Trois organisations de défense des droits de l’homme, basées à Dakar, réclament l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire sur la mort suspecte d’Aladji Konaté, à Bakel (est), a appris l’APS auprès des protestataires."Amnesty International Sénégal, la LSDH et la RADDHO exigent l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire sur ce crime odieux et que les responsables soient traduits en justice’’, signalent les responsables des trois organisations dans un communiqué transmis à l’APS.
Selon le texte, Amnesty international Sénégal, la Ligue sénégalaise des droits de l’homme et la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO) "sont indignées par le décès, après son arrestation par des gendarmes, du jeune Aladji Konaté de Bakel".
"Le corps sans vie d’Aladji Konaté nu, menotté et portant des traces de torture a été découvert le 29 mars 2011 sur les bords du fleuve Sénégal à Bakel. Il aurait été inhumé sans qu’une autopsie ne soit pratiquée pour déterminer les circonstances exactes de sa mort", ajoutent les protestataires.
Au-delà de cette mort, les trois organisations rappellent "celles de toutes les personnes décédées en détention ou des suites d’un usage excessif ou illégal de la force par les forces de sécurité", en les mettant "sur le compte de l’impunité que l’Etat a choisi d’accorder à ces agents".

A 69 ans, l’honorable Dioncounda Traoré attend son heure avant d’assumer cette lourde et passionnante responsabilité : celle de défendre les couleurs des abeilles à la présidentielle de 2012. Même si sa galaxie se met peu à peu en place, la tâche s’annonce difficile pour lui. Dans la ruche, le ’’caméléon’’ survivra-t-il aux dards?
D’ici peu, n’entrera pas qui veut au Sénégal. Car, le gouvernement sénégalais va appliquer incessamment une politique de réciprocité à tous les pays qui exigent de ses ressortissants un visa. Pour le chef de la diplomatie sénégalaise, Me Madické Niang, cette politique reste motivée par l’application d’une règle diplomatique. Mais aussi et surtout par le souci du Sénégal de tirer profit de cette « niche importante » que constituent les visas.
Durant la nuit du 08/04/11, un infirmier chef de poste à Souvi dans la région du Guidimakha a été reveillé vers 2 h du matin par un groupe de malfrats armés lui demandant les recettes de la pharmacie de l'infirmerie.
Dans le cadre du renforcement des capacités de la structure de santé de BOULLY, de l’amélioration de l’offre et la qualité des soins santé des différences localités de la commune, la formation de cinq accoucheuses auxiliaires de santé a été prise en charge par le comité de coopération Aubervilliers Boully Solidaire et la commune de Boully.