"Les programmes de la BAD en faveur du développement de l’énergie en Afrique ne sauraient être liés uniquement aux TIC (Technologies de l’information et de la communication), mais plutôt à la promotion du développement global du tissu économique des pays", a affirmé M. Diallo Amadou Thierno, chef de division "Energie et TIC" à la Banque africaine de Développement (BAD), dans un entretien avec la PANA.
M. Diallo, qui réagissait à la nécessité de résorber le déficit énergétique préalablement à l’accès des communautés rurales aux TIC, estime que la résolution du problème énergétique africain dépasse l’unique besoin d’expansion des TIC, pour "viser le développement d’une énergie productive, prenant en compte le tissu économique des pays, dans sa globalité".
Mais, à en croire le fonctionnaire de la BAD, le programme devra surmonter plusieurs obstacles parmi lesquels les ressources limitées des pouvoirs publics, les changements climatiques ainsi que la très grande dépendance des pays africains de l’extérieur pour leur approvisionnement en énergie fossile.


Bien que la population des ressortissants noirs africains de France ait presque triplé entre 1982 et 1990, ils ne représentent cependant que 6,6 % de la population immigrée totale. Ils ont pourtant fait "la une des médias" ces dernières années. Combien sont-ils et d’où viennent-ils ? Qu’est-ce qui fait leur spécificité profonde et dans quelle mesure ces migrants, venus d’Afrique subsaharienne, sont-ils préparés à s’intégrer, voire à s’assimiler au modèle républicain français ?