Citation Posté par Tribal Cams Voir le message
ça me rappel bizarement le gouvernement de Vichy les vieux démons sont ils en train de ce reveiller :

Intervention des parents
Lundi, la police aurait procédé à une tentative d'arrestation d'une femme venue chercher une petite fille à la sortie de l'école maternelle Rampal (19e). «Malgré l'intervention des parents, et celle d'enseignants, les policiers ont fouillé et interrogé cette femme (…) devant les enfants et parents traumatisés, raconte RESF. Ils l'ont ensuite emmené pour une destination qu'ils n'ont pas voulu préciser, laissant la petite fille désemparée...» Suivis et à nouveau «interpellés» par des parents de façon véhémente, les forces de l'ordre ont relâché la personne.
Mardi, une brigade est revenue sur les lieux pour interpeller un grand-père cette fois-ci, qui se trouvait dans un café en attendant d’aller chercher deux petits enfants à l’école Piver, non loin de là. «Ce qu’on en comprend pas, c’est que les policiers se trouvaient dans le café depuis plus d’une heure et qu’ils ont fini par sortir avec le grand-père à 18h, pile à la sortie de l’école», témoigne Maria Clark, membre de RESF et présente sur les lieux.
Gaz lacrimogène
Alors que des parents d'élèves, des enseignants, des militants de RESF et des habitants du quartier tentaient d'empêcher l’arrestation, «les policiers ont fait usage de gaz lacrymogène, atteignant des enfants qui ont dû se réfugier dans l’école», s’indigne Maria Clark. Le grand-père a finalement été emmené dans un commissariat du 2ème arrondissement, avant d’être relâché mercredi.
«Des rafles de ce genre, il y en a deux ou trois par jour à Paris, dénonce Brigitte Wieser, membre de RESF Paris. Mais jusqu’à lundi, cela ne s’était jamais produit devant une école.»
Ce sont des pratiques quotidiennes. Il faut savoir que cette semaine risque d'être décisive, car le ministre de l'intérieur, candidat à l'élection présidentielle, quittant son ministère à la fin de cette semaine, va essayer de faire parler de lui en faisant un gros clin d'oeil aux militants FN.

Donc, prudence. Il ya toujours eu des rafles comme au bon vieux temps, sauf que cette fois-ci, les victimes sont les nègres sans-papiers. Dans les gares, dans les restaus du coeur, emmaeüs, dans les écoles, etc. bref, dans des lieux publics fréquentés. Les opérations sont faites en douceur, sans coup médiatique, mais, principalement, pour que toutes les personnes qui fréquentent ces lieux publics voient de leurs propres yeux le "travail".

Sinon, il faut aussi se poser la question à savoir, comment ces policiers-là savent que les parents de tel élève ou de tel autre sont sans-papiers ou pas? C'est tout simplement parce qu'il y a conspiration quelque part, car, le ministère de l'intérieur n'a pas accès aux dossiers des élèves dans les écoles élémentaires et primaires.