je suis d accord avec toi tribals cams
si c est pour accepté forcé et divorcé quelque temps apres c est du n importe quoi
ça me parait comme être un raccourci facile et dangereux que de penser que les filles qui finissent par dire "oui" après des menaces / chantages et une pression familiale incroyable que de considérer qu'elle sont consentante.
C’est un peu comme de culpabiliser la personne qui fini par faire des aveux sous la torture tant que l’on ne l’a pas vécu c’est toujours plus simple.
C'est mon avis.
Tchooo
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
je suis d accord avec toi tribals cams
si c est pour accepté forcé et divorcé quelque temps apres c est du n importe quoi
apres le boucan c est le vacarme
Petit interlude : cela dépend du caractère de la personne, à savoir que si elle sait ce qu'elle veut elle dira non, je pense qu'une femme qui accepte de se marier que ce soit pour ces parents ou pour elle, sait ce qui est le mieux pour elle, donc désolée, pour les personnes qui ne sont pas réellement d'accord avec moi, (je prends un exemple perso : tu peux me faire toutes les menaces que tu veux, ou autres, mais si j'ai décidé de dire non, ce sera non) Après cela dépend des personnes
salut à tous !
le sujet est tres interessant. Mais que pensez vous des personnes toutes deux musulmanes, de même pays, qui souhaiteraient se marier mais dont les parents refusent sous des pretextes autres que religieux ( differentes ethnies, castes differents...) et que la femme tombe enceinte? ils auront donc un enfant hors mariage, dans ce cas là, comment doit-on "réagir" ? Est- ce que c'est de la "faute" des parents?
"L'Afrique a été pillée par qui? Par des gens comme eux"
Je connais un cas omme celui là. La fille a eu un enfant avec son copain pendant qu'elle est fiancé à un autre. L'enfant a bientôt 1 an les parents refusent de faire le mariage avec celui qui la enceinter parce qu'il est d'une autre caste. Et le fiancé ne veut pas lâcher l'affaire même avec l'enfant d'un autre il veut l'épouser!!
Salam A Tot Le Monde Je Volais Just Reponde A La Question De Gagamiss Si Les Parents Oblige La Fille A Se Marier Avec Un Homme Qu El N Aime Pas Les Parents Commetent Un Gro Peche Ils Ne Seront Pardonner Ke S Ils Demende Pardon A Leur Fille Et Qu Elle Accepte Sinon Lors Du Jugement Dernier
La Religion Nous Interdit Tout Rapport Avec Un Homme Hors Mariage Mais Ta Vu Les Gens S En Moque Pas Mal Certains Ne Veule Pas L Admettre Et Ferme Les Yeux La Dessu Et D Autre Ca Arriv Et Le Regrette A Morts La Meilleure Chose A Faire C De Se Poser Avec Un Mec Hallal Et De Faire Les Choses Dan Le Droit Chemin
Salam alaykoum
Ton poste m'a fait penser a une histoire qui a eu lieu au Nigéria
Nigéria : Amina Lawal Kurami est ACQUITÉE.
Amina est une musulmane de 31 ans du Nigéria. Elle a été condamnée à la lapidation à mort le vendredi 22 mars 2002 par un tribunal de la Charia à Bakori, dans l'Etat de Katsina, au Nigéria du nord.
Amina aurait avoué avoir eu un enfant alors qu'elle était divorcée. La grossesse hors du mariage constitue une preuve suffisante pour qu'une femme soit déclarée coupable d'adultère en vertu du nouveau code pénal pour les musulmans, basé sur la Charia et institué dans l'Etat de Katsina. Lire les préoccupations d'Amnistie à ce sujet
L'homme qu'elle désignait comme étant le père de sa petite fille aurait nié avoir eu des rapports avec elle et sa déposition a suffi pour que l'on abandonne les accusations contre lui.
Amina n'avait pas d'avocat au cours de son premier procès, où la sentence a été prononcée. Mais elle a maintenant interjeté appel de sa condamnation avec l'aide d'un avocat recruté par une association nigériane de femmes.
Le Tribunal supérieur de la Charia de Funtua, Etat de Katsina, a confirmé lundi le 19 août 2002, sa condamnation à mort par lapidation.
Le 25 septembre 2003, la Cour d'appel islamique de l'État de Katsina annule la condamnation à mort d’Amina Lawal.
