C'est pareil pour moi. D'une manière ou d'une autre, je ferai comprendre à la personne son impair. Quand je dis le minimum syndical, je lui adresserai la parole, je lui dirai bonjour, mais je me mefierai de lui. Quand je décide de lui faire comprendre son impair, c'est que j'ai des preuves irréfutables que la personne elle-même ne peut nier si je venais à les lui montrer. Je n'agis jamais sans preuve solide. Je peux garder ces preuves autant d'années qu'il faut. J'attends toujours le bon moment pour dire la vérité à la personne. La meilleure arme, c'est la patience, car c'est de cette façon que l'on finit toujours par demêler le bon grain de l'ivraie.