
Les coupures intempestives d’électricité ont fini par sortir de leurs gongs les intellectuels du Sénégal. Le Comité d’initiative des intellectuels du Sénégal dont l’un des coordonnateurs est Malick Ndiaye en partenariat avec l’Association des Consommateurs du Sénégal (ASCOSEN) compte descendre dans les rues ce mercredi 21 juillet 2010 pour manifester son ras le bol.
«Parce que nous sommes mal à l’aise en tant qu’intellectuels et nous nous serions bien passés de ce genre d’activité si les forces de la société civile officielle ou les partis politiques ou encore les organisations de consommateurs ou carrément le parti au pouvoir ou démembrement avait décidé de donner une issue citoyenne et républicaine à cette protestation» a indiqué Malick Ndiaye un des coordonnateurs du Comité d’initiative des intellectuels du Sénégal.
Depuis la fin de la coupe du monde de football 2010 en Afrique du Sud, il ne se passe pas une journée sans coupure d’électricité au Sénégal. La société nationale d’électricité, SENELEC, avait indiqué qu’il allait débloquer 21 milliards de F Cfa pour assurer une coupe du monde sans coupure aux sénégalais. Depuis la fin de ce rendez-vous mondial du football, les coupures de courant sont devenues récurrentes poussant les populations à protester en brulant des pneus et en tentant de saccager les agences de la SENELEC régulièrement surveillées par les forces de l’ordre depuis le début des émeutes.
«Parce que nous sommes mal à l’aise en tant qu’intellectuels et nous nous serions bien passés de ce genre d’activité si les forces de la société civile officielle ou les partis politiques ou encore les organisations de consommateurs ou carrément le parti au pouvoir ou démembrement avait décidé de donner une issue citoyenne et républicaine à cette protestation» a indiqué Malick Ndiaye un des coordonnateurs du Comité d’initiative des intellectuels du Sénégal.
Depuis la fin de la coupe du monde de football 2010 en Afrique du Sud, il ne se passe pas une journée sans coupure d’électricité au Sénégal. La société nationale d’électricité, SENELEC, avait indiqué qu’il allait débloquer 21 milliards de F Cfa pour assurer une coupe du monde sans coupure aux sénégalais. Depuis la fin de ce rendez-vous mondial du football, les coupures de courant sont devenues récurrentes poussant les populations à protester en brulant des pneus et en tentant de saccager les agences de la SENELEC régulièrement surveillées par les forces de l’ordre depuis le début des émeutes.

Depuis quelques temps, les Soninkés résidant en milieu urbain dépensent de plus en plus gros dans leurs fêtes de mariages, au point de susciter des inquiétudes. Quelles sont les raisons qui sont à l’origine de cette dérive. Eléments de réponses. Comme toute personne née et grandie à Nouakchott, Bonco (appelons-là ainsi) connait du monde. Ainsi elle est souvent conviée à assister aux mariages, baptêmes… Quand on lui demande de citer une fête de mariage en milieu soninké qui l’aurait impressionnée, elle parle d’une cérémonie à laquelle elle a assisté au niveau du département d’El Mina, il y a quelques temps de cela. «A l’intérieur et devant la maison, il y avait foule. Mais malgré cela, il y a eu à manger et à boire pour tous», dit-elle. « Le lendemain, c’était au tour de la famille de l’époux d’organiser une grande fête dans le domicile familial. Par la suite deux fêtes ont été organisées à Mauricom, La Case», se remémore Bonco, enthousiaste. Cas isolé ? Loin s’en faut.