© AI - Amina Lawal à la suite
de son procès (à droite)
Les demandes d' Amnistie internationale aux autorités nigérianes étaient:
- garantir l'intégrité physique et psychologique d'Amina Lawal et de sa famille ;
- prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la primauté du droit au Nigéria et en particulier le respect de l'interdiction de la torture et des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants comme les châtiments corporels;
- garantir aux femmes leurs droits fondamentaux, y compris le droit de ne pas être victimes de discrimination fondée sur le statut social ou le genre, ainsi que le droit de ne pas être torturées ni soumises à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ;
- veiller en toutes circonstances au plein respect des droits humains et des libertés fondamentales, conformément aux normes nationales et internationales ;
- condamner fermement la condamnation à mort d'une femme qui vient juste d'avoir un enfant et qui est la mère de quatre autres enfants ;
- veiller au respect des droits fondamentaux de tous les êtres humains.
© AP/George Osodi
Amina Lawal et son enfant - © BBC
Résumé2 avril 2004 : Suite à son acquitement, Amina a été prise en charge par une organisation locale des droits humains. Avec son frère, elle a rencontré en mars 2004 les délégués d'Amnistie qu'elle tenait à remercier. Sa petite fille Wasila a maintenant 2,5 ans. Amina a reçu plusieurs demandes en mariage et elle doit se marier en avril.
25 septembre 2003 :Amina Lawal est ACQUITÉE.La Cour d'appel islamique de l'État de KatsinaL a annulée la condamnation à mort d’Amina Lawal. Tous les détails27 août 2003 : L'appel d'Amina Lawal a été examiné par la Cour d'appel islamique de l'État de Katsina, dans le nord du Nigéria. Le tribunal n'a pas rendu sa décision le jour même, mais l'a renvoyée au 25 septembre 2003.
Amina Lawal était représentée par une équipe d'avocats au cours de cette audience.3 juin 2003 : L'appel d'Amina Lawal est de nouveau reporté au 27 août prochain. Ceci dû au fait que deux des quatre juges étaient absents.6 mai 2003 : De fausses informations circulent au sujet de l’action d’Amnistie internationale en faveur d’Amina Lawal .
Les précisions
25 mars 2003 : L'appel d'Amina Lawal est reporté au 3 juin, après les élections qui doiventavoir lieu au Fédéral et dans les États.
Lire l13 février 2003 : Le 23 janvier, la Cour d'appel supérieure de la Sharia de Katsina a annoncé que l'audience concernant la condamnation à mort pour adultère d'Amina Lawal était reportée au 25 mars 2003.15 novembre 2002 : Aucune date n'a encore été fixée pour l'examen de l'appel interjeté en août 2002 devant la haute cour d'appel islamique de Katsina. Et, malgré le fait que le président Obasanjo a affirmé à plusieurs reprises son opposition à l'application de la peine de mort dans son pays, rien de concret n'a encore été fait.19 août 2002 : La Cour d'appel islamique de Funtua a confirmé ce lundi 19 août la condamnation à mort par lapidation et elle a 30 jours pour faire appel de cette décision. Lire les détails22 mars 2002 : La cour de la Charia de Bakori dans l'Etat de Katsina la condamne à mort par lapidation pour avoir eu une petite fille (Wasila) hors du mariage, le 8 janvier 2002.20 février 2002 : Une deuxième audience a eu lieu.13 février 2002 : Une audience a eu lieu.15 janvier 2002 : Une première audience a lieu en présence de Yahaya Muhammad qui vivait avec elle depuis 11 mois. Celui-ci l'a reconnu et il a déclaré avoir voulu l'épouser. Cependant,il a nié avoir eu des relations adultères avec elle et après avoir juré sur le Coran, selon la loi islamique, il a été relaché. Par contre, Amina a été accusée de fausse accusation contre lui.14 janvier 2002 : Amina Lawal, 30 ans, dernière enfant d'une lignée de 13 et divorcée ayant déjà 4 enfants, est arrêtée pour adultère.
InshaAllah je reviendrai peut être dessus plutard.
Dernière modification par Ibrahim Soukouna 16/09/2007 à 18h49
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
http://www.hisnulmuslim.com/index-pa...6-lang-fr.html
Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]