L'invulnérabilité au fer appellé tunduram!

[MARIRENME]

Voilà des savoirs que les africains doivent, à mon avis, enseigner et promouvoir, car il est anormal que ces sciences-là disparaissent. En plus de cela, l'on voit trés souvent dans nos contrées quand par exemple une arrête de poisson est coincée dans la gorge qu'on la décoince avec des paroles jaculatoires. Moi, je suis pour que toutes ces sciences soient enseignées pour qu'elles ne se perdent pas.
C'est ça effectivement là le mystère de notre continent.

Salam C.M.W
Tu risques de te prendre pour un "munubattaana" , le soninké croit que certains savoirs de nos ancêtres sont pas conformes à la religion musulmane et nous risquons de tous perdre.

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Salam C.M.W
Tu risques de te prendre pour un "munubattaana" , le soninké croit que certains savoirs de nos ancêtres sont pas conformes à la religion musulmane et nous risquons de tous perdre.

Je vois ce que tu veux dire. J'ose croire que quelqu'un ne m'attaquera pas sur ce point, sinon je ne manquerai pas incha Allah en son temps des réssources pour me défendre. Ceux qui pensent que tous nos savoirs rélevent de l'associatisme "hilla kappe ou munabatte" exagèrent parfois et ne se rendent même pas compte que nombreuses sont les pratiques de l'Islam qui ont existé avant même la révélation et qui sont toujours cours dans l'Islam. C'est le cas du pélérinage au lieu Saint. Il a existé depuis le temps du Prophète Ibrahim. Je peux donner, en toute medestie, des exemples et des exemples encore avec des textes à l'appui.
Je ne suis pas d'accord avec les gens qui continuent à jeter, à tort en plus, l'anathème sur tous nos savoirs. C'est un déni de soi. C'est tout. C'est facile d'incriminer nos savoirs au profit d'autres.

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Si on revenait sur ces techniques anciennes!

[Lassana Bathily]

Si on revenait sur ces techniques anciennes!

Salam cheikhna;comme nous le savions tous,l'afrique est un continent plein de mysteres.Moi aussi je suis pour la vivification de ce savoir mais le probleme en afrique c'est que le savoir se transmet de pere en fils ou tout simplement entre personnes de meme famille.
Ce savoir est jalousement gardé par ces derneirs au risque de l'emporter dans leurs tombeaux.
Amadou hampathé bâ disait qu'en afrique "si un vieillard meurt c'est une bibliotheque qui brûle" ,c'est la pure verité et imagines le nombre de bibliotheques qui a brûlé depuis tout ce temps? Un ocean de savoir !