populations souvent villageoises.
    Dés lors l'école devenait moribonde,et les plus nantis commençaient déjà à envoyer leurs enfants dans le privé souvent dénommé catholique.
    Alors qu'auparavant la plupart des dignitaires envoyaient leurs enfants dans les lycées publics,avec cet impair,resultante de la gestion gabégique des biens publics,le privé a tiré son épingle s'efforcant à satisfaire une deande de plus en plus croissante.
    Aujourd'hui le privé demeure,au Sénégal,le meilleur domaine pour jouir d'un enseignement de qualité même s'il faut être trés sélectif dans le choix.
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  6. 25/12/2008, 11h05 #6
    Lassana Bathily
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    Citation Posté par DJILA DIAGUILINKE Voir le message
    C'est un sujet trés interessant.
    Pendant longtemps,l'école privée était considérée comme le lieu d'accueil des recalés du public.
    Hormis quelques trés grandes écoles privées qui recevraient la progéniture en âge d'être scolarisée du personnel diplomatique ou des expatriés,la quasi majorité des nationaux envoyait les siens à l'école publique.
    A cette époque nostalgique,le public garantissait et dispensait un enseignement de qualité.
    Nos enseignants,à l'époque,choisissaient la craie par vocation et non pas par necessité comme c'est le cas aujourd'hui.
    L'un des coups de Jarnac contre cet enseignement de qualité a été,au Sénégal,l'introduction du système des "classes à double flux" à partir de la fin des années 80.
    Dans le plan d'ajustement structurel imposé par les institutions monétaires au régime Sénégalais,la construction d'école n'étant pas jugée comme un investissement productif et rentable à court terme,son financement dépendait des populations locales et le gouvernement se chargeait de fournir et prendre à sa charge le personnel enseignement.
    Dans les quartiers ou cités nouvellement construits,comme dans celles surnommées cités dortoirs ou populaires,la demande de scolarisation des enfants était souvent très importante.
    Face à des effectifs pléthoriques difficiles à satisfaire à cause du manque d'insfrastructures,l'état a introduit le système des classes à double flux qui consistait à diviser le nombre d'élèves par deux,et envoyait le premier groupe à l'école le matin,et le second prenait le relais l'aprés-midi.
    Des volontaires de l'enseignement,souvent mal formés ou alors au niveau d'étude douteux pour exercer cette noble profession,ont été recrutés pour aller initier aux rudiments de la langue française des populations souvent villageoises.
    Dés lors l'école devenait moribonde,et les plus nantis commençaient déjà à envoyer leurs enfants dans le privé souvent dénommé catholique.
    Alors qu'auparavant la plupart des dignitaires envoyaient leurs enfants dans les lycées publics,avec cet impair,resultante de la gestion gabégique des biens publics,le privé a tiré son épingle s'efforcant à satisfaire une deande de plus en plus croissante.
    Aujourd'hui le privé demeure,au Sénégal,le meilleur domaine pour jouir d'un enseignement de qualité même s'il faut être trés sélectif dans le choix.
    Tu as tout dit,tres bonne analyse
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  7. 25/12/2008, 13h27 #7
    DJILA DIAGUILINKE
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    Citation Posté par Lassana Bathily Voir le message
    Tu as tout dit,tres bonne analyse
    Assalamou Aleykoum,
    Salut le Gajaganké,ta contribution était également pertinente.
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